Ce lundi 18 mars 2013, dans la matinée, Airbus a signé un contrat avec Lion Air. L'accord port sur une commande ferme de 234 exemplaires de l'A320 pour un montant de 18,4 milliards d'euros au prix catalogue.
Elle se décline en 109 A320neo, 65 A321neo, version remotorisée, et 60 A320 classiques, selon un communiqué de l’Élysée.
Car le contrat a été conclu au Palais présidentiel français en présence de François Hollande, président de la République française et Fabrice Brégier, président exécutif du constructeur européen.
Ce dernier parvient ainsi à conquérir un nouveau client qui jusqu'alors achetait ses appareils à Boeing. Ce transporteur indonésien à bas-coût affiche l'une des croissances les plus fortes au monde dans le secteur du transport aérien de passagers.
Notons toutefois que, à l'instar de bon nombre de ses homologues privés en Indonésie, Lion Air figure toujours sur liste noire. Elle est ainsi interdite d'exploitation en Union européenne et bannie de l'espace aérien américain.
De plus, en janvier 2012, elle avait été sanctionnée après que plusieurs de ses pilotes aient été arrêtés en possession de méthamphétamine.
En 2011, la compagnie figurait par ailleurs en dernière position du classement du ministère des Transports sur la ponctualité avec seulement deux tiers de ses vols à l'heure.
Elle se décline en 109 A320neo, 65 A321neo, version remotorisée, et 60 A320 classiques, selon un communiqué de l’Élysée.
Car le contrat a été conclu au Palais présidentiel français en présence de François Hollande, président de la République française et Fabrice Brégier, président exécutif du constructeur européen.
Ce dernier parvient ainsi à conquérir un nouveau client qui jusqu'alors achetait ses appareils à Boeing. Ce transporteur indonésien à bas-coût affiche l'une des croissances les plus fortes au monde dans le secteur du transport aérien de passagers.
Notons toutefois que, à l'instar de bon nombre de ses homologues privés en Indonésie, Lion Air figure toujours sur liste noire. Elle est ainsi interdite d'exploitation en Union européenne et bannie de l'espace aérien américain.
De plus, en janvier 2012, elle avait été sanctionnée après que plusieurs de ses pilotes aient été arrêtés en possession de méthamphétamine.
En 2011, la compagnie figurait par ailleurs en dernière position du classement du ministère des Transports sur la ponctualité avec seulement deux tiers de ses vols à l'heure.