TourMaG - Forfait tout compris, My Exploration, Sea Destinations… Pouvez-vous détailler ces nouveautés dévoilées par Costa Croisières et nous en donner les raisons ?
Luigi Stefanelli : Ces nouvelles offres s’intègrent dans une refonte plus globale, dont la communication et la promotion, lancée en 2021.
En ce qui concerne la formule « All inclusive » c’était une demande de nos clients et je précise que c’est un vrai « All inclusive » avec les repas, le divertissement, les installations divers et variés dans un lieu qui change tous les jours. L’objectif, c’est que les passagers n’aient plus rien à payer à bord.
En complément, on se rend compte qu’il existe un marché de niche de clients qui souhaitent encore plus et pour eux nous avons conçu l’offre « Super All Inclusive » qui intègre, en plus, un forfait d’excursions à terre, « My Exploration » dont les programmes ont été entièrement revus en début d’année. Les conditions idéales pour profiter de vacances en croisière.
Si l’on compare une croisière avec un séjour dans un club, elle a cela d’incomparable que chaque jour vous vous réveillez dans un endroit différent et qu’en plus vous profitez d’animations de la trempe de show digne de Las Vegas.
Enfin, les Sea Destinations. La grande nouveauté de l’année !
On cherchait un concept très différenciant pour Costa Croisières, il est unique dans notre secteur et nous sommes le seul à proposer ce type d’expérience à bord aujourd’hui. Ce n’est pas une « simple » animation en mer, le navire est acteur de ce spectacle : il s’arrête à certains moments, à certains endroits, à certaines heures. Nous faisons vivre depuis le bateau de vraies expériences.
Par exemple, pour le coucher du soleil face à l’île de Formentera, on prévoit un DJ qui viendra directement de l’ile pour faire vivre à nos clients l’ambiance qu’ils retrouveraient à terre. Dans les fjords norvégiens, quand on navigue le long des chutes des Sept Soeurs, les passagers peuvent entendre avec des écouteurs des histoires des anciens guerriers locaux.
C’est pareil aux Dardanelles, dans les îles grecques, on s’inspire des spécificités de chaque lieu pour proposer des expériences uniques à bord. On ne peut plus se contenter de faire voyager des passagers d’une escale à l’autre. Les clients ont besoin d’expériences pendant l’itinéraire en mer.
Luigi Stefanelli : Ces nouvelles offres s’intègrent dans une refonte plus globale, dont la communication et la promotion, lancée en 2021.
En ce qui concerne la formule « All inclusive » c’était une demande de nos clients et je précise que c’est un vrai « All inclusive » avec les repas, le divertissement, les installations divers et variés dans un lieu qui change tous les jours. L’objectif, c’est que les passagers n’aient plus rien à payer à bord.
En complément, on se rend compte qu’il existe un marché de niche de clients qui souhaitent encore plus et pour eux nous avons conçu l’offre « Super All Inclusive » qui intègre, en plus, un forfait d’excursions à terre, « My Exploration » dont les programmes ont été entièrement revus en début d’année. Les conditions idéales pour profiter de vacances en croisière.
Si l’on compare une croisière avec un séjour dans un club, elle a cela d’incomparable que chaque jour vous vous réveillez dans un endroit différent et qu’en plus vous profitez d’animations de la trempe de show digne de Las Vegas.
Enfin, les Sea Destinations. La grande nouveauté de l’année !
On cherchait un concept très différenciant pour Costa Croisières, il est unique dans notre secteur et nous sommes le seul à proposer ce type d’expérience à bord aujourd’hui. Ce n’est pas une « simple » animation en mer, le navire est acteur de ce spectacle : il s’arrête à certains moments, à certains endroits, à certaines heures. Nous faisons vivre depuis le bateau de vraies expériences.
Par exemple, pour le coucher du soleil face à l’île de Formentera, on prévoit un DJ qui viendra directement de l’ile pour faire vivre à nos clients l’ambiance qu’ils retrouveraient à terre. Dans les fjords norvégiens, quand on navigue le long des chutes des Sept Soeurs, les passagers peuvent entendre avec des écouteurs des histoires des anciens guerriers locaux.
C’est pareil aux Dardanelles, dans les îles grecques, on s’inspire des spécificités de chaque lieu pour proposer des expériences uniques à bord. On ne peut plus se contenter de faire voyager des passagers d’une escale à l’autre. Les clients ont besoin d’expériences pendant l’itinéraire en mer.
Costa Croisières : un bateau positionné à la Seyne-sur-Mer en 2025
TourMaG - Quels itinéraires peut-on mettre en avant pour la saison en cours ?
Luigi Stefanelli : Déjà, nous avons un portefeuille d’offres extrêmement large, les îles grecques, la Méditerranée occidentale, l’Europe du Nord et, aussi, une croisière qui part de Marseille pour relier les Canaries en passant par le Portugal.
Pour les Français qui recherchent des programmes originaux et inédits, on vient de lancer un itinéraire de sept nuits que nous sommes les seuls à proposer au départ d’Athènes via les îles grecques et Istanbul avec nos propres vols depuis Paris.
Ceux qui aiment les mers du Nord peuvent embarquer à Hambourg vers les fjords, ou plus atypiques, l’Islande, les Lofoten voire jusqu’au Groenland dans le cadre d’un programme de 21 jours.
Puisque l’on parle d’itinéraires, nous serons en 2025 la seule compagnie de croisière à embarquer des passagers depuis la Seyne-sur-Mer, d’avril à novembre. Cela nous permet de toucher une nouvelle clientèle.
Aux Antilles, la saison a été très bonne en termes de taux d’occupation. Nous avons de très bons retours des passagers locaux pour qui nous avons mis en place une offre customisée. La tendance des réservations sur 2025 est très positive, le Costa Fortuna va encore être amélioré pour la prochaine saison en termes d’équipements.
