D'après la dernière édition du Baromètre mensuel Deloitte/In Extenso sur les performances hôtelières en France en octobre 2012, le marché hexagonale est divisé en deux.
On trouve d'un côté les destinations, telles Paris ou la Côte d'Azur, qui peuvent s'appuyer sur une diversification de leur mix clientèle pour attirer des visiteurs loisirs comme business, nationaux comme internationaux, individuels comme de groupe.
Et, de l'autre côté, on trouve celles pour lesquelles seul un segment domine. Cela concerne une grande partie des villes de province qui, elles, subissent plus durement les effets de la crise économique actuelle.
Ainsi, pour la province, toutes les catégories ont vu leur taux d'occupation (TO) baisser en octobre 2012. Cette chute va de -9,4% pour le Grand Luxe (56,6%) à -0,8% pour l’Économique (64,2%).
Il en est quasiment de même pour le Revenu moyen par chambre disponible (RevPAR). Seule la catégorie Économique l'a vu légèrement progresser (+0,9% à 59€ ) en province. Pour le Grand Luxe, il a dégringolé de 13,9% (134€).
En cumul, depuis début 2012, les chiffres d'affaires hébergement pour les villes de province étudié affichent un retrait de 2% à 5%, selon la gamme.
On trouve d'un côté les destinations, telles Paris ou la Côte d'Azur, qui peuvent s'appuyer sur une diversification de leur mix clientèle pour attirer des visiteurs loisirs comme business, nationaux comme internationaux, individuels comme de groupe.
Et, de l'autre côté, on trouve celles pour lesquelles seul un segment domine. Cela concerne une grande partie des villes de province qui, elles, subissent plus durement les effets de la crise économique actuelle.
Ainsi, pour la province, toutes les catégories ont vu leur taux d'occupation (TO) baisser en octobre 2012. Cette chute va de -9,4% pour le Grand Luxe (56,6%) à -0,8% pour l’Économique (64,2%).
Il en est quasiment de même pour le Revenu moyen par chambre disponible (RevPAR). Seule la catégorie Économique l'a vu légèrement progresser (+0,9% à 59€ ) en province. Pour le Grand Luxe, il a dégringolé de 13,9% (134€).
En cumul, depuis début 2012, les chiffres d'affaires hébergement pour les villes de province étudié affichent un retrait de 2% à 5%, selon la gamme.
Paris et la Côte d'Azur tirent leur épingle du jeu
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Comme évoqué précédemment, les établissements de la capitale ne sont pas dans la même situation. A Paris, le RevPAR a progressé pour toutes les catégories en octobre 2012 : +20,8% pour le Grand Luxe (526€), +17,2% pour le Charme (306€) et +12,7% pour l’Économique (90€).
Ils rattrapent ainsi un mois de septembre 2012 qui avait été jugé quelque peu décevant. Les hôtels parisiens ont su exploiter leur marge de progression et la majeure partie d'entre eux affichent des croissances à 2 chiffres de leurs prix moyens.
Une situation également constatée sur la Côte d'Azur. Même si la hausse y est moins linéaire, compte tenu du calendrier des congrès et des évènements, les RevPAR progressent pour toutes les catégories : +21,1% pour le Grand Luxe (215€), +11,3% pour le Milieu de Gamme (67€) et +9,8% pour le Haut de Gamme (96€).
Ils rattrapent ainsi un mois de septembre 2012 qui avait été jugé quelque peu décevant. Les hôtels parisiens ont su exploiter leur marge de progression et la majeure partie d'entre eux affichent des croissances à 2 chiffres de leurs prix moyens.
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