Nicolas Vanier entouré par Lionel Habasque, le directeur ainsi que Marie Foucard et Dominique Albouy, du TO Grand Nord Grand Large - DR : LAC
Le tour-opérateur Grand Nord Grand Large (GNGL) s'est associé avec un prestigieux parrain.
L'explorateur Nicolas Vanier est venu présenter, mardi 6 octobre 2015, un nouveau voyage de la brochure du tour-opérateur.
Dans la forêt boréale du Québec, il propose des séjours en traîneau tiré par les descendants des chiens du film l’Odyssée Sauvage.
Un partenariat de choix pour GNGL, filiale de Voyageurs du Monde, qui propose depuis 1982 des séjours sur-mesure ou accompagnés ainsi que croisières dans les zones les plus froides du globe.
L'explorateur Nicolas Vanier est venu présenter, mardi 6 octobre 2015, un nouveau voyage de la brochure du tour-opérateur.
Dans la forêt boréale du Québec, il propose des séjours en traîneau tiré par les descendants des chiens du film l’Odyssée Sauvage.
Un partenariat de choix pour GNGL, filiale de Voyageurs du Monde, qui propose depuis 1982 des séjours sur-mesure ou accompagnés ainsi que croisières dans les zones les plus froides du globe.
Des voyages de rêve pour un budget conséquent
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Profitant de l’engouement pour ces régions polaires, le TO devrait clôturer l’année avec un chiffre d’affaires de 6 millions d’euros pour 2 500 clients, en hausse de 20%.
« Cette progression est très importante car nous avons bénéficié de l’éclipse totale au Spitzberg et en Islande. Mais on sent vraiment l’appétence pour ce genre de voyages », assure Lionel Habasque, le PDG.
Des voyages de niche qui font rêver, mais restent encore bien loin du tourisme de masse. « Seules 40 000 personnes visitent chaque année l’Antarctique, cela reste assez stable », assure Marie Foucard, la chef de produits croisières.
Grand Nord Grand Large affrète chaque année des bateaux de petite capacité, voiliers ou goélettes, avec un maximum de cent passagers.
De quoi se démarquer de ses rares concurrents qui ne peuvent débarquer où bon leur semble.
« Nous privilégions les observations à terre, les rencontres avec les animaux. Nous pouvons improviser une escale si la lumière est belle », poursuit Marie Foucard.
« Cette progression est très importante car nous avons bénéficié de l’éclipse totale au Spitzberg et en Islande. Mais on sent vraiment l’appétence pour ce genre de voyages », assure Lionel Habasque, le PDG.
Des voyages de niche qui font rêver, mais restent encore bien loin du tourisme de masse. « Seules 40 000 personnes visitent chaque année l’Antarctique, cela reste assez stable », assure Marie Foucard, la chef de produits croisières.
Grand Nord Grand Large affrète chaque année des bateaux de petite capacité, voiliers ou goélettes, avec un maximum de cent passagers.
De quoi se démarquer de ses rares concurrents qui ne peuvent débarquer où bon leur semble.
« Nous privilégions les observations à terre, les rencontres avec les animaux. Nous pouvons improviser une escale si la lumière est belle », poursuit Marie Foucard.
Des voyages qui ne sont pas à la portée de toutes les bourses
Le TO affrète chaque année le Plancius pour une croisière au Spitzberg et en Antarctique.
Le navire partira en août prochain au Spitzberg norvégien, en compagnie de trois personnalités : le réalisateur Luc Jacquet et les glaciologues Jérôme Chappellaz et Claude Lorius. Une croisière d’exception pour un prix qui l’est tout autant : 5 650 euros.
Car ces voyages de rêve ne sont pas à la portée de toutes les bourses. Si les produits kayak sont les plus abordables (2 100-2 200 euros), les croisières grimpent facilement à 8 000 euros.
Et ne parlons pas des navigations à bord des brise-glaces, dont la facture s’envole au-delà de 20 000 euros. Une petite fortune pour des passionnés qui n’hésitent pas à casser leur tirelire pour le voyage d’une vie.
Et qui sont bien plus souvent qu’on ne le pense vendus en agences de voyages.
Le navire partira en août prochain au Spitzberg norvégien, en compagnie de trois personnalités : le réalisateur Luc Jacquet et les glaciologues Jérôme Chappellaz et Claude Lorius. Une croisière d’exception pour un prix qui l’est tout autant : 5 650 euros.
Car ces voyages de rêve ne sont pas à la portée de toutes les bourses. Si les produits kayak sont les plus abordables (2 100-2 200 euros), les croisières grimpent facilement à 8 000 euros.
Et ne parlons pas des navigations à bord des brise-glaces, dont la facture s’envole au-delà de 20 000 euros. Une petite fortune pour des passionnés qui n’hésitent pas à casser leur tirelire pour le voyage d’une vie.
Et qui sont bien plus souvent qu’on ne le pense vendus en agences de voyages.