Fermeture base Toulouse : Easyjet a trouvé un accord avec les partenaires sociaux sur sa réorganisation en France - Depositphotos.com Auteur Brasilnut
easyJet vient d'annoncer avoir trouver un accord "avec l’ensemble des partenaires sociaux portant sur la réorganisation de l’activité de la compagnie en France".
Le 16 décembre au terme du délai de 3 mois imparti s’est conclue la consultation du comité social et économique (CSE). Un accord sur le plan de sauvegarde de l’emploi accompagnant cette réorganisation a été conclu avec les syndicats et validé par l’Administration début janvier 2025.
La compagnie propose pour ceux qui le souhaitent "le transfert vers d’autres bases françaises d’easyJet". Pour ces derniers, la direction précise que les plannings de vols seront adaptés et qu'ils "bénéficieront d’un ensemble de mesures d’accompagnement".
Les salariés de la base de Toulouse qui ne souhaiteront pas être transférés vers d’autres bases easyJet pourront "bénéficier de mesures d’accompagnement selon quatre parcours définis dans l'accord : formation de reconversion, nouvel emploi, création/reprise d'entreprise, retraite. Un accompagnement dédié et personnalisé est prévu pour chacun des salariés concernés" ajoute la compagnie dans un communiqué.
Le plan limité de départs volontaires sur plusieurs bases pour le personnel de cabine a également été accepté informe le transporteur.
La fermeture de la base de Toulouse aura lieu en avril 2025. Le transporteur orange s'est toujours défendu de vouloir quitter la ville rose. Il confirme le maintien de 10 destinations au départ de Blagnac : Bâle-Mulhouse, Lyon, Nantes, Nice, Paris Orly, Bristol, Genève, Londres Gatwick, Milan Malpensa et Palma de Majorque.
Le 16 décembre au terme du délai de 3 mois imparti s’est conclue la consultation du comité social et économique (CSE). Un accord sur le plan de sauvegarde de l’emploi accompagnant cette réorganisation a été conclu avec les syndicats et validé par l’Administration début janvier 2025.
La compagnie propose pour ceux qui le souhaitent "le transfert vers d’autres bases françaises d’easyJet". Pour ces derniers, la direction précise que les plannings de vols seront adaptés et qu'ils "bénéficieront d’un ensemble de mesures d’accompagnement".
Les salariés de la base de Toulouse qui ne souhaiteront pas être transférés vers d’autres bases easyJet pourront "bénéficier de mesures d’accompagnement selon quatre parcours définis dans l'accord : formation de reconversion, nouvel emploi, création/reprise d'entreprise, retraite. Un accompagnement dédié et personnalisé est prévu pour chacun des salariés concernés" ajoute la compagnie dans un communiqué.
Le plan limité de départs volontaires sur plusieurs bases pour le personnel de cabine a également été accepté informe le transporteur.
La fermeture de la base de Toulouse aura lieu en avril 2025. Le transporteur orange s'est toujours défendu de vouloir quitter la ville rose. Il confirme le maintien de 10 destinations au départ de Blagnac : Bâle-Mulhouse, Lyon, Nantes, Nice, Paris Orly, Bristol, Genève, Londres Gatwick, Milan Malpensa et Palma de Majorque.
Fermeture base Toulouse : easyjet maintient 10 lignes
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easyJet : Après Toulouse, d'autres fermetures à venir en France ?
Pour rappel, la compagnie low cost avait annoncé en septembre dernier vouloir fermer la base de Toulouse d’ici à la fin de la saison d’hiver (mars 2025). La direction prévoyait également le transfert des deux avions toulousains, vers Lyon et Nantes.
Dans le cadre de cette réorganisation, la compagnie souhaitait transférer un autre appareil de Roissy Charles-de-Gaulle à Orly, et mettre en place un "plan limité de départs volontaires" pour le personnel de cabine de trois des bases françaises de la compagnie.
Bertrand Godinot, directeur d’easyJet pour la France a déclaré : « Au terme de trois mois de consultation, et dans la continuité du dialogue social existant chez easyJet, nous sommes parvenus avec l’ensemble des organisations syndicales représentatives à un accord grâce auquel nous allons conforter notre place de deuxième compagnie aérienne en France.
Notre priorité était de mettre en place cette nouvelle structure tout en maintenant dans l’emploi la vaste majorité de nos salariés toulousains. »
A lire aussi : easyJet : Après Toulouse, d'autres fermetures à venir en France ?
Dans le cadre de cette réorganisation, la compagnie souhaitait transférer un autre appareil de Roissy Charles-de-Gaulle à Orly, et mettre en place un "plan limité de départs volontaires" pour le personnel de cabine de trois des bases françaises de la compagnie.
Bertrand Godinot, directeur d’easyJet pour la France a déclaré : « Au terme de trois mois de consultation, et dans la continuité du dialogue social existant chez easyJet, nous sommes parvenus avec l’ensemble des organisations syndicales représentatives à un accord grâce auquel nous allons conforter notre place de deuxième compagnie aérienne en France.
Notre priorité était de mettre en place cette nouvelle structure tout en maintenant dans l’emploi la vaste majorité de nos salariés toulousains. »
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