Voyage Turquie : quelles sont les formalités d'entrée ? - Depositphotos.com, dbajurin
Depuis le 1er juin 2022, la Turquie a levé toutes les mesures de restrictions sanitaires pour entrer sur son territoire.
En revanche, certaines zones du pays demeurent déconseillées aux voyageurs français par le Ministère des Affaires Etrangères, notamment les abords immédiats des frontières avec la Syrie et l’Irak. Des restrictions à la circulation sont possibles dans les districts frontaliers (Reyhanli, Kirikhan, Siirt, Şırnak et Hakkari).
Par ailleurs, "la situation à la frontière avec le Kurdistan d’Irak est tendue, ajoute le Quai d'Orsay. De nombreux incidents s’y produisent et des attentats visent régulièrement les forces de l’ordre".
D'autres territoires sont également déconseillées sauf raison impérative, tels les départements du Hatay, de Kilis, de Gaziantep, de Şanlıurfa, de Mardin, de Diyarbakır, de Batman.
A noter que le reste du pays est tout de même signalé comme des "zones de vigilance renforcée", par le Ministère, dans lesquelles il est recommandé de faire preuve d’une vigilance renforcée, de rester discret (éviter de parler fort dans une langue étrangère dans la rue, éviter de poster sa géolocalisation sur les réseaux sociaux), de ne pas se déplacer seul, notamment le soir, de toujours avoir sur soi ses documents d’identité français.
"Il est également conseillé d’éviter tout rassemblement de foule et de se conformer strictement aux consignes qui pourraient être données sur place par les autorités turques, en particulier dans les zones touristiques et les quartiers très fréquentés".
Lire aussi notre guide : Partir en Turquie
En revanche, certaines zones du pays demeurent déconseillées aux voyageurs français par le Ministère des Affaires Etrangères, notamment les abords immédiats des frontières avec la Syrie et l’Irak. Des restrictions à la circulation sont possibles dans les districts frontaliers (Reyhanli, Kirikhan, Siirt, Şırnak et Hakkari).
Par ailleurs, "la situation à la frontière avec le Kurdistan d’Irak est tendue, ajoute le Quai d'Orsay. De nombreux incidents s’y produisent et des attentats visent régulièrement les forces de l’ordre".
D'autres territoires sont également déconseillées sauf raison impérative, tels les départements du Hatay, de Kilis, de Gaziantep, de Şanlıurfa, de Mardin, de Diyarbakır, de Batman.
A noter que le reste du pays est tout de même signalé comme des "zones de vigilance renforcée", par le Ministère, dans lesquelles il est recommandé de faire preuve d’une vigilance renforcée, de rester discret (éviter de parler fort dans une langue étrangère dans la rue, éviter de poster sa géolocalisation sur les réseaux sociaux), de ne pas se déplacer seul, notamment le soir, de toujours avoir sur soi ses documents d’identité français.
"Il est également conseillé d’éviter tout rassemblement de foule et de se conformer strictement aux consignes qui pourraient être données sur place par les autorités turques, en particulier dans les zones touristiques et les quartiers très fréquentés".
Lire aussi notre guide : Partir en Turquie
Quelles formalités pour voyager en Turquie ?
Les ressortissants français sont dispensés de visa pour un séjour touristique en Turquie ne dépassant pas 90 jours sur une période de 180 jours, que le séjour soit continu ou fractionné.
Pour effectuer un voyage en Turquie, les Français doivent être munis d'un passeport ou d'une carte nationale d'identité dont la durée de validité dépasse d’au moins 150 jours la date de l’entrée en Turquie.
A noter, pour les personnes majeures en possession d'une carte nationale d'identité établie entre le 1er janvier 2004 et le 31 décembre 2013, que ces documents sont encore valables 5 ans après la date de fin de validité indiqué au verso.
Les autorités turques ont accepté officiellement cette prorogation.
"Toutefois, de façon à éviter tout désagrément pendant son voyage, il est fortement recommandé de préférer l’utilisation d’un passeport valide à celle d’une CNI portant une date de fin de validité dépassée, même si elle est considérée par les autorités françaises comme étant toujours en cours de validité" prévient le Quai d'Orsay.
