« On a près de 1000 réservations contre 400 l’an passé, », annonce Régis Courvoisier, Directeur du Pôle « Estérel Côte d’Azur » co-fontadateur de la manifestation à Saint Raphaël.
Désormais la manifestation semble sur de bons rails et pourrait même devenir un évènement national.
Au fil des stands, on pouvait découvrir d’étonnants produits comme le Reeti, un automate très réaliste dans ses expressions, piloté par informatique diffusant des informations touristiques.
Il a été créé par la société varoise Robopec. Le web et ses applications sont à l’honneur.
Le pôle Esterel Côte d’Azur n’est pas à la traine. Au printemps, il sera ainsi possible de procéder à une visite numérique du sentier du littoral. Et d'ici 2012, une découverte des sentiers VTT en 3D sera proposée.
Désormais la manifestation semble sur de bons rails et pourrait même devenir un évènement national.
Au fil des stands, on pouvait découvrir d’étonnants produits comme le Reeti, un automate très réaliste dans ses expressions, piloté par informatique diffusant des informations touristiques.
Il a été créé par la société varoise Robopec. Le web et ses applications sont à l’honneur.
Le pôle Esterel Côte d’Azur n’est pas à la traine. Au printemps, il sera ainsi possible de procéder à une visite numérique du sentier du littoral. Et d'ici 2012, une découverte des sentiers VTT en 3D sera proposée.
Nouveaux outils pour le musée archéologique
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Et alors que les visiteurs se pressaient au palais des Congrès, le musée d’archéologie inaugurait ses nouveaux outils pour les visites en utilisant la technologie mobile.
Il a fallu équiper le musée en WIFI puis installer des « QR-codes ». Ces codes-barres en deux dimensions sur fond blanc, intégrés dans les différents espaces du musée.
Avec un iPad, ou un iPod touch, ceux des visiteurs ou ceux prêtés par le musée, on télécharge l’application « i-nigma » (sur Appstore et Androïd Market).
Elle permet ensuite de découvrir l’univers archéologique avec de courtes vidéos de sites d’où sont extraites les pièces du musée, des interviews, des textes et des photos...
Le visiteur dispose désormais d’un véritable guide virtuel multimédia pour mieux apprécier les objets exposés qui ont désormais une histoire et une âme via la technologie. On ne pouvait imaginer meilleure exemple d’application pour le salon Voyage en Multimédia.
www.salon-etourisme.com
Il a fallu équiper le musée en WIFI puis installer des « QR-codes ». Ces codes-barres en deux dimensions sur fond blanc, intégrés dans les différents espaces du musée.
Avec un iPad, ou un iPod touch, ceux des visiteurs ou ceux prêtés par le musée, on télécharge l’application « i-nigma » (sur Appstore et Androïd Market).
Elle permet ensuite de découvrir l’univers archéologique avec de courtes vidéos de sites d’où sont extraites les pièces du musée, des interviews, des textes et des photos...
Le visiteur dispose désormais d’un véritable guide virtuel multimédia pour mieux apprécier les objets exposés qui ont désormais une histoire et une âme via la technologie. On ne pouvait imaginer meilleure exemple d’application pour le salon Voyage en Multimédia.
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