Un rapprochement capitalistique entre les deux opérateurs est désormais le schéma retenu par les intéressés qui devraient le valider au cours de leurs conseils d'admininistration de mercredi 17 septembre et d'un comité central d'entreprise d'Air France le lendemain, selon le quotidien financier.
Selon le montage retenu, Air France prendra le contrôle de son homologue néerlandaise via les parts de l'Etat français, actionnaire à 54%, avance le journal, citant des sources proches du dossier.
L'Etat devrait ainsi céder 15% de sa participation à KLM en échange de quoi Air France s'emparera de 100% de la compagnie nationale néerlandaise. Dans un deuxième temps, l'Etat devrait vendre sur le marché 20% de plus et ramener ainsi sa participation à hauteur de 20% du capital, ajoute L'Agefi.
"Air France peut se rapprocher de KLM et ceci n'est pas du tout contradictoire avec la baisse de la participation de l'Etat en dessous de 50%", avait estimé jeudi sur Radio Notre-Dame, le ministre des Transports Gilles de Robien, précisant qu'à terme le gouvernement souhaitait conserver "entre 15 et 20%" du capital de la compagnie française.
Selon le montage retenu, Air France prendra le contrôle de son homologue néerlandaise via les parts de l'Etat français, actionnaire à 54%, avance le journal, citant des sources proches du dossier.
L'Etat devrait ainsi céder 15% de sa participation à KLM en échange de quoi Air France s'emparera de 100% de la compagnie nationale néerlandaise. Dans un deuxième temps, l'Etat devrait vendre sur le marché 20% de plus et ramener ainsi sa participation à hauteur de 20% du capital, ajoute L'Agefi.
"Air France peut se rapprocher de KLM et ceci n'est pas du tout contradictoire avec la baisse de la participation de l'Etat en dessous de 50%", avait estimé jeudi sur Radio Notre-Dame, le ministre des Transports Gilles de Robien, précisant qu'à terme le gouvernement souhaitait conserver "entre 15 et 20%" du capital de la compagnie française.