Finnair a beau mettre la dernière main au programme de rajeunissement de la marque qui sera dévoilé en décembre, le développement durable reste au cœur de ses préoccupations.
Pour preuve c’est une des rares compagnies à avoir dans son organigramme un vice président dédié au développement durable, en l’occurrence Kati Ihamati.
Car le sujet n’est pas une préoccupation récente pour la compagnie finlandaise : « Nous avons commencé à réfléchir à l’environnement dès 1987.
A l’époque, ce qui importait surtout c’était la réduction des nuisances sonores », explique Kati Ihamati.
Depuis 1996, la compagnie mesure son impact sur l’environnement, notamment en ce qui concerne les émissions de CO2.
Pour les réduire, Finnair a entrepris, à partir de 1999, de renouveler sa flotte avec des appareils de nouvelle génération, moins polluants. L’âge moyen de la flotte est actuellement de six ans.
Pour preuve c’est une des rares compagnies à avoir dans son organigramme un vice président dédié au développement durable, en l’occurrence Kati Ihamati.
Car le sujet n’est pas une préoccupation récente pour la compagnie finlandaise : « Nous avons commencé à réfléchir à l’environnement dès 1987.
A l’époque, ce qui importait surtout c’était la réduction des nuisances sonores », explique Kati Ihamati.
Depuis 1996, la compagnie mesure son impact sur l’environnement, notamment en ce qui concerne les émissions de CO2.
Pour les réduire, Finnair a entrepris, à partir de 1999, de renouveler sa flotte avec des appareils de nouvelle génération, moins polluants. L’âge moyen de la flotte est actuellement de six ans.
Résidus de bois de l’industrie forestière finlandaise
A bord, tout a été revu de façon à alléger l’appareil au maximum : nouveaux fauteuils, couverts en plastique à la place du métal en classe Eco, etc..
La compagnie travaille aussi sur un projet d’utilisation de bio fuel. « Nous espérons être les premiers à voler avec du bio fuel vers le milieu de l’année prochaine. Et en 2013, ce bio fuel sera réalisé à partir des résidus de bois de l’industrie forestière finlandaise », prévoit Kati Ihamati.
L’objectif de Finnair est de gagner 2,5% sur les émissions de carbone tous les ans. Mais la compagnie est consciente que le sujet de l’environnement est une préoccupation de compagnie riche.
« Il faut être en bonne forme financière pour pouvoir réaliser les investissements adéquats ».
De même, la crise économique a remisé au second plan les préoccupations environnementales.
« Les entreprises nous demandent d’avoir une politique de préservation de l’environnement mais au bout du compte, ce qui les préoccupent surtout c’est le prix du billet », révèle Jarkko Ala-Heikkila, le directeur France de Finnair.
Quant aux passagers de la compagnie, ils ne sont que 1,5% à vouloir compenser leurs empreintes carbone.
Mais pour la vice-présidente de Finnair, ce sont les gouvernements qui devraient commencer à montrer l’exemple. Il reste donc un long et patient travail de persuasion à réaliser...
La compagnie travaille aussi sur un projet d’utilisation de bio fuel. « Nous espérons être les premiers à voler avec du bio fuel vers le milieu de l’année prochaine. Et en 2013, ce bio fuel sera réalisé à partir des résidus de bois de l’industrie forestière finlandaise », prévoit Kati Ihamati.
L’objectif de Finnair est de gagner 2,5% sur les émissions de carbone tous les ans. Mais la compagnie est consciente que le sujet de l’environnement est une préoccupation de compagnie riche.
« Il faut être en bonne forme financière pour pouvoir réaliser les investissements adéquats ».
De même, la crise économique a remisé au second plan les préoccupations environnementales.
« Les entreprises nous demandent d’avoir une politique de préservation de l’environnement mais au bout du compte, ce qui les préoccupent surtout c’est le prix du billet », révèle Jarkko Ala-Heikkila, le directeur France de Finnair.
Quant aux passagers de la compagnie, ils ne sont que 1,5% à vouloir compenser leurs empreintes carbone.
Mais pour la vice-présidente de Finnair, ce sont les gouvernements qui devraient commencer à montrer l’exemple. Il reste donc un long et patient travail de persuasion à réaliser...