Grippe aviaire, baisse du pouvoir d’achat, concurrence d’Internet, D-Tour à la fois agence de voyage (adhérent du réseau Manor) et producteur n’est pas passé à travers les gouttes, comme l’explique son président Alain Porcher : « 2005 n’a pas été une année remarquable, je la qualifierai de "molle". Nous enregistrons un fléchissement de 10% de notre chiffre d’affaires par rapport à 2004. Notre activité agence de voyages participe à cette baisse à hauteur de 30%.»
Pour relancer la machine, l’entreprise va surfer sur la vague Internet et lancer pas moins de 6 nouveaux sites. « Internet c’est le futur, c’est devenu incontournable » commente A. Porcher.
En trois ans, D-Tour compte tripler son CA
Objectif : atteindre les 2 millions d’euros de chiffre d’affaires dès la première année, une fois que les sites, réalisés par Advences, seront totalement finalisés. En trois ans, D-Tour compte tripler son CA.
Les 6 portails sont d’ores et déjà accessibles :
Voyagri.com est dédié aux voyages agricoles et s’adresse aux coopératives agricoles, lycées agricoles, associations agricoles, ministère de l’agriculture. « Nous emmenons nos clients voir ce qu’il se passe à l’étranger, par exemple au Brésil comment la canne à sucre se transforme en bio-carburant » explique le PDG de l’agence.
Le deuxième site découle du site agricole : routes-des-vins-du-monde.com. Viticulteurs, œnologues, patrons de bar à vin ou simples épicuriens, ce portail séduira les amoureux du monde viticole.
Voyages-dtour-collection.com, de son côté, propose des séjours sur 5 destinations phares : Roumanie, Bulgarie, Libye, Brésil et Vietnam.
Sur le modèle des agences de voyages en ligne telles que Lastminutes ou Expedia, D-Tour lance un site généraliste Vacances-dtour.com. Au sommaire : ventes de dernière minute, promotions, forfaits, croisières, thalasso, possibilité de réserver des vols en partenariat avec Go Voyages ou des billets SNCF.
Enfin, la société consacre un site aux voyages de groupe : www.voyage-de-groupes.com et un à son activité réceptive sur l’Europe : Europe-Incoming-Travel.com, qui sera décliné en français, anglais et chinois.
Nouer des partenariats avec les autres distributeurs
Si la stratégie est clairement tournée vers la toile, pas question de supprimer l’agence de voyages dite « physique » (18 boulevard de Grenelle 15ème Paris) : « Nous souhaitons garder notre agence de voyages, pour les personnes qui ne souhaitent pas payer en ligne, mais préfèrent venir nous régler directement et garder un minimum de contact humain. Par ailleurs, nous sentons depuis le début du mois, un retour des clients en agence, et une reprise des ventes sur des voyages moyen et haut de gamme ».
Pour compléter l'ensemble, le patron de D-Tour envisage de mettre en place dans un second temps, un call Center qui sera certainement basé en France.
Quant à la possibilité de nouer des partenariats avec les autres distributeurs, Alain Porcher n’y voit pas d’inconvénients : « nous traitons avec les autres distributeurs au coup par coup, et nous sommes bien sûr ouvert à toutes les demandes ».
Pour relancer la machine, l’entreprise va surfer sur la vague Internet et lancer pas moins de 6 nouveaux sites. « Internet c’est le futur, c’est devenu incontournable » commente A. Porcher.
En trois ans, D-Tour compte tripler son CA
Objectif : atteindre les 2 millions d’euros de chiffre d’affaires dès la première année, une fois que les sites, réalisés par Advences, seront totalement finalisés. En trois ans, D-Tour compte tripler son CA.
Les 6 portails sont d’ores et déjà accessibles :
Voyagri.com est dédié aux voyages agricoles et s’adresse aux coopératives agricoles, lycées agricoles, associations agricoles, ministère de l’agriculture. « Nous emmenons nos clients voir ce qu’il se passe à l’étranger, par exemple au Brésil comment la canne à sucre se transforme en bio-carburant » explique le PDG de l’agence.
Le deuxième site découle du site agricole : routes-des-vins-du-monde.com. Viticulteurs, œnologues, patrons de bar à vin ou simples épicuriens, ce portail séduira les amoureux du monde viticole.
Voyages-dtour-collection.com, de son côté, propose des séjours sur 5 destinations phares : Roumanie, Bulgarie, Libye, Brésil et Vietnam.
Sur le modèle des agences de voyages en ligne telles que Lastminutes ou Expedia, D-Tour lance un site généraliste Vacances-dtour.com. Au sommaire : ventes de dernière minute, promotions, forfaits, croisières, thalasso, possibilité de réserver des vols en partenariat avec Go Voyages ou des billets SNCF.
Enfin, la société consacre un site aux voyages de groupe : www.voyage-de-groupes.com et un à son activité réceptive sur l’Europe : Europe-Incoming-Travel.com, qui sera décliné en français, anglais et chinois.
Nouer des partenariats avec les autres distributeurs
Si la stratégie est clairement tournée vers la toile, pas question de supprimer l’agence de voyages dite « physique » (18 boulevard de Grenelle 15ème Paris) : « Nous souhaitons garder notre agence de voyages, pour les personnes qui ne souhaitent pas payer en ligne, mais préfèrent venir nous régler directement et garder un minimum de contact humain. Par ailleurs, nous sentons depuis le début du mois, un retour des clients en agence, et une reprise des ventes sur des voyages moyen et haut de gamme ».
Pour compléter l'ensemble, le patron de D-Tour envisage de mettre en place dans un second temps, un call Center qui sera certainement basé en France.
Quant à la possibilité de nouer des partenariats avec les autres distributeurs, Alain Porcher n’y voit pas d’inconvénients : « nous traitons avec les autres distributeurs au coup par coup, et nous sommes bien sûr ouvert à toutes les demandes ».