En outre, en prévision de leur retour en France, les binationaux franco-turcs doivent veiller à se munir d’un document de voyage français (passeport ou carte nationale d’identité) en cours de validité.
Pour rappel, les ressortissants français en voyage d'affaires ne sont pas soumis à visa de court séjour en Turquie pour un voyage n’excédant pas 90 jours.
Pour effectuer un voyage en Turquie, les Français doivent être munis d'un passeport ou d'une carte nationale d'identité dont la durée de validité dépasse d’au moins 150 jours la date de l’entrée en Turquie.
A noter, pour les personnes majeures en possession d'une carte nationale d'identité établie entre le 1er janvier 2004 et le 31 décembre 2013, que ces documents sont encore valables 5 ans après la date de fin de validité indiqué au verso.
Les autorités turques ont accepté officiellement cette prorogation.
"Toutefois, de façon à éviter tout désagrément pendant son voyage, il est fortement recommandé de préférer l’utilisation d’un passeport valide à celle d’une CNI portant une date de fin de validité dépassée, même si elle est considérée par les autorités françaises comme étant toujours en cours de validité" prévient le Quai d'Orsay.
En outre, en prévision de leur retour en France, les binationaux franco-turcs doivent veiller à se munir d’un document de voyage français (passeport ou carte nationale d’identité) en cours de validité.
Pour rappel, les ressortissants français en voyage d'affaires ne sont pas soumis à visa de court séjour en Turquie pour un voyage n’excédant pas 90 jours.
Quelles conditions de voyage pour les enfants ?
Les mineurs voyageant non-accompagnés par leurs parents :
- doivent être munis d’un passeport dont la durée de validité devra dépasser d’au moins 150 jours la date de l’entrée en Turquie ;
- doivent être munis, à défaut de passeport, d’une carte nationale d’identité dont la durée de validité devra dépasser d’au moins 150 jours la date de l’entrée en Turquie, d’une part, et d’une autorisation de voyage établie et signée par le(s) parent(s), d’autre part. Cette autorisation de voyage peut être rédigée grâce au formulaire mis en ligne sur le site service-public.fr. En cas de voyage scolaire, les élèves doivent également être munis d’une attestation délivrée par le chef d’établissement.
- doivent être munis d’un passeport dont la durée de validité devra dépasser d’au moins 150 jours la date de l’entrée en Turquie ;
- doivent être munis, à défaut de passeport, d’une carte nationale d’identité dont la durée de validité devra dépasser d’au moins 150 jours la date de l’entrée en Turquie, d’une part, et d’une autorisation de voyage établie et signée par le(s) parent(s), d’autre part. Cette autorisation de voyage peut être rédigée grâce au formulaire mis en ligne sur le site service-public.fr. En cas de voyage scolaire, les élèves doivent également être munis d’une attestation délivrée par le chef d’établissement.
Le tourisme bat des records en Turquie en 2024
En 2024, la Turquie a accueilli plus de 62 millions de visiteurs.
Un record historique et une augmentation de 9% par rapport à 2023, selon l'Institut statistique turc TÜIK.
Dans le détail, plus de 52 millions de ces visiteurs sont des touristes internationaux, le reste des citoyens turcs résidant hors de leur pays. L’ensemble a dépensé environ 58,5 milliards d'euros (+8,3% vs 2023).
La dépense moyenne par touriste est de 946 euros, similaire à l'année précédente, tandis que la dépense par nuit (94,50 euros) a légèrement augmenté.
La principale motivation des visiteurs est le loisir ou l'intérêt culturel (70%) tandis que 21% sont des touristes affinitaires.
Voir aussi : TourMaG TV, sur la Route de l’Olivier en Turquie !
Un record historique et une augmentation de 9% par rapport à 2023, selon l'Institut statistique turc TÜIK.
Dans le détail, plus de 52 millions de ces visiteurs sont des touristes internationaux, le reste des citoyens turcs résidant hors de leur pays. L’ensemble a dépensé environ 58,5 milliards d'euros (+8,3% vs 2023).
La dépense moyenne par touriste est de 946 euros, similaire à l'année précédente, tandis que la dépense par nuit (94,50 euros) a légèrement augmenté.
La principale motivation des visiteurs est le loisir ou l'intérêt culturel (70%) tandis que 21% sont des touristes affinitaires.
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