Alors que 43% des professionnels se déclaraient satisfaits pour la première quinzaine de juillet, ce score est passé à 80% pour la haute saison (15 juillet-20 août), selon le CRTA.
L'Aquitaine et son littoral figurent cependant parmi les "destinations en forte baisse" cette année, avec une fréquentation touristique en baisse de 5 à 15%, selon une étude du cabinet Protourisme.
Marquée par les images de vacanciers aux pieds souillés par les boulettes de fioul, puis par les tentes arrachées sous les coups de vent qui ont balayé le sud-ouest cet été, la haute saison a été moins bonne en 2003 qu'en 2002, déjà en demi-teinte à cause du mauvais temps, selon les chiffres du CRTA.
80% des professionnels " satisfaits" de la haute saison
Pour l'hôtellerie de plein air, qui représente 70 à 80% du secteur hôtelier en Aquitaine, la saison a été "difficile", à cause de l'effet successif des boulettes, des tempêtes et des températures parfois extrêmes pour les campeurs (41° au Cap-Ferret début août).
"Les gros établissements ont été plus pénalisés que les petits, avec des baisses de chiffres d'affaires de l'ordre de 15%", selon Pierre Dazens, président de la fédération des hôteliers de plein air de la Gironde.
Particulièrement touché par la désaffection des touristes étrangers, liée au contexte international, le tourisme urbain a aussi pâti des températures caniculaires : 71% des professionnels témoignent d'une baisse de fréquentation par rapport à 2002, selon le CRTA.
La Rédaction avec AFP - 05 septembre 2003
redaction@tourmag.com
L'Aquitaine et son littoral figurent cependant parmi les "destinations en forte baisse" cette année, avec une fréquentation touristique en baisse de 5 à 15%, selon une étude du cabinet Protourisme.
Marquée par les images de vacanciers aux pieds souillés par les boulettes de fioul, puis par les tentes arrachées sous les coups de vent qui ont balayé le sud-ouest cet été, la haute saison a été moins bonne en 2003 qu'en 2002, déjà en demi-teinte à cause du mauvais temps, selon les chiffres du CRTA.
80% des professionnels " satisfaits" de la haute saison
Pour l'hôtellerie de plein air, qui représente 70 à 80% du secteur hôtelier en Aquitaine, la saison a été "difficile", à cause de l'effet successif des boulettes, des tempêtes et des températures parfois extrêmes pour les campeurs (41° au Cap-Ferret début août).
"Les gros établissements ont été plus pénalisés que les petits, avec des baisses de chiffres d'affaires de l'ordre de 15%", selon Pierre Dazens, président de la fédération des hôteliers de plein air de la Gironde.
Particulièrement touché par la désaffection des touristes étrangers, liée au contexte international, le tourisme urbain a aussi pâti des températures caniculaires : 71% des professionnels témoignent d'une baisse de fréquentation par rapport à 2002, selon le CRTA.
La Rédaction avec AFP - 05 septembre 2003
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