Jacqui Drollet (à droite, collier de fleurs autour du cou)
"Ma démarche, en tant que ministre, est que désormais le GIE Tahiti Tourisme et Air Tahiti Nui regroupent leurs moyens pour les campagnes de promotion à l'étranger afin d'avoir plus d'efficacité", a expliqué Jacqui Drollet au terme de sa visite des locaux.
De même, a ajouté le vice-président, les périodes "d'affrontement" avec les compagnies Air France et Air New Zealand doivent laisser la place à une coopération profitable à toutes les parties.
Rappelant le but de 300 000 touristes en 2007, Jacqui Drollet devait discuter, au cours d'un comité de direction du GIE, des principales orientations pour le secteur du tourisme en 2005.
La principale nouveauté sera la mise en place d'un bureau à New York, avant l'ouverture de la ligne Tahiti-New York par Air Tahiti Nui, prévue en juillet 2005. Le bureau devrait être opérationnel "dès le mois de décembre", a indiqué la directrice générale du GIE Tahiti Tourisme, Dany Panero.
Choisir un aéroport à New York
"Nous sommes en train de choisir la compagnie aérienne américaine avec laquelle nous allons travailler et cela déterminera si Air Tahiti Nui se posera à l'aéroport de Newark ou à celui de JFK", a précisé Jacqui Drollet.
Outre le marché américain, le ministère du tourisme souhaite aussi viser des marchés émergents en Europe, en Italie, en Angleterre ou en Espagne. La Chine présente également un potentiel intéressant.
Le vice-président a par ailleurs insisté sur l'importance de mettre en avant "le produit plus que la destination", c'est-à-dire proposer des hôtels et des activités plutôt que de promouvoir uniquement l'image de la Polynésie qu'il estime suffisamment connue à l'étranger.
"L'accueil, les activités annexes dans les hôtels et la formation du personnel sont importants (…) Dans les grands hôtels, seuls 9% des clients reviennent. On doit pouvoir améliorer cela. Des questions se posent aussi sur un seuil à ne pas dépasser pour l'accueil des touristes sur certaines îles. Je pense notamment à Bora Bora", a-t-il déclaré.
De même, a ajouté le vice-président, les périodes "d'affrontement" avec les compagnies Air France et Air New Zealand doivent laisser la place à une coopération profitable à toutes les parties.
Rappelant le but de 300 000 touristes en 2007, Jacqui Drollet devait discuter, au cours d'un comité de direction du GIE, des principales orientations pour le secteur du tourisme en 2005.
La principale nouveauté sera la mise en place d'un bureau à New York, avant l'ouverture de la ligne Tahiti-New York par Air Tahiti Nui, prévue en juillet 2005. Le bureau devrait être opérationnel "dès le mois de décembre", a indiqué la directrice générale du GIE Tahiti Tourisme, Dany Panero.
Choisir un aéroport à New York
"Nous sommes en train de choisir la compagnie aérienne américaine avec laquelle nous allons travailler et cela déterminera si Air Tahiti Nui se posera à l'aéroport de Newark ou à celui de JFK", a précisé Jacqui Drollet.
Outre le marché américain, le ministère du tourisme souhaite aussi viser des marchés émergents en Europe, en Italie, en Angleterre ou en Espagne. La Chine présente également un potentiel intéressant.
Le vice-président a par ailleurs insisté sur l'importance de mettre en avant "le produit plus que la destination", c'est-à-dire proposer des hôtels et des activités plutôt que de promouvoir uniquement l'image de la Polynésie qu'il estime suffisamment connue à l'étranger.
"L'accueil, les activités annexes dans les hôtels et la formation du personnel sont importants (…) Dans les grands hôtels, seuls 9% des clients reviennent. On doit pouvoir améliorer cela. Des questions se posent aussi sur un seuil à ne pas dépasser pour l'accueil des touristes sur certaines îles. Je pense notamment à Bora Bora", a-t-il déclaré.