La transcription du l'enregistreur vocal du cockpit, l'une des deux boîtes noires de l'appareil de Flash Airlines qui s'est abîmé en mer rouge provoquant la mort de 148 personnes, le 3 janvier 2004, aurait été mal retranscrite et "arrangée", selon un article du Figaro.
Le quotidien cite l'expert Jean-Pierre Otelli dans son livre Charters, à paraître jeudi prochain qui met en avant plusieurs incohérences. A propos du pilotage automatique, lorsque l'appareil de Flash Airlines commençait à monter, le commandant de bord ordonne à son adjoint "mets-le". Ce passage a été retranscrit dans le rapport égyptien seulement par une remarque d'exclamation ("Exclamation remark"), explique l'expert dans son ouvrage.
"D'autres passages de l'enregistreur des communications à bord réservent des surprises, tel celui de la visite, au sol à Charm el-Cheikh, de l'ingénieur de maintenance. Le spécialiste disparaît sans dire au revoir alors que plusieurs instruments fonctionnent mal..." souligne encore l'article du quotidien.
Deux ans après le crash, les autorités égyptiennes n'ont pas livré de version officielle définitive.
Le quotidien cite l'expert Jean-Pierre Otelli dans son livre Charters, à paraître jeudi prochain qui met en avant plusieurs incohérences. A propos du pilotage automatique, lorsque l'appareil de Flash Airlines commençait à monter, le commandant de bord ordonne à son adjoint "mets-le". Ce passage a été retranscrit dans le rapport égyptien seulement par une remarque d'exclamation ("Exclamation remark"), explique l'expert dans son ouvrage.
"D'autres passages de l'enregistreur des communications à bord réservent des surprises, tel celui de la visite, au sol à Charm el-Cheikh, de l'ingénieur de maintenance. Le spécialiste disparaît sans dire au revoir alors que plusieurs instruments fonctionnent mal..." souligne encore l'article du quotidien.
Deux ans après le crash, les autorités égyptiennes n'ont pas livré de version officielle définitive.