Marmara : « Une année difficile en raison des crises qui impactent deux destinations lourdes »
René Thibaut, directeur commercial Marmara
Marmara a bénéficié d'un important phénomène de report, donc de compensation, sur les destinations méditerranéennes non concernées par les révolutions arabes.
« Nous avions prévu ce phénomène et pour y répondre, nous avons restocké des sièges dès le mois de mars en prévision de l'été.
Les premières destinations les plus vendues sont celles dont les prix étaient les plus proches de la Tunisie. Il s'agissait des Baléares, de la Grèce de la Turquie...
Le Maroc qui représente l'une des grandes destinations de Marmara a subi un impact très fort immédiatement après l'attentat de Marrakech. La situation s'est normalisée en quelques semaines.
Nous avons ouvert en juin, en ultra réactivité, un deuxième club en Sardaigne ce qui nous aide à répondre une demande plus importante que prévue.
Toutes ces destinations se sont vendues aux prix brochures sans promotions particulières avec des chiffres de progression très importants.
La Tunisie sauvera en grande partie les mois de juillet et août avec des ventes très tardives auxquelles nous avons pu répondre pour avoir gardé nos stocks.
Nous attendons la rentrée de septembre pour la relance de l'Egypte.
Dans nos destinations long-courriers, la République Dominicaine que nous avions testé en 2010 se révèle être une véritable locomotive. Pourtant elle n'a pas encore pris sa pleine mesure. Le premier Club Marmara n'ouvrira qu'au début de l'automne pour la saison hiver 2010/2011. L'île Maurice est en période de basse saison.
L'été devrait être relativement correct par rapport au contexte général mais ce qui a été perdu ne pourra être rattrapé. Après une année 2010 pénalisée par les conséquences du nuage volcanique, 2011 restera dans les annales comme une année difficile en raison des crises qui impactent simultanément deux destinations lourdes comme l'Egypte et la Tunisie. »
Marmara a bénéficié d'un important phénomène de report, donc de compensation, sur les destinations méditerranéennes non concernées par les révolutions arabes.
« Nous avions prévu ce phénomène et pour y répondre, nous avons restocké des sièges dès le mois de mars en prévision de l'été.
Les premières destinations les plus vendues sont celles dont les prix étaient les plus proches de la Tunisie. Il s'agissait des Baléares, de la Grèce de la Turquie...
Le Maroc qui représente l'une des grandes destinations de Marmara a subi un impact très fort immédiatement après l'attentat de Marrakech. La situation s'est normalisée en quelques semaines.
Nous avons ouvert en juin, en ultra réactivité, un deuxième club en Sardaigne ce qui nous aide à répondre une demande plus importante que prévue.
Toutes ces destinations se sont vendues aux prix brochures sans promotions particulières avec des chiffres de progression très importants.
La Tunisie sauvera en grande partie les mois de juillet et août avec des ventes très tardives auxquelles nous avons pu répondre pour avoir gardé nos stocks.
Nous attendons la rentrée de septembre pour la relance de l'Egypte.
Dans nos destinations long-courriers, la République Dominicaine que nous avions testé en 2010 se révèle être une véritable locomotive. Pourtant elle n'a pas encore pris sa pleine mesure. Le premier Club Marmara n'ouvrira qu'au début de l'automne pour la saison hiver 2010/2011. L'île Maurice est en période de basse saison.
L'été devrait être relativement correct par rapport au contexte général mais ce qui a été perdu ne pourra être rattrapé. Après une année 2010 pénalisée par les conséquences du nuage volcanique, 2011 restera dans les annales comme une année difficile en raison des crises qui impactent simultanément deux destinations lourdes comme l'Egypte et la Tunisie. »