L’Association des Cadres Navigant Commerciaux (ACNC) salue la décision du Ministre français de l’Economie et des Finances de saisir la Commission européenne à propos des aides publiques dont bénéficie la compagnie aérienne à bas coûts Norwegian.
"L’ACNC déplore cependant qu’il eut fallu attendre la mort de la deuxième compagnie aérienne française Aigle Azur ainsi que la situation désespérée d’XL Airways pour agir en faveur d’une concurrence plus loyale."
L’ACNC préconise comme la FNAM et le SCARA de prendre des mesures concrètes.
"L’ACNC déplore cependant qu’il eut fallu attendre la mort de la deuxième compagnie aérienne française Aigle Azur ainsi que la situation désespérée d’XL Airways pour agir en faveur d’une concurrence plus loyale."
L’ACNC préconise comme la FNAM et le SCARA de prendre des mesures concrètes.
Dans un communiqué l'association demande de :
"- Renoncer à de nouvelles taxes qui s’ajouteraient à la vingtaine déjà existante et représentant presque 5 milliards d’Euros par an et permettre ainsi aux compagnies d’investir dans une croissance qualitative avec des avions de plus en plus efficients et de moins en moins pollueur,
- Prendre sa part du financement de la sûreté dont les coûts explosent depuis 10 ans et qui restent entièrement financés, pour plus d’un milliard d’euros, par le secteur à travers la taxe d’aéroport incluse dans le prix du billet,
- Simplifier la transposition de certains règlements européens pour une meilleure efficacité opérationnelle,
- Défendre publiquement à l’heure ou l’avion sert de bouc émissaire, le secteur aérien en faisant la promotion des différents engagements environnementaux pris par les compagnies aériennes de stabiliser les émissions de CO2 du secteur d’ici à 2020, puis à les baisser de 50% d’ici à 2050 par rapport à 2005."
"- Renoncer à de nouvelles taxes qui s’ajouteraient à la vingtaine déjà existante et représentant presque 5 milliards d’Euros par an et permettre ainsi aux compagnies d’investir dans une croissance qualitative avec des avions de plus en plus efficients et de moins en moins pollueur,
- Prendre sa part du financement de la sûreté dont les coûts explosent depuis 10 ans et qui restent entièrement financés, pour plus d’un milliard d’euros, par le secteur à travers la taxe d’aéroport incluse dans le prix du billet,
- Simplifier la transposition de certains règlements européens pour une meilleure efficacité opérationnelle,
- Défendre publiquement à l’heure ou l’avion sert de bouc émissaire, le secteur aérien en faisant la promotion des différents engagements environnementaux pris par les compagnies aériennes de stabiliser les émissions de CO2 du secteur d’ici à 2020, puis à les baisser de 50% d’ici à 2050 par rapport à 2005."