Après plus de 14 jours d'un conflit que chacun espère aussi bref que possible, il nous a semblé intéressant de dresser un bilan des conséquences de cette crise dans le secteur du tourisme en Israël. Alors que les chiffres étaient en réelle progression juste avant le déclenchement des hostilités, les professionnels du secteur émettent leur avis sur la question.
A l'Association des Agents de Voyages Israélienne (équivalent local du SNAV français), on s'occupe en priorité des passagers qui avaient réservé un séjour en Europe ou ailleurs et qui désirent éventuellement annuler celui-ci.
Yossi Fatael, son Directeur Général, a publié une déclaration selon laquelle les réservistes et leur très proche famille peuvent annuler leur voyage, les TO tentant de faire le maximum pour limiter les frais d'annulation. Quant aux voyages prévus à moyen terme, il n'est pour l'instant pas envisagé de ne pas prélever les frais d'annulation.
Chez Ortra, un des grands réceptifs israéliens très présent chez les agents de voyages spécialisés sur cette destination en France, on est optimiste. Ainsi, selon Frédéric Sabbah, le Directeur du Département francophone : "Depuis le début des évènements nous n'avons pas eu trop d'annulations, les premiers jours les agents français nous appelaient pour savoir qu'elle était la politique des hôteliers concernant les frais d’annulation. Nous leur avons dit que nous ne chargerons pas de frais d'annulation et nous leur avons demandé de tranquilliser leurs clients et de leur conseiller d'attendre le plus près de la date pour prendre leur décision"
"Depuis le début des évènements nous n'avons pas eu trop d'annulations..."
Concernant les groupes présents sur place, il déclare : « Il est évident que les personnes qui devaient venir dans les prochains jours dans le Nord du pays soit ont annulé, soit nous leur avons trouvé une alternative a Jérusalem ou à la Mer morte ou à Eilat.
Ce qui est paradoxal c'est que nous avons eu de nouvelles réservations pour Eilat, car Eilat est presque considéré ici comme l'étranger de par sa distance de Jérusalem ou de Tel-aviv.
Patrick Touboul, le Directeur de Directline, une agence de voyage spécialisée dans la vente de billets d'avions sec entre la France et Israël est aussi assez optimiste.
« Cette semaine, si nous avons effectivement reçu pas mal d'appels téléphoniques de clients inquiets, aucun n'a pour le moment annulé ses billets de ou vers Israël. Cela est peut-être dû au fait que les combats se déroulent loin des villes habituellement fréquentées par nos clients telles Netanya, Tel Avi ou Jérusalem. »
Tous s'accordent cependant sur le fait qu'un enlisement du conflit ne pourra qu'avoir, à long terme, des conséquences néfastes. Mais comme nous nous trouvons en Terre Sainte, ils pensent que tout est possible, y compris dans le sens positif du terme.
A l'Association des Agents de Voyages Israélienne (équivalent local du SNAV français), on s'occupe en priorité des passagers qui avaient réservé un séjour en Europe ou ailleurs et qui désirent éventuellement annuler celui-ci.
Yossi Fatael, son Directeur Général, a publié une déclaration selon laquelle les réservistes et leur très proche famille peuvent annuler leur voyage, les TO tentant de faire le maximum pour limiter les frais d'annulation. Quant aux voyages prévus à moyen terme, il n'est pour l'instant pas envisagé de ne pas prélever les frais d'annulation.
Chez Ortra, un des grands réceptifs israéliens très présent chez les agents de voyages spécialisés sur cette destination en France, on est optimiste. Ainsi, selon Frédéric Sabbah, le Directeur du Département francophone : "Depuis le début des évènements nous n'avons pas eu trop d'annulations, les premiers jours les agents français nous appelaient pour savoir qu'elle était la politique des hôteliers concernant les frais d’annulation. Nous leur avons dit que nous ne chargerons pas de frais d'annulation et nous leur avons demandé de tranquilliser leurs clients et de leur conseiller d'attendre le plus près de la date pour prendre leur décision"
"Depuis le début des évènements nous n'avons pas eu trop d'annulations..."
Concernant les groupes présents sur place, il déclare : « Il est évident que les personnes qui devaient venir dans les prochains jours dans le Nord du pays soit ont annulé, soit nous leur avons trouvé une alternative a Jérusalem ou à la Mer morte ou à Eilat.
Ce qui est paradoxal c'est que nous avons eu de nouvelles réservations pour Eilat, car Eilat est presque considéré ici comme l'étranger de par sa distance de Jérusalem ou de Tel-aviv.
Patrick Touboul, le Directeur de Directline, une agence de voyage spécialisée dans la vente de billets d'avions sec entre la France et Israël est aussi assez optimiste.
« Cette semaine, si nous avons effectivement reçu pas mal d'appels téléphoniques de clients inquiets, aucun n'a pour le moment annulé ses billets de ou vers Israël. Cela est peut-être dû au fait que les combats se déroulent loin des villes habituellement fréquentées par nos clients telles Netanya, Tel Avi ou Jérusalem. »
Tous s'accordent cependant sur le fait qu'un enlisement du conflit ne pourra qu'avoir, à long terme, des conséquences néfastes. Mais comme nous nous trouvons en Terre Sainte, ils pensent que tout est possible, y compris dans le sens positif du terme.