Leçon de dessin donnée aux collégiens lors du rendez-vous international du carnet de voyage. A tour de rôle, les carnettistes animent des ateliers - Photo : Jean-Louis Gorce
Un peu comme des anciens combattants (mais pacifistes), les voyageurs aiment raconter leurs péripéties.
Leurs dernières victoires remontent à leurs voyages les plus pittoresques. A chacun de les exposer, voire de les arranger, avec ses moyens : photos, écrits, bavardages de salon ou de comptoir et on en oublie.
Réservés aux artistes voyageurs, le dessin, la peinture et le croquis sont probablement les formes les moins communes mais les plus poétiques de raconter un périple.
On parle alors de carnettistes, un mot nouveau encore ignoré des dictionnaires et correcteurs orthographiques.
Depuis 24 ans, ils se donnent rendez-vous à Clermont-Ferrand. Cette année il y avait plus de 120 invités, dont 80 carnettistes, pour présenter leurs carnets et dialoguer avec le public (20 000 personnes dont 2 500 scolaires).
Aquarelles, fusains, croquis, bandes dessinées... du bloc-note traditionnel aux carnets numériques et sonores, tous les styles étaient représentés à l’espace Polydome, du 15 au 17 novembre 2024, faisant du Rendez-vous International du Carnet de Voyage la plus grande manifestation du genre.
Leurs dernières victoires remontent à leurs voyages les plus pittoresques. A chacun de les exposer, voire de les arranger, avec ses moyens : photos, écrits, bavardages de salon ou de comptoir et on en oublie.
Réservés aux artistes voyageurs, le dessin, la peinture et le croquis sont probablement les formes les moins communes mais les plus poétiques de raconter un périple.
On parle alors de carnettistes, un mot nouveau encore ignoré des dictionnaires et correcteurs orthographiques.
Depuis 24 ans, ils se donnent rendez-vous à Clermont-Ferrand. Cette année il y avait plus de 120 invités, dont 80 carnettistes, pour présenter leurs carnets et dialoguer avec le public (20 000 personnes dont 2 500 scolaires).
Aquarelles, fusains, croquis, bandes dessinées... du bloc-note traditionnel aux carnets numériques et sonores, tous les styles étaient représentés à l’espace Polydome, du 15 au 17 novembre 2024, faisant du Rendez-vous International du Carnet de Voyage la plus grande manifestation du genre.
Ateliers, cours, rencontres, projections pour ce rendez-vous international du carnet de voyage
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La visite des stands, les rencontres, les dialogues donnent aux visiteurs l’envie de s’initier. A tour de rôle, les carnettistes animent des ateliers au choix : aquarelle, peinture, dessin, mais encore écriture et mise en page.
Pour compléter, un espace de démonstration dessin est mis en place sur grand écran au sein de l’exposition.
Le voyage se poursuit en réalité virtuelle en enfilant un casque pour conquérir le pôle sud ou l’Everest. Rien d’impossible en 3D.
Chemin faisant, le visiteur part à la rencontre d’un écrivain, de son œuvre, pour un voyage en intimité. En particulier avec Jean-Christophe Rufin, médecin, prix Goncourt et pionnier de mouvement humanitaire, Franck Pavloff ,auteur de Matin Brun, nouvelle culte traduite en 25 langues, mais aussi grand voyageur qui sort son premier carnet illustré Sur le fleuve Amazonie.
La manifestation n’est pas en reste côté projections, suivies de débats en présence de l’auteur comme Toundra (Didier Larreyet et Yves Fagniard), Pas de Visas pour Damas (Jules Clavier), Fils du Vent (Jérémie Bigé et Aubin Duric), Ordinaire (Jérémie Stradier).
Lire aussi : Le rendez vous du Carnet de voyage dévoile son affiche
Pour compléter, un espace de démonstration dessin est mis en place sur grand écran au sein de l’exposition.
Le voyage se poursuit en réalité virtuelle en enfilant un casque pour conquérir le pôle sud ou l’Everest. Rien d’impossible en 3D.
Chemin faisant, le visiteur part à la rencontre d’un écrivain, de son œuvre, pour un voyage en intimité. En particulier avec Jean-Christophe Rufin, médecin, prix Goncourt et pionnier de mouvement humanitaire, Franck Pavloff ,auteur de Matin Brun, nouvelle culte traduite en 25 langues, mais aussi grand voyageur qui sort son premier carnet illustré Sur le fleuve Amazonie.
