Il en faudra plus pour enrayer la reprise touristique de la Tunisie.
Le 14 août dernier, une grève de moins de 24 heures a paralysé l'aéroport de Djerba, entraînant des retards pour près de 2 000 passagers.
Parmi eux, 900 clients de Transavia ont été touchés, concernant deux vols en provenance de Paris et un de Nantes.
Le témoignage d'une passagère sur Europe 1, restée bloquée 36 heures à l'aéroport, a fait le tour du web.
Pourtant, seuls 60 clients de Transavia sont restés coincés dans le terminal.
Les autres ont été relogés dans les hôtels environnants ou se sont débrouillés par leurs propres moyens. Sans oublier les 116 passagers qui ont été acheminés à Monastir.
"Nous avons fait notre possible pour trouver des chambres d'hôtels dans la région, mais la plupart affichaient complet" nous explique la compagnie.
Le 14 août dernier, une grève de moins de 24 heures a paralysé l'aéroport de Djerba, entraînant des retards pour près de 2 000 passagers.
Parmi eux, 900 clients de Transavia ont été touchés, concernant deux vols en provenance de Paris et un de Nantes.
Le témoignage d'une passagère sur Europe 1, restée bloquée 36 heures à l'aéroport, a fait le tour du web.
Pourtant, seuls 60 clients de Transavia sont restés coincés dans le terminal.
Les autres ont été relogés dans les hôtels environnants ou se sont débrouillés par leurs propres moyens. Sans oublier les 116 passagers qui ont été acheminés à Monastir.
"Nous avons fait notre possible pour trouver des chambres d'hôtels dans la région, mais la plupart affichaient complet" nous explique la compagnie.
Le droit de grève, symbole de démocratie
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Transavia assure également avoir mis en place une distribution de boissons et de sandwichs, tout en concédant que certains clients n'y ont peut-être pas eu accès, du fait de la pagaille à l'unique bar du terminal, pris d'assaut par les clients d'autres compagnies.
Pour César Saint Ouen, président du TO réceptif Croisière jaune, cette grève limitée n'est pas significative.
"Au contraire, faire la grève montre bien que notre démocratie est en marche, car avant la révolution, c'était interdit. Et même lorsque les salariés manifestaient, la presse totalement muselée n'en parlait pas".
En revanche, il ne croit pas vraiment aux violences des policiers envers les passagers, décrite dans le témoignage publié sur Europe 1.
Dans tous les cas, il assure que ces deux évènements isolés n'entameront pas la reprise de la Tunisie.
Pour César Saint Ouen, président du TO réceptif Croisière jaune, cette grève limitée n'est pas significative.
"Au contraire, faire la grève montre bien que notre démocratie est en marche, car avant la révolution, c'était interdit. Et même lorsque les salariés manifestaient, la presse totalement muselée n'en parlait pas".
En revanche, il ne croit pas vraiment aux violences des policiers envers les passagers, décrite dans le témoignage publié sur Europe 1.
Dans tous les cas, il assure que ces deux évènements isolés n'entameront pas la reprise de la Tunisie.