La branche française de Hertz en appelle à la "solidarité", selon ses propres termes. Elle a demandé à ses cadres d'accepter une baisse de salaire comprise entre 5 et 7,5%, dans une lettre envoyée le 18 mars. Pour rappel, le groupe américain, détenu par trois fonds d'investissement américains a annoncé en janvier la suppression de 4.000 postes au niveau mondial.
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