Etonnante initiative de British Airways qui vient d’annoncer la mise en place future d’un service « tout Affaires » entre l’aéroport de London City et New York. Un tel projet n’a rien d’extraordinaire à Londres où les compagnies Silverjet et Eos opèrent déjà ce type de service vers les Etats-Unis, Même si Maxjet déposé son bilan voici quelques semaines.
L’originalité du projet tient dans le choix de l’aéroport. London City, comme son nom l’indique, est l’aéroport de la place financière où se trouvent concentrés les hommes d’affaires susceptibles de se déplacer fréquemment et en classe Affaires.
Mais la piste de London City située au bord de la Tamise ne peut accueillir tous les types d’avions. British Airways donc fait le choix d’y opérer des A 318 équipés de 32 sièges.
Vol opéré en A318 équipés de 32 sièges
Un avion moderne et peu gourmand, certes, mais trop gourmand tout de même pour assurer les sept heures de vol que nécessite un vol transatlantique. Les appareils de BA auront donc à faire un stop pour faire le plein en Irlande avant de faire le grand saut.
Les clients potentiels accepteront-ils ainsi facilement de perdre une petite heure ? British Airways explique que cette perte de temps sera compensée par des opérations de check in réduite à quinze minutes à l’aéroport de London City.
Quant au tarif appliqué à ce service spécial, BA devrait naviguer de façon à ne pas vider ses opérations classiques à l’aéroport d’Heathrow mais à faire la compétition avec les concurrents low cost. de Stansted et de Luton.
L’originalité du projet tient dans le choix de l’aéroport. London City, comme son nom l’indique, est l’aéroport de la place financière où se trouvent concentrés les hommes d’affaires susceptibles de se déplacer fréquemment et en classe Affaires.
Mais la piste de London City située au bord de la Tamise ne peut accueillir tous les types d’avions. British Airways donc fait le choix d’y opérer des A 318 équipés de 32 sièges.
Vol opéré en A318 équipés de 32 sièges
Un avion moderne et peu gourmand, certes, mais trop gourmand tout de même pour assurer les sept heures de vol que nécessite un vol transatlantique. Les appareils de BA auront donc à faire un stop pour faire le plein en Irlande avant de faire le grand saut.
Les clients potentiels accepteront-ils ainsi facilement de perdre une petite heure ? British Airways explique que cette perte de temps sera compensée par des opérations de check in réduite à quinze minutes à l’aéroport de London City.
Quant au tarif appliqué à ce service spécial, BA devrait naviguer de façon à ne pas vider ses opérations classiques à l’aéroport d’Heathrow mais à faire la compétition avec les concurrents low cost. de Stansted et de Luton.