« Mais la météo n’est pas une science exacte » tempère Yves Brossard de Primea Hôtels, même s’il aurait été pertinent de lancer cette alerte plus tôt, au lieu de cet excès de zèle tardif...».
Le soleil est revenu presque partout en Guadeloupe. Mais la région reste sous vigilance orange.
« C’est un peu tard » s’exclame François Bénard PDG de NouvellesAntilles.com présent sur place. Il estime avoir été surpris par ces pluies, Météo France ayant annoncé deux fois moins d’averses.
« Les alertes des autorités n’ont pas été suffisantes » déplore-t-il. D’autant que si la Guadeloupe est coutumière des caprices du ciel, le mois de janvier est habituellement plutôt sec.
«Mais la météo n’est pas une science exacte » tempère Yves Brossard de Primea Hôtels. « Même s’il aurait été pertinent de lancer cette alerte plus tôt, au lieu de cet excès de zèle tardif ».
C’est le centre de l’île qui a été le plus touché, notamment les communes des Abymes, Pointe-à-Pitre, Morne-à-l'eau et Le Moule. Près de cinq personnes ont trouvé la mort, leur voiture emportée par les flots.
« Mais ces phénomènes naturels n’ont pas endommagé les structures touristiques » affirme de son coté Didier Sylvestre, le directeur commercial d’Exotismes.
« C’est un peu tard » s’exclame François Bénard PDG de NouvellesAntilles.com présent sur place. Il estime avoir été surpris par ces pluies, Météo France ayant annoncé deux fois moins d’averses.
« Les alertes des autorités n’ont pas été suffisantes » déplore-t-il. D’autant que si la Guadeloupe est coutumière des caprices du ciel, le mois de janvier est habituellement plutôt sec.
«Mais la météo n’est pas une science exacte » tempère Yves Brossard de Primea Hôtels. « Même s’il aurait été pertinent de lancer cette alerte plus tôt, au lieu de cet excès de zèle tardif ».
C’est le centre de l’île qui a été le plus touché, notamment les communes des Abymes, Pointe-à-Pitre, Morne-à-l'eau et Le Moule. Près de cinq personnes ont trouvé la mort, leur voiture emportée par les flots.
« Mais ces phénomènes naturels n’ont pas endommagé les structures touristiques » affirme de son coté Didier Sylvestre, le directeur commercial d’Exotismes.
L’embellie se confirme
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Cet épisode météorologique ne devrait pas entraver sa douce reprise touristique. En effet, après les années noires de 2007 à 2009, la Guadeloupe retrouve enfin le sourire.
Chez NouvellesAntilles.com le CA et le nombre de Pax sont en hausse de 40% en 2010. Un beau résultat qui reste tout de même 25% en deçà des années 2007.
« Après avoir touché le fond, la reprise est là mais reste fragile. Elle peut à tout moment être enrayée par un évènement politique» analyse François Bénard.
Chez Exotismes, les Antilles sont en progression de 25 à 30% par rapport à 2009. «Nous avons beaucoup de commandes pour les vacances de février et celles de Pâques » se réjouit Didier Sylvestre.
Chez NouvellesAntilles.com le CA et le nombre de Pax sont en hausse de 40% en 2010. Un beau résultat qui reste tout de même 25% en deçà des années 2007.
« Après avoir touché le fond, la reprise est là mais reste fragile. Elle peut à tout moment être enrayée par un évènement politique» analyse François Bénard.
Chez Exotismes, les Antilles sont en progression de 25 à 30% par rapport à 2009. «Nous avons beaucoup de commandes pour les vacances de février et celles de Pâques » se réjouit Didier Sylvestre.
Marie Luce Penchard en Guadeloupe aujourd'hui
Primea hôtel affiche quant à lui un CA 2010 en hausse de 10%. Malgré tout, Yves Brossard hésite à parler de reprise.
« Le nombre de lits à fortement chuté avec la fermeture de nombreux hôtels. La véritable reprise serait de rouvrir les établissements fermés ».
Il attend notamment plus d’investissements publics pour développer les infrastructures et valoriser ainsi le patrimoine.
Des revendications que les professionnels pourront faire valoir auprès de la ministre de l'Outre-mer, Marie-Luce Penchard, qui doit se rendre sur place aujourd’hui.
« Le nombre de lits à fortement chuté avec la fermeture de nombreux hôtels. La véritable reprise serait de rouvrir les établissements fermés ».
Il attend notamment plus d’investissements publics pour développer les infrastructures et valoriser ainsi le patrimoine.
Des revendications que les professionnels pourront faire valoir auprès de la ministre de l'Outre-mer, Marie-Luce Penchard, qui doit se rendre sur place aujourd’hui.