Orient Express et Chantiers de l’Atlantique ont célébré une double cérémonie, la pose de la quille de l’Orient Express Corinthian et la découpe de la première tôle de l’Orient Express Olympian.
Dans le respect des traditions maritimes, la cérémonie dite « de la pièce » a officialisé la naissance de l’Orient Express Corinthian, seulement dix mois après la découpe de sa première tôle.
Avec une longueur de 220 mètres et trois mâts inclinables de plus de 100 mètres de haut, ce yacht sera doté d’une voilure de 4 500 m², lui permettant d’atteindre 17 nœuds uniquement grâce à la force du vent. Sa mise à l’eau est prévue pour juin 2025, avant une livraison en 2026.
Dans le respect des traditions maritimes, la cérémonie dite « de la pièce » a officialisé la naissance de l’Orient Express Corinthian, seulement dix mois après la découpe de sa première tôle.
Avec une longueur de 220 mètres et trois mâts inclinables de plus de 100 mètres de haut, ce yacht sera doté d’une voilure de 4 500 m², lui permettant d’atteindre 17 nœuds uniquement grâce à la force du vent. Sa mise à l’eau est prévue pour juin 2025, avant une livraison en 2026.
Une propulsion innovante
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L’Orient Express Corinthian intègre la technologie SolidSail, fruit de plus de dix ans de recherche par Chantiers de l’Atlantique.
Associée à une motorisation hybride au gaz naturel liquéfié (GNL), cette innovation permettra au yacht de dépasser les normes environnementales actuelles.
Des systèmes de détection par intelligence artificielle assureront également la protection des mammifères marins en minimisant les collisions et la pollution sonore sous-marine. De plus, le positionnement dynamique évitera le mouillage dans les zones fragiles, préservant ainsi les fonds marins.
En parallèle, la cérémonie de découpe de la première tôle de l’Orient Express Olympian marque le début de la phase de préfabrication de ce second yacht de la flotte Orient Express Sailing Yachts. Son design et ses caractéristiques seront similaires à son prédécesseur, poursuivant ainsi la vision de voyages d’exception tout en répondant aux enjeux du développement durable.
Associée à une motorisation hybride au gaz naturel liquéfié (GNL), cette innovation permettra au yacht de dépasser les normes environnementales actuelles.
Des systèmes de détection par intelligence artificielle assureront également la protection des mammifères marins en minimisant les collisions et la pollution sonore sous-marine. De plus, le positionnement dynamique évitera le mouillage dans les zones fragiles, préservant ainsi les fonds marins.
En parallèle, la cérémonie de découpe de la première tôle de l’Orient Express Olympian marque le début de la phase de préfabrication de ce second yacht de la flotte Orient Express Sailing Yachts. Son design et ses caractéristiques seront similaires à son prédécesseur, poursuivant ainsi la vision de voyages d’exception tout en répondant aux enjeux du développement durable.
Redéfinir le voyage maritime
Les yachts Orient Express promettent une "expérience inédite à travers la Méditerranée, l’Adriatique et les Caraïbes".
Conçus par Maxime d’Angeac, ils offriront 54 suites panoramiques, dont six penthouses. Le niveau de service atteindra un standard inédit avec cinq restaurants, huit bars et salons, un amphithéâtre, une salle de cinéma, un studio d’enregistrement et un centre de bien-être.
Sébastien Bazin, PDG d’Accor, souligne que "l’univers de l’Orient Express n’a pas de frontières, c’est le royaume du rêve et de la découverte". Laurent Castaing, Directeur Général de Chantiers de l’Atlantique, insiste quant à lui sur l’avancée majeure vers la décarbonation du transport maritime qu’incarne ce projet.
Conçus par Maxime d’Angeac, ils offriront 54 suites panoramiques, dont six penthouses. Le niveau de service atteindra un standard inédit avec cinq restaurants, huit bars et salons, un amphithéâtre, une salle de cinéma, un studio d’enregistrement et un centre de bien-être.
Sébastien Bazin, PDG d’Accor, souligne que "l’univers de l’Orient Express n’a pas de frontières, c’est le royaume du rêve et de la découverte". Laurent Castaing, Directeur Général de Chantiers de l’Atlantique, insiste quant à lui sur l’avancée majeure vers la décarbonation du transport maritime qu’incarne ce projet.