La manifestation n’est pas en reste côté projections, suivies de débats en présence de l’auteur comme Toundra (Didier Larreyet et Yves Fagniard), Pas de Visas pour Damas (Jules Clavier), Fils du Vent (Jérémie Bigé et Aubin Duric), Ordinaire (Jérémie Stradier).
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Yann Arthus-Bertrand au cœur du Rendez Vous
Yann Arthus-Bertrand vu par Jean-Louis Gorce, dessinateur de presse, co-auteur de L’eau bien commun du vivant avec Dum et Jean-Pierre Wauquiez - Crédit : Jean-Louis Gorce
Durant les trois jours, Yann Arthus-Bertrand a photographié des personnes de la région dans toute leur diversité (culturelle, professionnelle, associative, personnelle).
Il a installé son studio au cœur de la manifestation et accueilli 121 groupes et photographes, soit 610 personnes. Toutes recevront un cliché numérique et certaines figureront dans son livre de portraits.
Depuis ses débuts comme photographe animalier dans la réserve de Masaï-Mara au Kenya, jusqu’à la création de la Fondation GoodPlanet, il partagera avec le public du festival un récit de son parcours. Au cœur de cette histoire, l’auteur du best-seller La terre vue du ciel raconte son engagement envers l’humanité et la biodiversité.
Rendez-vous donc pour de nouvelles aventures, au prochain Carnet de Voyage en 2025. Cette année là, il fêtera son quart de siècle.
Lire aussi : Yann Arthus-Bertrand donne rendez-vous aux voyageurs à Clermont-Ferrand !
Il a installé son studio au cœur de la manifestation et accueilli 121 groupes et photographes, soit 610 personnes. Toutes recevront un cliché numérique et certaines figureront dans son livre de portraits.
Depuis ses débuts comme photographe animalier dans la réserve de Masaï-Mara au Kenya, jusqu’à la création de la Fondation GoodPlanet, il partagera avec le public du festival un récit de son parcours. Au cœur de cette histoire, l’auteur du best-seller La terre vue du ciel raconte son engagement envers l’humanité et la biodiversité.
Rendez-vous donc pour de nouvelles aventures, au prochain Carnet de Voyage en 2025. Cette année là, il fêtera son quart de siècle.
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Les prix du rendez-vous international du carnet de voyage
- Double prix du public et de l’écriture Michel Renaud : Jérémie Bonamant-Treboul pour Venise au crépuscule (autoédition)
- Coup de cœur : Linda Jay et Yves Exbrayat pour Lili au Kili (autoédition)
- Grand Prix de la Fondation d’Entreprise Michelin : Christian Heinrich pour Du Vent dans les pinceaux (éditions Astrid Franchet)
- Prix du Club de la presse Auvergne : Caroline Amblard pour Arigato Gozaimazu, prélude japonais (autoédition)
- Coup de cœur : Simon Mitteault et Adrien Le Galloc’h pour Mayotte à l’endroit Mayotte à l’envers (éditions Des Bulles dans l’Océan )
- Prix international du carnet de Voyage carnet d’ailleurs : Barnaba Salvador pour Islande : Laugavegur (autoédition)
- Coup de cœur : Raoul Deamo pour Estimada Collserola (éditions parc Natura)
- Prix du film Chamina Voyages : Jérémy Bigé et Aubin Duric pour Fils du Vent
- Grand prix du jury du concours du carnet de voyage scolaire : élèves de 5e et 4e du collège Rosa-Parks de Châteauroux pour Voyage au cœur de nos origines
- Prix universitaire international du carnet de voyage étudiant : Laetitia Balaresque, master en géographie à Lyon pour Balade en Méditerranée
- Coup de cœur : sept étudiants M1 direction de projets d’établissements culturels, réalisé avec sept jeunes migrants.
- Coup de cœur : Linda Jay et Yves Exbrayat pour Lili au Kili (autoédition)
- Grand Prix de la Fondation d’Entreprise Michelin : Christian Heinrich pour Du Vent dans les pinceaux (éditions Astrid Franchet)
- Prix du Club de la presse Auvergne : Caroline Amblard pour Arigato Gozaimazu, prélude japonais (autoédition)
- Coup de cœur : Simon Mitteault et Adrien Le Galloc’h pour Mayotte à l’endroit Mayotte à l’envers (éditions Des Bulles dans l’Océan )
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