Le Conseil constitutionnel, interrogé sur la question de la légalité de l'application UberPop, en juin dernier, a tranché en interdisant son usage.
Il a par ailleurs rappelé que "le fait d'organiser un système de mise en relation de clients avec des personnes qui, sans pouvoir légalement s'y livrer en application du code des transports, faute d'être, par exemple, taxis ou VTC, effectuent pourtant des prestations de transport routier de personnes à titre onéreux" est passible de deux ans d'emprisonnement et de 300 000 € d'amende.
Il a par ailleurs rappelé que "le fait d'organiser un système de mise en relation de clients avec des personnes qui, sans pouvoir légalement s'y livrer en application du code des transports, faute d'être, par exemple, taxis ou VTC, effectuent pourtant des prestations de transport routier de personnes à titre onéreux" est passible de deux ans d'emprisonnement et de 300 000 € d'amende.