Selon nos informations, une dizaine d'entreprises ont examiné le dossier de la reprise de Switch, parmi lesquels Marmara et Marsans.
Mais force est de constater que dans cette affaire les zones d'ombre sont nombreuses et que le risque n'est pas mince de voir surgir des "placards" des dossiers pas très reluisants...
A tel point que, selon certaines sources, la brigade financière du parquet de Créteil (Val-de-Marne) a ouvert une enquête visant à faire la lumière sur l'énorme endettement-surprise de l'entreprise (passé en une année de 1,7 Mie à... 23 Mie !) et l'imbroglio juridique que constituent les filiales de Switch.
En effet, des dizaines de plaintes au pénal ont été déposées par les créanciers. Criblé de dettes, Switch doit plusieurs millions d'euros à ses fournisseurs. Un montant qui explique la portion congrue, proposée à Promovac aux fournisseurs, c'est à dire... rien !
Mais force est de constater que dans cette affaire les zones d'ombre sont nombreuses et que le risque n'est pas mince de voir surgir des "placards" des dossiers pas très reluisants...
A tel point que, selon certaines sources, la brigade financière du parquet de Créteil (Val-de-Marne) a ouvert une enquête visant à faire la lumière sur l'énorme endettement-surprise de l'entreprise (passé en une année de 1,7 Mie à... 23 Mie !) et l'imbroglio juridique que constituent les filiales de Switch.
En effet, des dizaines de plaintes au pénal ont été déposées par les créanciers. Criblé de dettes, Switch doit plusieurs millions d'euros à ses fournisseurs. Un montant qui explique la portion congrue, proposée à Promovac aux fournisseurs, c'est à dire... rien !
Promovac n'a prévu de rembourser aucun fournbisseur
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En dehors des créances privilégiées et de celles indispensables à la poursuite des activités (loyer, eau, Edf, assurances...), le voyagiste en ligne n'a prévu de rembourser aucune dette.
Il faut dire que les juges consulaires n'auront guère le choix : la poursuite de l'activité avec 103 salariés sur les 250 que compte la société ou la liquidation.
Selon nos informations, dans le plan de reprise, Promovac a prévu de "spliter" les activités de Switch en faisant de la marque Partirpascher 2 entités juridiques spécialisées respectivement dans les séjours et les croisières avec Partirpascher Cruises. Le voyagiste reprendrait alors 14 bateaux sur les 23 de la flotte restante.
Un plan de reprise qui colle point par point aux négociations menées depuis plusieurs mois entre Alain de Mendonça, patron de Promovac et Jean-Pascal Siméon, qui avait manifesté le souhait de céder la vente en ligne en gardant la main sur l'activité croisières.
Il faut dire que les juges consulaires n'auront guère le choix : la poursuite de l'activité avec 103 salariés sur les 250 que compte la société ou la liquidation.
Selon nos informations, dans le plan de reprise, Promovac a prévu de "spliter" les activités de Switch en faisant de la marque Partirpascher 2 entités juridiques spécialisées respectivement dans les séjours et les croisières avec Partirpascher Cruises. Le voyagiste reprendrait alors 14 bateaux sur les 23 de la flotte restante.
Un plan de reprise qui colle point par point aux négociations menées depuis plusieurs mois entre Alain de Mendonça, patron de Promovac et Jean-Pascal Siméon, qui avait manifesté le souhait de céder la vente en ligne en gardant la main sur l'activité croisières.