« Une société est faite pour vivre et vivre, c’est changer. Tout actionnaire est libre de disposer de ses actifs...»
Les difficultés annoncées semblent en effet lui donner l’opportunité de répondre à de nouvelles attentes du public et de renforcer l’unité de son entreprise.
Il faut dire que durant ses 60 ans de vie la maison Fram en a connu des crises, crises géo-politiques, économiques, personnelles et familiales.
Comme le dit Georges Colson, « Le bateau Fram est bien arrimé pour surmonter cette tempête ».
L’entreprise s’est hissée au troisième rang des tour-opérateurs français généralistes, derrière le Club Med et Nouvelles Frontières.
Il est premier chez les « franco-français ». Il dispose aujourd’hui de 119 M€ de fonds propres (23 M€ d’endettement financier).
Pour aborder 2009 Fram réduit tout de même la voilure, notamment en terme d’engagements aériens (- 8 % par rapport aux quelque 340 000 sièges charters mis en place en 2008). C’est sa façon d’anticiper.
Ensuite le TO surfe sur son anniversaire pour lancer un vaste programme de communications auprès du grand public et de stimulations des ventes auprès des réseaux de distribution. Reconnaissons au passage que l’occasion est belle. Ils ne sont pas si nombreux les voyagistes à atteindre les 60 ans et à figurer en tête des acteurs français du secteur.
Il faut dire que durant ses 60 ans de vie la maison Fram en a connu des crises, crises géo-politiques, économiques, personnelles et familiales.
Comme le dit Georges Colson, « Le bateau Fram est bien arrimé pour surmonter cette tempête ».
L’entreprise s’est hissée au troisième rang des tour-opérateurs français généralistes, derrière le Club Med et Nouvelles Frontières.
Il est premier chez les « franco-français ». Il dispose aujourd’hui de 119 M€ de fonds propres (23 M€ d’endettement financier).
Pour aborder 2009 Fram réduit tout de même la voilure, notamment en terme d’engagements aériens (- 8 % par rapport aux quelque 340 000 sièges charters mis en place en 2008). C’est sa façon d’anticiper.
Ensuite le TO surfe sur son anniversaire pour lancer un vaste programme de communications auprès du grand public et de stimulations des ventes auprès des réseaux de distribution. Reconnaissons au passage que l’occasion est belle. Ils ne sont pas si nombreux les voyagistes à atteindre les 60 ans et à figurer en tête des acteurs français du secteur.
« Je ne suis pas pressé de vendre Fram... »
Question récurrente que celle de la vente du TO toulousain. Hier, Georges Colson s’est exprimé sur la situation – et l’avenir – capitalistique de l’entreprise qui l’a pratiquement vu naître.
« Une société est faite pour vivre et vivre, c’est changer. Tout actionnaire est libre de disposer de ses actifs»…
Rappelons que deux actionnaires principaux, à hauteur identique, 40 %, détiennent le capital Fram lui, Georges Colson et sa demi-sœur, fille du fondateur, Marie-Christine Chaubet qui, de son côté, a émis le désir de vendre ses parts.
« Le rôle des actionnaires que nous sommes est de penser à l’avenir de l’entreprise et dans ce domaine, qu’il s’agisse de Madame Chaubet ou de moi-même, si un jour nous avions la volonté de passer la main nous le ferions en préservant la pérennité de notre maison avec la volonté de la voir rester une des plus belles entreprises de tourisme qui soit.
J’ai Fram dans les tripes. En même temps il faut comprendre qu’un jour le bateau Fram ne sera plus dans les mains de ses actuels propriétaires. Ma volonté est de rester près de l’ensemble de mes collaborateurs et de ne rien brader. Je ne suis pas pressé de vendre. »
« Une société est faite pour vivre et vivre, c’est changer. Tout actionnaire est libre de disposer de ses actifs»…
Rappelons que deux actionnaires principaux, à hauteur identique, 40 %, détiennent le capital Fram lui, Georges Colson et sa demi-sœur, fille du fondateur, Marie-Christine Chaubet qui, de son côté, a émis le désir de vendre ses parts.
« Le rôle des actionnaires que nous sommes est de penser à l’avenir de l’entreprise et dans ce domaine, qu’il s’agisse de Madame Chaubet ou de moi-même, si un jour nous avions la volonté de passer la main nous le ferions en préservant la pérennité de notre maison avec la volonté de la voir rester une des plus belles entreprises de tourisme qui soit.
J’ai Fram dans les tripes. En même temps il faut comprendre qu’un jour le bateau Fram ne sera plus dans les mains de ses actuels propriétaires. Ma volonté est de rester près de l’ensemble de mes collaborateurs et de ne rien brader. Je ne suis pas pressé de vendre. »