Les déplacements sont très fortement déconseillés durant les mois suivant la période de sortie de confinement. /crédit DepositPhoto
La dernière communication du Conseil scientifique enterre presque définitivement les espoirs de partir en vacances à l'étranger cet été.
Selon cet organisme, pour les transports internationaux, jusqu’à l’été 2020, il s’agit de réduire le risque de réintroduction du virus sur le territoire national.
Ces déplacements sont très fortement déconseillés durant les mois suivant la période de sortie de confinement.
Les voyageurs s’exposent à un risque de mise en quarantaine à l’arrivée dans le pays de destination, à un risque de contamination durant le séjour et à l’application de mesures de quarantaine au retour en France.
Cette politique doit viser particulièrement les personnes en provenance de zones (EU ou non EU) à forte circulation du SARS-CoV-2, ainsi que de zones ou pays (EU ou non EU) selon le degré de contrôle sanitaire strict à leurs frontières.
Plusieurs intensités de contrôles peuvent être considérées, allant jusqu’à la mise en quarantaine systématique de personnes provenant de zones à forte circulation du SARS-CoV-2 et/ou sans contrôle sanitaire strict de leurs frontières.
En ce qui concerne les mobilités dans la zone euro, les mesures de diagnostic et d’isolement des personnes en provenance d’un pays extra-européen devront d’abord être harmonisées sur un standard suffisamment élevé pour permettre un contrôle suffisant de l’épidémie au sein de l’espace intra-européen, avant qu’il puisse être envisagé de permettre des déplacements sans contrôle sanitaire à l’entrée du territoire national.
Les déplacements à l’étranger devront en toutes circonstances respecter les règles en matière de déplacements à l’étranger en période de COVID-19 énoncées par le Ministères des affaires étrangères.
Selon cet organisme, pour les transports internationaux, jusqu’à l’été 2020, il s’agit de réduire le risque de réintroduction du virus sur le territoire national.
Ces déplacements sont très fortement déconseillés durant les mois suivant la période de sortie de confinement.
Les voyageurs s’exposent à un risque de mise en quarantaine à l’arrivée dans le pays de destination, à un risque de contamination durant le séjour et à l’application de mesures de quarantaine au retour en France.
Cette politique doit viser particulièrement les personnes en provenance de zones (EU ou non EU) à forte circulation du SARS-CoV-2, ainsi que de zones ou pays (EU ou non EU) selon le degré de contrôle sanitaire strict à leurs frontières.
Plusieurs intensités de contrôles peuvent être considérées, allant jusqu’à la mise en quarantaine systématique de personnes provenant de zones à forte circulation du SARS-CoV-2 et/ou sans contrôle sanitaire strict de leurs frontières.
En ce qui concerne les mobilités dans la zone euro, les mesures de diagnostic et d’isolement des personnes en provenance d’un pays extra-européen devront d’abord être harmonisées sur un standard suffisamment élevé pour permettre un contrôle suffisant de l’épidémie au sein de l’espace intra-européen, avant qu’il puisse être envisagé de permettre des déplacements sans contrôle sanitaire à l’entrée du territoire national.
Les déplacements à l’étranger devront en toutes circonstances respecter les règles en matière de déplacements à l’étranger en période de COVID-19 énoncées par le Ministères des affaires étrangères.
Les transports urbains et péri-urbains autorisés
Au retour, les personnes arrivant sur le territoire français, doivent être soumises à :
- Un diagnostic de type RT-PCR COVID ;
- Un isolement rigoureux en cas de positivité du test diagnostic ;
- Un isolement volontaire au domicile en cas de négativité du test diagnostic.
Il est proposé d’autoriser les déplacements urbains et péri-urbains dès lors que sont respectées les mesures barrières et les règles concernant la distanciation sociale.
Si la reprise du travail est contenue par des mesures de type télétravail, le maintien des cadences de transport habituelles permettra de limiter les concentrations de voyageurs dans des espaces confinés à fort risque de transmission virale.
Des mesures d’étalement des horaires devraient également permettre d’éviter une saturation des transports en commun à certaines heures.
Il est proposé de permettre à nouveau les déplacements interrégionaux par transports en commun dès lors que sont respectées les mesures barrières et les règles de distanciation sociales présentées.
La survenue d’un foyer épidémique régional peut amener à une reprise des règles de confinement à l’échelle locale et à la suspension des transports interrégionaux.
c) Les transports entre la métropole et les territoires et départements ultra-marins
Le Conseil scientifique a émis un avis spécifique concernant ces territoires et départements. Il insiste sur la nécessité de protéger ces territoires et départements en appliquant des règles strictes de quatorzaine et de diagnostic à l’arrivée de voyageurs.
- Un diagnostic de type RT-PCR COVID ;
- Un isolement rigoureux en cas de positivité du test diagnostic ;
- Un isolement volontaire au domicile en cas de négativité du test diagnostic.
Il est proposé d’autoriser les déplacements urbains et péri-urbains dès lors que sont respectées les mesures barrières et les règles concernant la distanciation sociale.
Si la reprise du travail est contenue par des mesures de type télétravail, le maintien des cadences de transport habituelles permettra de limiter les concentrations de voyageurs dans des espaces confinés à fort risque de transmission virale.
Des mesures d’étalement des horaires devraient également permettre d’éviter une saturation des transports en commun à certaines heures.
Il est proposé de permettre à nouveau les déplacements interrégionaux par transports en commun dès lors que sont respectées les mesures barrières et les règles de distanciation sociales présentées.
La survenue d’un foyer épidémique régional peut amener à une reprise des règles de confinement à l’échelle locale et à la suspension des transports interrégionaux.
c) Les transports entre la métropole et les territoires et départements ultra-marins
Le Conseil scientifique a émis un avis spécifique concernant ces territoires et départements. Il insiste sur la nécessité de protéger ces territoires et départements en appliquant des règles strictes de quatorzaine et de diagnostic à l’arrivée de voyageurs.