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Un week-end so chic au château de Chaumont-sur-Loire

Au coeur du Val de Loire, un lieu incontournable pour les amateurs d'art et de jardins


Le très chic hôtel "Le Bois des Chambres" et son restaurant "Le Grand Chaume", permettent désormais de s'offrir un séjour bucolique au château de Chaumont-sur-Loire. Deux jours sur place sont nécessaires pour bien profiter des créations paysagères du festival international des jardins, des oeuvres monumentales installées dans le parc et des expositions temporaires d'art contemporain.


Rédigé par le Mardi 3 Septembre 2024

Le château de Chaumont-sur-Loire (© Eric Sander/Domaine de Chaumont)
Le château de Chaumont-sur-Loire (© Eric Sander/Domaine de Chaumont)
Si le Val de Loire -dont les exceptionnels « paysages culturels » ont été classés par l'Unesco- est désormais une destination prisée, un de ses sites -le château de Chaumont-sur-Loire- mérite d'être davantage connu en raison de la richesse et de la diversité de son offre culturelle.

Juché en surplomb de la Loire, entre Amboise et Blois, ce château allie l’aspect défensif du style gothique et le confort d’un château de la Renaissance. Acheté, en 1550, de Catherine de Médicis, celle-ci le céda, un peu plus tard, à sa rivale, Diane de Poitiers. A la fin du XIXème siècle, le château de Chaumont, réaménagé, devint un lieu somptueux où le prince Henri-Amédée de Broglie et son épouse recevaient les Altesses royales du monde entier. Il est désormais la propriété du Conseil régional.

Ce n'est cependant pas pour le seul château - une partie des pièces, entièrement meublées, se visite- qu'un séjour à Chaumont s'impose. C'est d'abord pour le Festival international des jardins organisé chaque année, depuis 1992, de mai à début novembre. Un événement qualifié de «Festival de Cannes des jardins» par les Allemands !

Lire aussi : Futuroscopie - Les jardins, toujours une valeur sûre pour le tourisme 🔑

S'y ajoute, bien sûr, l'offre d'art contemporain développée depuis 2007 par l'actuelle directrice du Domaine, Chantal Colleu-Dumond, qui, en multipliant les expositions temporaires et l'installation d'oeuvres monumentales dans les prés du Goualoup et dans le vaste parc d'une trentaine d'hectares, s'est employée à en faire un véritable centre de création.

Pour profiter pleinement de l'ensemble, deux jours sur place ne sont pas de trop. Détail appréciable, en "haute saison" (jusqu'au 3 novembre), le billet d'entrée pour deux jours au Domaine de Chaumont coûte 35 € (contre 20 € à la journée).

Château de Chaumont-sur-Loire : 39 chambres...

Les chambres sont installées dans des constructions nouvelles, éco-conçues (© Eric Sander/Domaine de Chaumont)
Les chambres sont installées dans des constructions nouvelles, éco-conçues (© Eric Sander/Domaine de Chaumont)
Par chance, depuis deux ans, on peut séjourner sur place : né du sauvetage d’un ancien corps de ferme appartenant au domaine historique, l'hôtel "Le Bois des Chambres" a été aménagé à deux pas du château. "Le sens de l'hospitalité du Domaine ne pouvait se passer d'un lieu de séjour et de villégiature", fait valoir Chantal Colleu-Dumond.

"Le Bois des Chambres" a été conçu par l'atelier Construire, de Patrick Bouchain et Loïc Julienne, en osmose avec l’ensemble du site, et donc en combinant restauration des vieux bâtiments et nouvelles créations architecturales.

Les 39 chambres sont installées dans deux constructions nouvelles à isolation thermique renforcée, Les Logis de la Loire et Les Logis du Loir, qui dupliquent, comme des ombres portées, les anciens corps de ferme. Vu de l'extérieur, ces constructions ont de fausses allures de hangars agricoles peints de bandes blanches et noires.


