La filiale française tout comme l'ensemble du Groupe Cit devraient renaître de leurs cendres et repartir pour de nouvelles aventures dès le début du mois d'aôut.
Depuis sa mise en redressement judiciaire il y a maintenant presque un an (août 2004), la vie de la Cit France a été rythmée par les délais accordés par le Tribunal de Commerce de Paris et les nouvelles en provenance d’Italie.
« Le CIPE, le comité interministériel qui s’est réuni le 12 juillet dernier a donné son accord de principe pour la sauvegarde de la CIT. Les banques qui nous ont soutenu sont également d’accord pour participer au plan de sauvetage de l’entreprise », explique Maurice Benzaquen, dg adjoint de Cit France.
Mais que ce fut dur et les bonnes nouvelles ont failli arriver comme les carabiniers. Selon le directeur, la finalisation de l’accord trouvé in extremis le jour même que la convocation de la filiale française devant le Tribunal de Commerce de Paris. Un accord qui devrait être régularisé d’ici 5 à 6 jours.
Nouvel actionnariat depuis le 30 juin
« Ca bouge enfin en Italie et 10 millions d’euros devraient être libérés très rapidement par les banques et il est question de rajouter entre 75 et 85 millions supplémentaires pour l’ensemble du Groupe CIT », précise le directeur.
« Depuis le 30 juin, il y a un nouvel actionnariat réuni autour du fonds public d’investissement Sviluppo Italia. Benito Benedini et une dizaine de banques ont repris les 30 % de parts de la famille Gandolfi, anciens actionnaires majoritaires du Groupe et ont confirmé leur intérêt pour la filiale française.
Devant ces « bonnes » nouvelles, le Tribunal de Commerce de Paris a donc décidé d’accorder une nouvelle rallonge d’un mois pour fixer définitivement le sort de la filiale française le 9 août prochain.
S’il ne veut pas « vendre la peau de l’ours… », Maurice Benzaquen ne cachait pas son plaisir et, après les énièmes rebondissements, avouait quand même que le « bout du tunnel » était enfin en point de mire.
« Le CIPE, le comité interministériel qui s’est réuni le 12 juillet dernier a donné son accord de principe pour la sauvegarde de la CIT. Les banques qui nous ont soutenu sont également d’accord pour participer au plan de sauvetage de l’entreprise », explique Maurice Benzaquen, dg adjoint de Cit France.
Mais que ce fut dur et les bonnes nouvelles ont failli arriver comme les carabiniers. Selon le directeur, la finalisation de l’accord trouvé in extremis le jour même que la convocation de la filiale française devant le Tribunal de Commerce de Paris. Un accord qui devrait être régularisé d’ici 5 à 6 jours.
Nouvel actionnariat depuis le 30 juin
« Ca bouge enfin en Italie et 10 millions d’euros devraient être libérés très rapidement par les banques et il est question de rajouter entre 75 et 85 millions supplémentaires pour l’ensemble du Groupe CIT », précise le directeur.
« Depuis le 30 juin, il y a un nouvel actionnariat réuni autour du fonds public d’investissement Sviluppo Italia. Benito Benedini et une dizaine de banques ont repris les 30 % de parts de la famille Gandolfi, anciens actionnaires majoritaires du Groupe et ont confirmé leur intérêt pour la filiale française.
Devant ces « bonnes » nouvelles, le Tribunal de Commerce de Paris a donc décidé d’accorder une nouvelle rallonge d’un mois pour fixer définitivement le sort de la filiale française le 9 août prochain.
S’il ne veut pas « vendre la peau de l’ours… », Maurice Benzaquen ne cachait pas son plaisir et, après les énièmes rebondissements, avouait quand même que le « bout du tunnel » était enfin en point de mire.