''Je n'ai reçu aucun courrier, aucune demande écrite à ce sujet et n'attendez pas de moi une réponse par voie de presse...''
Nous avons demandé à Georges Colson de s'exprimer à ce sujet. Sous les assauts de sa demi-soeur, il reste calme.
« La vente de Fram n'est pas d'actualité. Madame Chaubet a été à plusieurs reprises en contact avec d'éventuels acheteurs de ses parts et des miennes..
J'ai toujours refusé ses propositions.
Aujourd'hui j'apprends par voie de presse qu'elle veut racheter mes actions. Je n'ai reçu aucun courrier, aucune demande écrite à ce sujet et n'attendez pas de moi une réponse par voie de presse.
Rien ne m'empêcherait de déclarer à mon tour par voie de presse vouloir me porter acquéreur de ses actions et lui faire une proposition à même hauteur que ses éventuels acheteurs...
Vous comprendrez que tout cela n'est pas digne. Je suis un peu triste de voir sa façon de faire par voie publique. Ce n'est pas la première fois. Je suis triste pour la société, pour le personnel.
Je rencontre Madame Chaubet lors des Assemblées Générale de Fram Agences et des Voyages Fram. Elle y assiste comme actionnaire. La dernière fois étant en juin 2010.
… Rassurez-vous, en dépit de la crise Fram se porte bien. Nous avons d'importantes réserves. Nous avons même, cette année, distribué des dividendes à nos actionnaires sans toucher à nos réserves »
« La vente de Fram n'est pas d'actualité. Madame Chaubet a été à plusieurs reprises en contact avec d'éventuels acheteurs de ses parts et des miennes..
J'ai toujours refusé ses propositions.
Aujourd'hui j'apprends par voie de presse qu'elle veut racheter mes actions. Je n'ai reçu aucun courrier, aucune demande écrite à ce sujet et n'attendez pas de moi une réponse par voie de presse.
Rien ne m'empêcherait de déclarer à mon tour par voie de presse vouloir me porter acquéreur de ses actions et lui faire une proposition à même hauteur que ses éventuels acheteurs...
Vous comprendrez que tout cela n'est pas digne. Je suis un peu triste de voir sa façon de faire par voie publique. Ce n'est pas la première fois. Je suis triste pour la société, pour le personnel.
Je rencontre Madame Chaubet lors des Assemblées Générale de Fram Agences et des Voyages Fram. Elle y assiste comme actionnaire. La dernière fois étant en juin 2010.
… Rassurez-vous, en dépit de la crise Fram se porte bien. Nous avons d'importantes réserves. Nous avons même, cette année, distribué des dividendes à nos actionnaires sans toucher à nos réserves »
DES PROPOSITIONS CONCRETES POUR L'AVENIR DU VOYAGISTE FRAM
Voici le texte du communiqué de presse adressé par le conseil de Marie-Christine CHAUBET.
Marie-Christine CHAUBET, actionnaire de référence du groupe FRAM, représentant environ 47 % des titres, se déclare acquéreuse de la participation de Georges COLSON, qui a récemment communiqué, notamment via la presse, son intention de vendre les titres qu’il détient dans le groupe.
Les critères de ce dernier sont : FRAM doit rester français, le siège doit rester à Toulouse et priorité à l’emploi, donc aux salariés.
Marie-Christine CHAUBET qui a été dans le passé DG puis Président du groupe, assure qu’en rachetant les actions de Georges COLSON, le siège de FRAM restera à Toulouse, et qu’elle souhaite confier la direction opérationnelle à une équipe de management composée de professionnels reconnus, dont elle a d’ores et déjà l’accord.
Une ère nouvelle doit s’ouvrir pour cette entreprise et grâce à la marque, aux outils et aux moyens mis en place par son père, et surtout grâce à ses équipes de collaborateurs, FRAM a le potentiel pour rester un des leaders du tourisme français.
Sur les différends qui ont pu l’opposer à son demi-frère, Marie-Christine CHAUBET dit ne voir là aucun conflit familial, mais bien des divergences concernant la stratégie ou les opérations de FRAM, qui sont gérées dans le cadre d’une démocratie normale d’entreprise et éventuellement arbitrées par des magistrats, en qui, elle dit, avoir toute confiance.
Selon des sources proches du dossier, Il ne fait aucun doute que Marie-Christine CHAUBET ait la capacité de financer cette opération."
Marie-Christine CHAUBET, actionnaire de référence du groupe FRAM, représentant environ 47 % des titres, se déclare acquéreuse de la participation de Georges COLSON, qui a récemment communiqué, notamment via la presse, son intention de vendre les titres qu’il détient dans le groupe.
Les critères de ce dernier sont : FRAM doit rester français, le siège doit rester à Toulouse et priorité à l’emploi, donc aux salariés.
Marie-Christine CHAUBET qui a été dans le passé DG puis Président du groupe, assure qu’en rachetant les actions de Georges COLSON, le siège de FRAM restera à Toulouse, et qu’elle souhaite confier la direction opérationnelle à une équipe de management composée de professionnels reconnus, dont elle a d’ores et déjà l’accord.
Une ère nouvelle doit s’ouvrir pour cette entreprise et grâce à la marque, aux outils et aux moyens mis en place par son père, et surtout grâce à ses équipes de collaborateurs, FRAM a le potentiel pour rester un des leaders du tourisme français.
Sur les différends qui ont pu l’opposer à son demi-frère, Marie-Christine CHAUBET dit ne voir là aucun conflit familial, mais bien des divergences concernant la stratégie ou les opérations de FRAM, qui sont gérées dans le cadre d’une démocratie normale d’entreprise et éventuellement arbitrées par des magistrats, en qui, elle dit, avoir toute confiance.
Selon des sources proches du dossier, Il ne fait aucun doute que Marie-Christine CHAUBET ait la capacité de financer cette opération."