C'est dans un décor digne d'un palais vénitien que la marque Donatello a signé mardi 9 février son grand retour dans le monde du tourisme.
Près de 150 agences étaient invitées au musée des arts forains afin découvrir la nouvelle brochure du TO.
Un catalogue de 137 pages dont l'élégance n'a rien à envier à l'ancienne version.
Une publication distribuée à 60 000 exemplaires très attendue par les agences de voyages.
"Les catalogues Donatello étaient une véritable bible. Les agences les utilisent encore pour travailler. Certains clients l'emportaient en voyage un peu comme un guide. On trouvait absolument toute l'Italie à l'intérieur", explique Emmanuel Foiry, le PDG de Travel Lab.
La version Donatello 2016 est cependant moins exhaustive qu'autrefois.
La production a été modernisée et allégée pour ne trouver que l'essentiel : à savoir 7 circuits accompagnés, 6 autotours, ainsi qu'une sélection d’hôtels dans les destinations prisées avec quelques exclusivités, comme l'hôtel Dune en Sardaigne ou le Roméo à Naples.
Le TO s'est également engagé sur l'aérien à Venise, en Sicile ainsi qu'en Sardaigne et sur ses circuits.
Près de 150 agences étaient invitées au musée des arts forains afin découvrir la nouvelle brochure du TO.
Un catalogue de 137 pages dont l'élégance n'a rien à envier à l'ancienne version.
Une publication distribuée à 60 000 exemplaires très attendue par les agences de voyages.
"Les catalogues Donatello étaient une véritable bible. Les agences les utilisent encore pour travailler. Certains clients l'emportaient en voyage un peu comme un guide. On trouvait absolument toute l'Italie à l'intérieur", explique Emmanuel Foiry, le PDG de Travel Lab.
La version Donatello 2016 est cependant moins exhaustive qu'autrefois.
La production a été modernisée et allégée pour ne trouver que l'essentiel : à savoir 7 circuits accompagnés, 6 autotours, ainsi qu'une sélection d’hôtels dans les destinations prisées avec quelques exclusivités, comme l'hôtel Dune en Sardaigne ou le Roméo à Naples.
Le TO s'est également engagé sur l'aérien à Venise, en Sicile ainsi qu'en Sardaigne et sur ses circuits.
Un outil de réservation en ligne pour des voyages sur-mesure
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Mais la différence se fait désormais en ligne avec l'outil de réservation baptisé Dynamik.
Développé en interne, il offre un accès à un vaste catalogue hôtelier et aérien pour créer un voyage sur-mesure. Le site permet de réserver sur une seule et même interface ses vols réguliers ou low cost, la location de voiture, ou encore les excursions.
De quoi offrir une plus grande flexibilité dans la production, un élément qui faisait cruellement défaut à l'ancien Donatello, mais qui est devenu essentiel pour se distinguer dans un marché toujours plus concurrentiel.
Car la brochure est sortie assez tardivement par rapport aux autres acteurs qui vendent l'Italie. Un retard assumé par l'équipe.
"Nous aurions pu tout lancer en un mois. Mais nous avons préféré prendre notre temps, visiter les hôtels et bâtir une brochure qui correspond à l'image de l'ancien Donatello, celui Antonio d'Apote", explique Matthieu Mariotti, qui a mené l'équipe de production de six personnes en interne.
Dans tous les cas, ce retour un peu tardif n'a pas échaudé les agences de voyages. Depuis l'ouverture de la réservation le 1er février, 600 appels ont été traités. Et l'outil Dynamik a déjà enregistré une dizaine de dossiers.
Un excellent démarrage qui n'empêche pas Emmanuel Foiry de rester prudent. Le directeur se refuse à donner des objectifs chiffrés pour une marque acquise à la barre du tribunal en mars 2015.
Il avait remporté la mise face à une offre de 45 000 euros. Lui aurait déboursé au moins deux fois plus mais refuse de confirmer un quelconque chiffre.
Un prix d'achat qui n'aura selon lui plus vraiment d'importance dans quelques années, quand le tour-opérateur sera en marche et rapportera plusieurs dizaines de milliers d'euros de chiffre d'affaires.
Mais il lui sera difficile de retrouver ses performances d'antan, lorsque Donatello engrangeait 130 millions d'euros de chiffre d'affaires et faisait travailler 150 personnes.
Les temps ont bien changé et si l'Italie reste une destination refuge, son panier moyen s'avère le plus modeste du groupe Travel Lab : entre 1000 à 1500 euros contre 2500 à 3000 euros dans le reste du monde.
Développé en interne, il offre un accès à un vaste catalogue hôtelier et aérien pour créer un voyage sur-mesure. Le site permet de réserver sur une seule et même interface ses vols réguliers ou low cost, la location de voiture, ou encore les excursions.
De quoi offrir une plus grande flexibilité dans la production, un élément qui faisait cruellement défaut à l'ancien Donatello, mais qui est devenu essentiel pour se distinguer dans un marché toujours plus concurrentiel.
Car la brochure est sortie assez tardivement par rapport aux autres acteurs qui vendent l'Italie. Un retard assumé par l'équipe.
"Nous aurions pu tout lancer en un mois. Mais nous avons préféré prendre notre temps, visiter les hôtels et bâtir une brochure qui correspond à l'image de l'ancien Donatello, celui Antonio d'Apote", explique Matthieu Mariotti, qui a mené l'équipe de production de six personnes en interne.
Dans tous les cas, ce retour un peu tardif n'a pas échaudé les agences de voyages. Depuis l'ouverture de la réservation le 1er février, 600 appels ont été traités. Et l'outil Dynamik a déjà enregistré une dizaine de dossiers.
Un excellent démarrage qui n'empêche pas Emmanuel Foiry de rester prudent. Le directeur se refuse à donner des objectifs chiffrés pour une marque acquise à la barre du tribunal en mars 2015.
Il avait remporté la mise face à une offre de 45 000 euros. Lui aurait déboursé au moins deux fois plus mais refuse de confirmer un quelconque chiffre.
Un prix d'achat qui n'aura selon lui plus vraiment d'importance dans quelques années, quand le tour-opérateur sera en marche et rapportera plusieurs dizaines de milliers d'euros de chiffre d'affaires.
Mais il lui sera difficile de retrouver ses performances d'antan, lorsque Donatello engrangeait 130 millions d'euros de chiffre d'affaires et faisait travailler 150 personnes.
Les temps ont bien changé et si l'Italie reste une destination refuge, son panier moyen s'avère le plus modeste du groupe Travel Lab : entre 1000 à 1500 euros contre 2500 à 3000 euros dans le reste du monde.