Luigi Stefanelli : Déjà, nous avons un portefeuille d’offres extrêmement large, les îles grecques, la Méditerranée occidentale, l’Europe du Nord et, aussi, une croisière qui part de Marseille pour relier les Canaries en passant par le Portugal.
Pour les Français qui recherchent des programmes originaux et inédits, on vient de lancer un itinéraire de sept nuits que nous sommes les seuls à proposer au départ d’Athènes via les îles grecques et Istanbul avec nos propres vols depuis Paris.
Ceux qui aiment les mers du Nord peuvent embarquer à Hambourg vers les fjords, ou plus atypiques, l’Islande, les Lofoten voire jusqu’au Groenland dans le cadre d’un programme de 21 jours.
Puisque l’on parle d’itinéraires, nous serons en 2025 la seule compagnie de croisière à embarquer des passagers depuis la Seyne-sur-Mer, d’avril à novembre. Cela nous permet de toucher une nouvelle clientèle.
Aux Antilles, la saison a été très bonne en termes de taux d’occupation. Nous avons de très bons retours des passagers locaux pour qui nous avons mis en place une offre customisée. La tendance des réservations sur 2025 est très positive, le Costa Fortuna va encore être amélioré pour la prochaine saison en termes d’équipements.
Ojectif « zéro émission » en 2050
TourMaG - Quelles sont les initiatives de Costa pour limiter son impact ?
Luigi Stefanelli : Je précise que notre premier rapport de développement durable date de 2015 et que notre démarche était déjà très structurée. L’action environnementale ne s’annonce pas, elle se pratique. Tant pour Costa que Carnival et toute l’industrie, notre plus important objectif c’est la réduction des émissions de gaz à effet de serre avec comme échéance le « zéro émission » en 2050.
On y met beaucoup d’investissement. Par exemple, Carnival (la maison-mère, NDLR) - a créé un département dédié à la décarbonation.
Autre exemple : Costa a été la première compagnie à lancer des bateaux au GNL, qui sont aujourd’hui la norme. Cela étant dit, nous savons qu’il reste du chemin à parcourir et nous y travaillons.
Par ailleurs, en dehors de l’énergie, nous avons à ce jour réduit l’utilisation du plastique à usage unique de plus de 50%. De plus, et on ne le dit pas souvent, nous sommes capables de trier 100% des déchets produits à bord alors qu’en comparaison c’est de 80 à 85% pour les villes les plus vertueuses. Et puis, dans nos ports d’attache, avec les Banques Alimentaires, nous avons mis en place depuis 2018 des dons de nourriture, ce nous permet de lutter contre le gaspillage et d’avoir un impact social.
TourMaG - Quel est l’impact de la situation en Mer rouge pour Costa ?
Luigi Stefanelli : L’impact est important pour tout le transport maritime mais il a été limité pour Costa. Nous n’avons eu qu’à rerouter deux navires. L’un déployé aux Emirats qui devait se rendre en Méditerranée via le canal de Suez. Nous avons dû annuler une croisière mais une grande partie des passagers a accepté nos conditions de report.
L’autre croisière affectée est celle du « Tour du Monde » opérée par le Costa Deliziosa. Bon nombre de passagers ont néanmoins choisi de rester à bord et de faire le tour de l’Afrique plutôt que de prendre un vol de retour de l’une des escales identifiées lors de ce nouvel itinéraire.
Comme vous pouvez l’imaginer, la sécurité des passagers et de l’équipage est au cœur de nos priorités, nous ne prendrons aucun risque.
Luigi Stefanelli : Je précise que notre premier rapport de développement durable date de 2015 et que notre démarche était déjà très structurée. L’action environnementale ne s’annonce pas, elle se pratique. Tant pour Costa que Carnival et toute l’industrie, notre plus important objectif c’est la réduction des émissions de gaz à effet de serre avec comme échéance le « zéro émission » en 2050.
On y met beaucoup d’investissement. Par exemple, Carnival (la maison-mère, NDLR) - a créé un département dédié à la décarbonation.
Autre exemple : Costa a été la première compagnie à lancer des bateaux au GNL, qui sont aujourd’hui la norme. Cela étant dit, nous savons qu’il reste du chemin à parcourir et nous y travaillons.
Par ailleurs, en dehors de l’énergie, nous avons à ce jour réduit l’utilisation du plastique à usage unique de plus de 50%. De plus, et on ne le dit pas souvent, nous sommes capables de trier 100% des déchets produits à bord alors qu’en comparaison c’est de 80 à 85% pour les villes les plus vertueuses. Et puis, dans nos ports d’attache, avec les Banques Alimentaires, nous avons mis en place depuis 2018 des dons de nourriture, ce nous permet de lutter contre le gaspillage et d’avoir un impact social.
TourMaG - Quel est l’impact de la situation en Mer rouge pour Costa ?
Luigi Stefanelli : L’impact est important pour tout le transport maritime mais il a été limité pour Costa. Nous n’avons eu qu’à rerouter deux navires. L’un déployé aux Emirats qui devait se rendre en Méditerranée via le canal de Suez. Nous avons dû annuler une croisière mais une grande partie des passagers a accepté nos conditions de report.
L’autre croisière affectée est celle du « Tour du Monde » opérée par le Costa Deliziosa. Bon nombre de passagers ont néanmoins choisi de rester à bord et de faire le tour de l’Afrique plutôt que de prendre un vol de retour de l’une des escales identifiées lors de ce nouvel itinéraire.
Comme vous pouvez l’imaginer, la sécurité des passagers et de l’équipage est au cœur de nos priorités, nous ne prendrons aucun risque.