... et des lits immenses

Dans les belles suites, de grands « rideaux-murs » en lin dessinent des alcoves où sont disposés des lits immenses (©PB)
Dans les belles suites, de grands « rideaux-murs » en lin dessinent des alcoves où sont disposés des lits immenses (©PB)
A l'intérieur, ces bâtiments éco-conçus ne disposent ni de climatisation ni de télé. Toutes les chambres sont différentes.

Quelques-unes ont l'allure de cabanes que l'on rejoint en traversant une végétation foisonnante bordée d'arbres fruitiers palissés.

Les suites « perchées » de 22 à 31 m2, elles, sont composées d’un lit aux belles dimensions (2m x 2m), d’un petit salon et d’un bureau. La décoratrice Isabelle Allégret y a tamisé la lumière, ponctué l'espace de grands « rideaux-murs » en lin qui dessinent une alcôve où est disposée le lit immense où l'on dort comme un loir...

Lire aussi : Côte d'Azur : des jardins contemporains qui renouvellent l'offre touristique

Cet hôtel qui prolonge le goût du domaine pour le jardin et la création, n'a pas officiellement d'étoiles mais il en mériterait aisément quatre. Pour une chambre haute spacieuse comme celle que dans laquelle nous avons dormi, compter de 190 € à 290 € en "haute saison".

Bon à savoir : dans les anciens bâtiments de la ferme, se trouvent, outre la réception, deux espaces polyvalents qui peuvent accueillir séminaires et rencontres.

Une cuisine créative et légère

A l'intérieur du Grand Chaume, un étonnant décor bleu (© Eric Sander/Domaine de Chaumont)
A l'intérieur du Grand Chaume, un étonnant décor bleu (© Eric Sander/Domaine de Chaumont)
L'hôtel s'accompagne d'un restaurant de 50 couverts, « Le Grand Chaume », niché dans un bâtiment neuf assez étonnant : tout en rondeur, il a, vu de loin, quelque peu l'allure d'une énorme meule de foin.

A l'intérieur, l'armature du toit, restée apparente, dévoile un décor bleu nuit, transpercé d'une myriade de flèches blanches. Va savoir pourquoi, on ne peut s'empêcher, un instant, de penser à l'intérieur d'une vaste case africaine, ce que ce bâtiment n'est évidemment pas...

Les amateurs de gastronomie fine y sont comblés. Tout en s'employant à bousculer les papilles, la carte met en avant viandes, légumes, fruits et vins sélectionnés parmi les productions régionales. Compter 60 € par personne pour un menu entrée-plat-dessert (vin en sus). Et 85 € pour un menu découverte en cinq plats.

La cuisine, créative et légère, fait la part belle au végétal, mais le chef ne dédaigne pas la viande et le poisson, comme en témoignent le Gravlax d'esturgeons et l'agneau du Quercy rôti accompagné de caviar d'aubergine et de courgette que nous y avons dégusté un soir de la fin août.

On profite encore mieux du "Grand Chaume" si, avant de dîner, on s'offre un apéritif sur la terrasse, devant la marre en partie couverte par de grandes feuilles de lotus. Des carpes Koï s'y ébattent, des poules d'eau y plongent. Et des grenouilles y coassent. Un moment de bonheur garanti !

C'est donc en sirotant un "Spritz ligérien" -ici, pour réaliser ce cocktail, point de Prosecco, mais un Vouvray blanc à la vivacité pétillante !- accompagné de délicats amuse-bouche maison que nous avons regardé le jour tomber, avant de dîner à l'intérieur. Puis, de faire une petite promenade à pied jusque sur les bords de la Loire : un chemin sans difficulté descend vers le fleuve.

