Aya Désirs d'Orient : « Nous restons optimistes grâce au succès des Emirats »
Walid Ben Zaied, responsable production, Aya Désirs d'Orient
Spécialiste du Liban et de la Jordanie et tout nouveau venu sur l'Egypte (lancée en septembre 2010), le TO avait de quoi se faire quelque souci. Le succès des Emirats devrait lui sauver la mise.
« 2011, au vu de nos principales destinations, ne devait pas être une année porteuse. Malgré tout, grâce au succès des Emirats qui se vendent même durant la saison chaude, grâce aussi la relance de la Jordanie que nous observons depuis 3 ou 4 semaines, nous restons optimistes.
La Jordanie se vend aussi durant l'été et c'est la bonne surprise. La destination ne fait pas aussi peur qu'on pourrait le croire. Il n'y a pas de risque sécuritaire. Vous savez nous ne prenons aucun risque pour nos clients.
Nous avons lancé la Turquie en brochure au printemps 2011. Les ventes sont satisfaisantes.
Nous avions lancé l'Egypte en septembre 2010. Cela n'a pas été un très bon choix mais nous répondions à une demande de notre clientèle.
Nous n'avions pas d'engagements forts pour cette première année. Nous ne serons pas impactés par les conséquences de la révolution sur le tourisme.
Je pense que nous nous en sortirons pas si mal que ça, de cette saison 2011. »
Spécialiste du Liban et de la Jordanie et tout nouveau venu sur l'Egypte (lancée en septembre 2010), le TO avait de quoi se faire quelque souci. Le succès des Emirats devrait lui sauver la mise.
« 2011, au vu de nos principales destinations, ne devait pas être une année porteuse. Malgré tout, grâce au succès des Emirats qui se vendent même durant la saison chaude, grâce aussi la relance de la Jordanie que nous observons depuis 3 ou 4 semaines, nous restons optimistes.
La Jordanie se vend aussi durant l'été et c'est la bonne surprise. La destination ne fait pas aussi peur qu'on pourrait le croire. Il n'y a pas de risque sécuritaire. Vous savez nous ne prenons aucun risque pour nos clients.
Nous avons lancé la Turquie en brochure au printemps 2011. Les ventes sont satisfaisantes.
Nous avions lancé l'Egypte en septembre 2010. Cela n'a pas été un très bon choix mais nous répondions à une demande de notre clientèle.
Nous n'avions pas d'engagements forts pour cette première année. Nous ne serons pas impactés par les conséquences de la révolution sur le tourisme.
Je pense que nous nous en sortirons pas si mal que ça, de cette saison 2011. »