Le groupe espagnol termine l’année 2012 avec un résultat opérationnel négatif de 68 millions d’euros réparti en un solde positif de 274 millions pour British Airways mais une perte de 351 millions pour Iberia.
Un résultat néanmoins nettement meilleur que l’objectif annoncé de 120 millions de pertes. La recette unitaire s’est améliorée, passant de 6,55 à 6,66 euros.
Une annonce que la City a immédiatement salué ce matin avec un bond de plus de 10% de l’action.
C’est surtout l’amélioration du quatrième trimestre avec un rebond du trafic Premium qui apporte un signe positif pour la suite des événements.
Mais les coûts de restructuration d’Iberia et dans une moindre mesure ceux de BMI alourdissent singulièrement la performance finale de 2012 pour atteindre une perte avant impôts de 997 millions d’euros.
Un résultat néanmoins nettement meilleur que l’objectif annoncé de 120 millions de pertes. La recette unitaire s’est améliorée, passant de 6,55 à 6,66 euros.
Une annonce que la City a immédiatement salué ce matin avec un bond de plus de 10% de l’action.
C’est surtout l’amélioration du quatrième trimestre avec un rebond du trafic Premium qui apporte un signe positif pour la suite des événements.
Mais les coûts de restructuration d’Iberia et dans une moindre mesure ceux de BMI alourdissent singulièrement la performance finale de 2012 pour atteindre une perte avant impôts de 997 millions d’euros.
Le plan social portant sur 3800 suppressions d’emplois est en négociation
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La restructuration d’Iberia est passée par une réduction des capacités offertes, de -1,9% sur l’année et en 2013, le tendance devrait s’accentuer. Il est prévu de retirer 15% de la capacité d’Iberia, soit 25 appareils en moins.
« C’est le seul moyen de renouer avec les bénéfices », prévient Willie Walsh.
Le plan social portant sur 3800 suppressions d’emplois est en négociation avec les partenaires sociaux jusqu’à la mi-mars avant déploiement. Une provision de 202 millions a été rajoutée au 68 millions déjà prévus pour accompagner les départs.
Dans le même temps, IAG souhaite prendre le contrôle de Vueling mais, prévient Willie Walsh, « Alex Cruz continuera à avoir une liberté totale sur la gestion de sa compagnie ».
Ca reste à voir.
« C’est le seul moyen de renouer avec les bénéfices », prévient Willie Walsh.
Le plan social portant sur 3800 suppressions d’emplois est en négociation avec les partenaires sociaux jusqu’à la mi-mars avant déploiement. Une provision de 202 millions a été rajoutée au 68 millions déjà prévus pour accompagner les départs.
Dans le même temps, IAG souhaite prendre le contrôle de Vueling mais, prévient Willie Walsh, « Alex Cruz continuera à avoir une liberté totale sur la gestion de sa compagnie ».
Ca reste à voir.