Vitrine de la création paysagère internationale

Le jardin  baptisé "Pollinators City" se veut aussi un clin d'oeil à New-York et à Central Park (©PB)
Le jardin baptisé "Pollinators City" se veut aussi un clin d'oeil à New-York et à Central Park (©PB)
L'idéal, bien sûr, c'est d'arriver au Domaine de Chaumont en début de journée. Si possible dès l'ouverture, à 10 heures. On profite ainsi, au mieux, sous la lumière douce du matin, de l'ambiance dans les jardins éphémères installés par les lauréats du Festival international des jardins.

Créé en 1992 par Jean-Paul Pigeat, ex-conseiller pour les jardins de Jack Lang au ministère de la Culture, ce Festival est devenu en une trentaine d'année une véritable vitrine de la création paysagère internationale. Et aussi un lieu de réflexion.

Chaque année, un thème ]best proposé aux créateurs qui veulent participer au concours : c'était "le biomimétisme" en 2021, "le jardin idéal" en 2022, la "résilience" en 2023. b[En 2024, le "jardin, source de vie" a été retenu. Ce thème évoque la biodiversité, la pollinisation, l'agroforesterie, le recyclage des végétaux, la gestion d'une eau appelée à devenir rare...

"On ne peut pas aborder l'univers végétal sans être conscient du climat. Chaumont a un rôle de plus en plus important à jouer, à la croisée des jardins historiques, des aménagements nouveaux et des enjeux écologiques", souligne à ce propos Chantal Colleu-Dumond.

La part belle aux enjeux écologiques

Dans le "Jardin des murmures", les constructions ont été réalisées en béton bas carbone (©PB)
Dans le "Jardin des murmures", les constructions ont été réalisées en béton bas carbone (©PB)
Pour l'édition 2024 du Festival des Jardins, plus de 300 dossiers de candidatures ont été reçus à Chaumont. Ils émanaient d’équipes pluridisciplinaires -paysagistes, botanistes, designers, metteurs en scène, sculpteurs, plasticiens, etc. Ces créateurs étaient Français, Belges, Allemands, Néerlandais, Suisses, Sud-coréens, Singapouriens, Américains, Québécois, etc. et aussi étudiants de l'Ecole de la nature et du paysage de Bois ou de l'Ecole Agro-Rennes-Angers. Le jury composé de paysagistes, de jardiniers, d'écrivains, de journalistes en a, comme c'est l'usage, retenu 25

Comme d'habitude, les lauréats du concours se sont vu confier une parcelle d'en moyenne 200 à 250 m2 pour réaliser leur projet.

A ces jardins ajoutent cinq "cartes vertes" -ce sont les invités de Chantal-Colleu-Dumond- confiées à des créateurs confirmés, comme le Français Bernard Lassus ou le Britannique Paul Hervey-Brookes, primé plusieurs fois au Chelsea Flower Show et désormais installé du côté de Vendôme.

Difficile de décrire par le menu tous les jardins de l'édition 2024 ! Si le côté créatif reste primordial, la plupart confirment en tous cas que plus les années passent, plus le festival fait la part belle au végétal et aux enjeux écologiques de notre temps mais -et c'est appréciable- sans jouer les donneurs de leçons.

En témoignent parmi les matériaux utilisés, l'utilisation de plus en plus fréquente du bois et aussi, tout spécialement cette année, des branchages, souches et troncs d'arbres appelés à être recyclés pour nourrir la terre.

En témoigne aussi l'attention portée à la gestion de l'eau. Et aux insectes pollinisateurs. Citons à ce propos le jardin baptisé "Pollinators City" réalisé par une équipe américaine : celle-ci a imaginé un monde où les pollinisateurs auraient créé -clin d'oeil à New York et à Central Park !- une éco-ville semblable à une ville humaine, matérialisée ici par des ruches en forme de gratte-ciel entourées de plantes vivifiantes et nourrissantes.

Citons ensuite le "Jardin pastoral" planté de vivaces colorées et de graminées où des déchets de laine venant du Cher voisin, lavée puis feutrée, est utilisée comme couvre-sol.

