L'édition 2019 de l'IFTM Top Resa a fermé ses portes ce vendredi 4 octobre 2019. - DR Stéphane Laure
Le salon professionnel IFTM Top Resa ferme ses portes ce vendredi 4 octobre 2019.
2019 aura été une nouvelle édition de qualité, selon Frédéric Lorin, président du salon. « J’ai eu de très bons échos de la part des exposants », affirme-t-il, sans avancer de chiffres.
L'IFTM Top Resa s’est déroulé après un "septembre noir" selon les mots de Frédéric Lorin. « Il ne faut pas se masquer les yeux, cela reste une déflagration avec des effets collatéraux qui vont durer plusieurs semaines. Cette industrie a connu des crises et en connait une aujourd’hui, elle reste une industrie agile et résiliente. Nous devons en tirer les leçons », affirme-t-il.
Pour autant, la conjoncture n’a pas impacté le salon, « la commercialisation étant déjà bouclée en septembre », précise-t-il.
Parmi les points positifs relevés : l’accueil du salon dans le hall 1, pavillon plus accessible et lumineux.
2019 aura été une nouvelle édition de qualité, selon Frédéric Lorin, président du salon. « J’ai eu de très bons échos de la part des exposants », affirme-t-il, sans avancer de chiffres.
L'IFTM Top Resa s’est déroulé après un "septembre noir" selon les mots de Frédéric Lorin. « Il ne faut pas se masquer les yeux, cela reste une déflagration avec des effets collatéraux qui vont durer plusieurs semaines. Cette industrie a connu des crises et en connait une aujourd’hui, elle reste une industrie agile et résiliente. Nous devons en tirer les leçons », affirme-t-il.
Pour autant, la conjoncture n’a pas impacté le salon, « la commercialisation étant déjà bouclée en septembre », précise-t-il.
Parmi les points positifs relevés : l’accueil du salon dans le hall 1, pavillon plus accessible et lumineux.
Des demandes d’adhésion au Cediv
Du côté des distributeurs présents sur le salon, le bilan est positif. « C’est une année d’exception compte tenu de l’actualité. Nous avons eu beaucoup de contacts et des demandes d’adhésion. Dès ce matin, nous avons reçu des dossiers complets », raconte Stéphane Fulcrand, administrateur du Cediv.
« Nous étions également mieux placés, au milieu du salon et à côté des tour-opérateurs. Cela nous a permis d’avoir plus de passage », précise-t-il.
« L’IFTM Top Resa est un rendez-vous qualitatif et indispensable , pour Mélanie Lemarchand de Lidl Voyages. Cela permet de rencontrer les partenaires, de poursuivre la stratégie 2020 et de découvrir les tendances qui se dessinent. »
« Nous étions également mieux placés, au milieu du salon et à côté des tour-opérateurs. Cela nous a permis d’avoir plus de passage », précise-t-il.
« L’IFTM Top Resa est un rendez-vous qualitatif et indispensable , pour Mélanie Lemarchand de Lidl Voyages. Cela permet de rencontrer les partenaires, de poursuivre la stratégie 2020 et de découvrir les tendances qui se dessinent. »
La « Destination France » valorisée
C’était l’une des ambitions des organisateurs de Reed Expositions : valoriser la « Destination France ». Le village a bénéficié d’une nouvelle signalétique et scénographie avec notamment une Tour Eiffel.
Pari réussi. Pour sa première participation, Natacha Blond, commerciale du Parc Spirou Provence est conquise : « nous avons trouvé ce que nous sommes venus chercher : des contacts à l’international. »
« C’est une très bonne édition, nous étions mieux intégrés à un « village France » et mieux identifiés », constate Quentin Berard, responsable commercial des marques Bateaux Parisiens, Yachts de Paris et des Restaurants de la Tour Eiffel.
Pour Marie-Annick Le Bayon, du réceptif Les Petits trains du Morbihan, b[le dernier jour du salon est « inutile » .]b « Les jeunes ne viennent pas nous voir et ne nous intéressent pas. » D’ailleurs le salon s’est vidé à vitesse grand V dès le vendredi midi.
Sur le stand voisin, Yves Le Naour, directeur adjoint de Keravel Vacances (Morbihan), lance un appel à ses collègues pour rejoindre l’événement l’an prochain. « C’est un bon salon, nous étions bien placés, près de l’allée centrale. Les rendez-vous ont été qualitatifs », note-t-il.
Pari réussi. Pour sa première participation, Natacha Blond, commerciale du Parc Spirou Provence est conquise : « nous avons trouvé ce que nous sommes venus chercher : des contacts à l’international. »
« C’est une très bonne édition, nous étions mieux intégrés à un « village France » et mieux identifiés », constate Quentin Berard, responsable commercial des marques Bateaux Parisiens, Yachts de Paris et des Restaurants de la Tour Eiffel.
Pour Marie-Annick Le Bayon, du réceptif Les Petits trains du Morbihan, b[le dernier jour du salon est « inutile » .]b « Les jeunes ne viennent pas nous voir et ne nous intéressent pas. » D’ailleurs le salon s’est vidé à vitesse grand V dès le vendredi midi.
Sur le stand voisin, Yves Le Naour, directeur adjoint de Keravel Vacances (Morbihan), lance un appel à ses collègues pour rejoindre l’événement l’an prochain. « C’est un bon salon, nous étions bien placés, près de l’allée centrale. Les rendez-vous ont été qualitatifs », note-t-il.
Des rendez-vous qualitatifs
Sur son stand, Laureline Morel, représentante de l’OT d’Israël en France, a le sourire. « C’est super ! Nous avons eu énormément de visites, dont beaucoup de chefs de production qui souhaitent ouvrir la destination ou proposer différents produits : des week-ends, du sur-mesure », se réjouit-elle.
Après 13 participations consécutives, Natia Tvalabeishvili, responsable d'une agence réceptive en Géorgie, s’interroge sur l’intérêt de participer au salon.
« D’année en année, il y a moins de monde, Internet a remplacé ce type de rassemblement. Pour quatre jours, je repars avec 30 cartes de visite, dont celles de 20 personnes que je connaissais déjà. »
Réceptif sur la Scandinavie, Maud Raynaud est, elle, satisfaite des échanges des quatre jours de salon.
A 16h ce vendredi, le salon a fermé ses portes. Rendez-vous l’an prochain pour l'édition 2020, qui promet déjà de nombreuses surprises. « Nous enrichissons chaque année le salon, nous avons bien conscience qu’un salon est un investissement pour les exposants. La value for money doit être là », conclut Frédéric Lorin.
Après 13 participations consécutives, Natia Tvalabeishvili, responsable d'une agence réceptive en Géorgie, s’interroge sur l’intérêt de participer au salon.
« D’année en année, il y a moins de monde, Internet a remplacé ce type de rassemblement. Pour quatre jours, je repars avec 30 cartes de visite, dont celles de 20 personnes que je connaissais déjà. »
Réceptif sur la Scandinavie, Maud Raynaud est, elle, satisfaite des échanges des quatre jours de salon.
A 16h ce vendredi, le salon a fermé ses portes. Rendez-vous l’an prochain pour l'édition 2020, qui promet déjà de nombreuses surprises. « Nous enrichissons chaque année le salon, nous avons bien conscience qu’un salon est un investissement pour les exposants. La value for money doit être là », conclut Frédéric Lorin.