Les ventes d'options par les agences de voyages ne sont pas rémunérées et certaines compagnies songeraient à le faire - Photo JDL
Le site américain Travel Weekly a publié récemment une enquête sur l’implication des agents de voyages dans la vente des options payantes - cette manne qui permet enfin à nombre de compagnies aériennes d’aligner un résultat financier positif.
Or, comme pour le prix moyen du billet, plus élevé en agence qu’en vente directe, les agents vendent aussi les options qui rapportent la meilleure recette aux compagnies.
Exemple : le choix du siège (9 agents corporate sur 10 les vendent), les bagages enregistrés ou encore le boarding prioritaire.
Chez le seul GDS Amadeus, les agents ont réalisé 9 millions de dollars d’options payantes l’année dernière, selon la dernière étude d’Ideaworks commandée par le GDS.
C’est peu sur les 27,1 milliards que les compagnies ont engrangé avec le choix toujours plus vaste des propositions payantes.
C’est que les GDS n’ont pas encore chargé les programmes dédiés des compagnies.
Or, comme pour le prix moyen du billet, plus élevé en agence qu’en vente directe, les agents vendent aussi les options qui rapportent la meilleure recette aux compagnies.
Exemple : le choix du siège (9 agents corporate sur 10 les vendent), les bagages enregistrés ou encore le boarding prioritaire.
Chez le seul GDS Amadeus, les agents ont réalisé 9 millions de dollars d’options payantes l’année dernière, selon la dernière étude d’Ideaworks commandée par le GDS.
C’est peu sur les 27,1 milliards que les compagnies ont engrangé avec le choix toujours plus vaste des propositions payantes.
C’est que les GDS n’ont pas encore chargé les programmes dédiés des compagnies.
Les ventes des options entrent dans le contrat des marges arrière
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Chez Amadeus, elles ne sont que 14 actuellement distribuées sur 45 pays.
Chez Sabre elles ne sont que neuf et encore moins chez Travelport. Les trois GDS ont néanmoins un programme dense de chargement de ces options, compagnie par compagnie.
Il n’empêche que Travel Weekly rappelle que ces ventes d'options par les agences de voyages ne sont pas rémunérées et que certaines compagnies songeraient à le faire ainsi qu’une étude de Phocuswright l’a laissé entendre l’année dernière.
Pour l’instant, les ventes des options payantes entrent dans le contrat des marges arrière ou des rémunérations complémentaires liées à des objectifs.
Mais qui sait, cela pourrait changer d’autant que les marges enregistrées par les compagnies sur certaines de ces options flirtent avec les 100%. Alors, dans ces conditions, un partage des bénéfices est …une option qui pourrait être payante pour les distributeurs.
Il est vrai qu'aux Etats-Unis, les compagnies qui se sont restructurées sont en bien meilleure position économique que les européennes.
« Food for thought* », comme disent les Anglo-Saxons…
* Piste de réflexion
Chez Sabre elles ne sont que neuf et encore moins chez Travelport. Les trois GDS ont néanmoins un programme dense de chargement de ces options, compagnie par compagnie.
Il n’empêche que Travel Weekly rappelle que ces ventes d'options par les agences de voyages ne sont pas rémunérées et que certaines compagnies songeraient à le faire ainsi qu’une étude de Phocuswright l’a laissé entendre l’année dernière.
Pour l’instant, les ventes des options payantes entrent dans le contrat des marges arrière ou des rémunérations complémentaires liées à des objectifs.
Mais qui sait, cela pourrait changer d’autant que les marges enregistrées par les compagnies sur certaines de ces options flirtent avec les 100%. Alors, dans ces conditions, un partage des bénéfices est …une option qui pourrait être payante pour les distributeurs.
Il est vrai qu'aux Etats-Unis, les compagnies qui se sont restructurées sont en bien meilleure position économique que les européennes.
« Food for thought* », comme disent les Anglo-Saxons…
* Piste de réflexion