Citons encore le "Jardin des murmures" où les constructions urbaines, réalisées en béton bas carbone et parcourues de sillons, permettent dans leurs interstices le développement d'une grande variété de plantes, favorisant un écosystème riche et vivant.

Citons enfin le "Théâtre du rideau blanc" qui propose un paysage blanc, glacé et semé de petits conifères bleus, expression du repos réparateur de l'hiver quand la nature reprend son souffle. Le public est invité à observer ce paysage depuis un abri couvert, comme s'il était au spectacle...

Au Grand Velum, un déjeuner au jardin

"La Grotte Chaumont", l'étrange céramique géante du plasticien majorquin Miquel Barceló (©Eric Sander)
"La Grotte Chaumont", l'étrange céramique géante du plasticien majorquin Miquel Barceló (©Eric Sander)
Installés à la fin avril, ces jardins évoluent au cours des mois car, peu à peu, la végétation devient peu à peu luxuriante. Ils évolueront encore jusqu'à la fin de l'événement, en novembre. L'automne est donc une saison tout aussi propice -sinon plus- que le printemps ou l'été pour séjourner à Chaumont.

Quelle que soit la saison où l’on vient, après une première visite, le matin, à son arrivée, on gagne à retourner dans les jardins, l'après-midi, lorsque la lumière redevient plus douce.

Entre temps, on pourra déjeuner au « Grand Velum », le restaurant installé, de longue date, à l'intérieur même du Domaine, à deux pas des jardins du Festival et du parc.

Ce restaurant saisonnier installé sous une serre, dans un décor de plantes vertes et orchidées, sert lui aussi une cuisine créative.

Sans s'interdire la viande et le poisson, la carte, originale, met également en lumière des produits végétaux principalement issus de l’agriculture biologique, labellisés, et en circuits courts.

La formule découverte est à 32 €, la formule "gastronome" à 52 €. Le "curry végétal estival" que nous y avons dégusté à la fin août était excellent, tout comme l'entrée composée d'une tartelette et tartare de bœuf.

Et aussi des collections de plantes et des jardins pérennes

"Etre là, un peu +", le jardin pérenne de Bernard Lassus (©Eric Sander)
"Etre là, un peu +", le jardin pérenne de Bernard Lassus (©Eric Sander)
Dans l’après-midi, les amateurs de jardin seront d'autant plus comblés que l'offre des jardins éphémères du Festival est, depuis quelques années, complétée, dans les prés du Goualoup, par des collections de végétaux -roses, clématites, pivoines, dahlias, asters, iris japonais et depuis cette année, romarins, etc.

Se sont aussi ajoutés de superbes jardins pérennes réalisés par des créateurs, toujours dans les prés du Goualoup. Parmi ces derniers, un jardin anglais, plusieurs jardins chinois, un jardin coréen, un jardin imaginé par le paysagiste Paul-Alexandre Risser, un autre conçu par Bernard Lassus, etc.

S'y ajoutent aussi des jardins dessinés par l'équipe de jardiniers de Chaumont, comme, par exemple, cette année, le "'jardin des bonnes pratiques" qui rassemble, à l'intention des visiteurs, toutes les habitudes vertueuses que chacun se devrait d'adopter chez lui.

Bon à savoir aussi : les 21 et 22 septembre prochain, le Domaine de Chaumont-sur-Loire accueillera la sixième édition de sa Fête des plantes, baptisée les Botaniques.

Puis, du 4 au 8 octobre, à l'occasion de l'opération "Quand fleurir est un art", de grands artistes floraux, français et étrangers, réaliseront dans les salles du Château des compositions florales parfois très audacieuses, d’autres fois plus classiques.

Enfin, le Domaine de Chaumont a entrepris d'attirer ceux qui ont le goût pour la discussion avec ses "Conversations sous l'arbre". Des philosophes, des scientifiques, des écrivains, des artistes de tous horizons interviennent lors de ces "Conversations" autour de la nature qui durent deux jours.

Les participants sont –évidemment- hébergés à l'hôtel "Le Bois des chambres". Prochains rendez-vous : les 12 et 13 septembre 2024. Et les 17 et 18 octobre.

Un lieu incontournable pour la création contemporaine

La "Constellation du fleuve" de Christian Lapie (©PB)
La "Constellation du fleuve" de Christian Lapie (©PB)
Après une première journée dédiée aux jardins –mais elle ne suffira pas pour tout voir-, la deuxième journée pourra être consacrée à l’art. En effet, sous l’impulsion de Chantal Colleu-Dumont, le Domaine de Chaumont-sur-Loire est devenu un lieu incontournable pour les amateurs de créations plastiques contemporaines.

Chaque année, des artistes de renommée internationale, plasticiens et photographes sont invités à créer des œuvres inédites et originales sur le thème de la nature. Quelques-unes restent définitivement.

Réparties sur les 32 hectares du Domaine, toutes ces œuvres constituent pour les visiteurs un parcours initiatique riche de découvertes, de surprises et d’émotions.

On peut voir les oeuvres les plus monumentales en déambulant dans les près du Goualoup et dans le parc du château. Par exemple "Cairn" de Andy Goldsworthy, artiste spécialiste du Land art. Ou encore "Ugwu" et "Cire perdue" du plasticien ghanéen El Anatsui –une oeuvre de ce champion du recyclage et du détournement d'objets manufacturés est également installé dans les anciennes écuries.

Ne pas louper non plus les « Cabanes dans les arbres » de Tadashi Kawamata, la "folie" en ciment moulé de Eva Jospin, les sentinelles noires, placides et immuables, de la "Constellation du fleuve" de Christian Lapie. Ni, non plus, les sculptures aux formes circulaires réalisées en acier Corten par Bernar Venet. Ou encore l'étrange céramique géante baptisée "La Grotte Chaumont" du plasticien majorquin Miquel Barceló.

Une "Saison d'art" passionnante

L'automne en mon jardin, de Vincent Bioulès (© Pierre Schwartz)
L'automne en mon jardin, de Vincent Bioulès (© Pierre Schwartz)
A Chaumont, il faut aussi consacrer du temps aux grandes expositions temporaires de la "Saison d'art". Impossible, ici, de les évoquer toutes.

Cependant, cette année, dans les galeries hautes du château, sont présentés une quarantaine de tableaux liés à la nature de Vincent Bioulès. Une exploration saisissante de la couleur et la lumière ! Ce peintre français aujourd'hui âgé est en effet revenu au figuratif après avoir participé à la fin des années 60 à la création du mouvement artistique "Supports/Surfaces" mettant l'accent sur les composants élémentaires de la peinture.

Dans les galerie de la cour Agnès Varda, ce sont les "jardins merveilleux" -des peintures sur de longs rouleaux de papier- créés sur place par Damien Cabanes qui s'offrent au regard.

Notons aussi les installations liées à la matière comme "Laissez entrer au soleil" de Pascal Oudet qui a transformé en dentelle la matière d'un chêne.

Notons enfin la beauté des pollens mise en scène par Karine Bonneval et les lustres suspendus de Pascale Marthine Tayou qui projettent leurs ombres dans la Grange aux abeilles.

Au final, c'est le travail de bon nombre des grandes figures de la création contemporaine qui est visible à Chaumont.

Que ceux qui ne sont pas de grands amateurs d'art, ne se laissent pas intimider : ces oeuvres sont très accessibles. Et la balade dans le parc devenu un véritable musée d'art contemporain à ciel ouvert est d'autant plus délicieuse qu'il est peuplé d'arbres gigantesques.

On peut d'ailleurs aussi, emporter un livre. Ou simplement s'immerger en rêvant dans une belle nature verdoyante et fleurie, en toutes saisons.

PAULA BOYER Publié par Paula Boyer Responsable rubrique LuxuryTravelMaG - TourMaG.com
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Tags : jardin
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