Même si le nombre d’entrées s’est légèrement tassé le vendredi, le salon a terminé sa course avec 27 752 visiteurs, soit une hausse globale de 2,4%, pour les 1 150 exposants de la cuvée 2011.
Vincent Lhoste, le directeur de l’IFTM Top Résa, est satisfait de son salon.
Après un début poussif, avec une participation en retrait de 4 % sur les deux premiers jours, la fréquentation a fait un gros bond jeudi, pour dépasser de 5 % les résultats cumulés de l’an passé.
Même si le nombre d’entrées s’est légèrement tassé le vendredi, le salon a terminé sa course avec 27 752 visiteurs, soit une hausse globale de 2,4%, pour les 1 150 exposants de la cuvée 2011.
« Sans tomber dans le positif béat, » estime Vincent Lhoste, l’édition 2011 s’est bien déroulée, avec un bon niveau de fréquentation et une intensité de travail quasi comparable à celle des grands rendez-vous européens. ]i»
Sur le contenu, le directeur du salon semble également satisfait : « Nous avons créé du lien et de la valeur pour nos exposants, » poursuit-il, et le salon n’est plus seulement un événement de la distribution loisirs, il devient aussi un salon d’acheteurs. »
Après un début poussif, avec une participation en retrait de 4 % sur les deux premiers jours, la fréquentation a fait un gros bond jeudi, pour dépasser de 5 % les résultats cumulés de l’an passé.
Même si le nombre d’entrées s’est légèrement tassé le vendredi, le salon a terminé sa course avec 27 752 visiteurs, soit une hausse globale de 2,4%, pour les 1 150 exposants de la cuvée 2011.
« Sans tomber dans le positif béat, » estime Vincent Lhoste, l’édition 2011 s’est bien déroulée, avec un bon niveau de fréquentation et une intensité de travail quasi comparable à celle des grands rendez-vous européens. ]i»
Sur le contenu, le directeur du salon semble également satisfait : « Nous avons créé du lien et de la valeur pour nos exposants, » poursuit-il, et le salon n’est plus seulement un événement de la distribution loisirs, il devient aussi un salon d’acheteurs. »
14 ministres étrangers
Du côté de l’animation, les Forums ont eu un large succès, avec beaucoup plus de monde que l’an dernier, notamment pour le tourisme culturel et le corporate.
« À ce sujet, j’ai encore deux motifs de satisfaction, » confie-t-il. « Le premier, c’est la présence de 14 ministres étrangers et celle de 3 ministres français.
Le second, c’est l’absence de musique avant 17h… ça a été très bien accepté et ça facilite quand même beaucoup plus le contact. »
Le diagnostic du directeur de l’IFTM rejoint globalement celui des exposants.
Chez IGA, Kuoni ou TMS contact, Bernard Delaval, Louisa Rouar, Myriam Lautier et Laurent Mesguen ont eu un jeudi très occupé.
De même qu’Antoine Lacarrière, chez CdF, et Thierry Maillet, le tout récent directeur des ventes de la Française des Circuits.
« Jeudi, nous avons eu beaucoup de monde, et une majorité de gens qui ne nous connaissaient pas encore ; pour un 1er Top Résa, c’est plutôt bien. »
« À ce sujet, j’ai encore deux motifs de satisfaction, » confie-t-il. « Le premier, c’est la présence de 14 ministres étrangers et celle de 3 ministres français.
Le second, c’est l’absence de musique avant 17h… ça a été très bien accepté et ça facilite quand même beaucoup plus le contact. »
Le diagnostic du directeur de l’IFTM rejoint globalement celui des exposants.
Chez IGA, Kuoni ou TMS contact, Bernard Delaval, Louisa Rouar, Myriam Lautier et Laurent Mesguen ont eu un jeudi très occupé.
De même qu’Antoine Lacarrière, chez CdF, et Thierry Maillet, le tout récent directeur des ventes de la Française des Circuits.
« Jeudi, nous avons eu beaucoup de monde, et une majorité de gens qui ne nous connaissaient pas encore ; pour un 1er Top Résa, c’est plutôt bien. »
Moins de monde dans les agences
Chez Fram, le mardi après-midi aussi fut assez dense : « Cela dit, je trouve qu’il y a eu moins d’agences que l’an passé ; heureusement qu’il y avait la convention Carrefour Voyages. »
Même constat chez Salaun ou chez Visiteurs et CIC, où on se l’explique facilement : « Il y a de moins en moins de monde dans les agences, tout simplement » confirment ensemble Phillipe Marquenet, de Visiteurs, et Corinne Renard, chez CIC, qui a particulièrement apprécié le village des TO et son after.
Comme Vincent Lhoste, nombreux sont ceux qui observent également la montée en puissance des acheteurs parmi les visiteurs.
« Top Résa devient de plus en plus un salon d’acheteurs, » estime ainsi Bruno Dumoulin, de chez Fram ; « J’ai dû rééquilibrer mon équipe avec un renfort des gens de la production, » renchérit Louisa Rouar.
L’atmosphère de travail intense est aussi un point qui revient très souvent dans le commentaire des exposants.
« Nous avons eu d’excellents contacts, » souligne Stéphane Le Pennec, de Salaun Holidays : « Les gens sont studieux, ils travaillent très sérieusement et ça nous a fait des journées bien remplies. »
Même constat chez Salaun ou chez Visiteurs et CIC, où on se l’explique facilement : « Il y a de moins en moins de monde dans les agences, tout simplement » confirment ensemble Phillipe Marquenet, de Visiteurs, et Corinne Renard, chez CIC, qui a particulièrement apprécié le village des TO et son after.
Comme Vincent Lhoste, nombreux sont ceux qui observent également la montée en puissance des acheteurs parmi les visiteurs.
« Top Résa devient de plus en plus un salon d’acheteurs, » estime ainsi Bruno Dumoulin, de chez Fram ; « J’ai dû rééquilibrer mon équipe avec un renfort des gens de la production, » renchérit Louisa Rouar.
L’atmosphère de travail intense est aussi un point qui revient très souvent dans le commentaire des exposants.
« Nous avons eu d’excellents contacts, » souligne Stéphane Le Pennec, de Salaun Holidays : « Les gens sont studieux, ils travaillent très sérieusement et ça nous a fait des journées bien remplies. »
Un gros besoin d’informations
« Ça bosse ! » estime aussi Philippe Marquenet, sur le stand de Visiteurs, pour qui les professionnels sont peut-être inquiets, mais pas moroses du tout : « Quand vous regardez autour de vous, ça ne fait pas misérable »
« Les gens ne sont pas euphoriques, bien sûr, » acquiesce Stéphane Le Pennec, « Mais avec toutes les crises que nous avons connues depuis 10 ans, ils abordent les choses avec pragmatisme.
A croire que les professionnels du tourisme sont devenus des spécialistes de la gestion de crise, » poursuit-il en souriant.
« On sent une gros besoin d’informations, » soulignent Bernard Delaval et Bruno Dumoulin, « À la fois pour mieux convaincre le client et pour se démarquer de leurs concurrents locaux. »
Fort de ce consensus plutôt flatteur pour son salon, Vincent Lhoste compte bien renforcer encore le professionnalisme de la manifestation.
« Les gens ne sont pas euphoriques, bien sûr, » acquiesce Stéphane Le Pennec, « Mais avec toutes les crises que nous avons connues depuis 10 ans, ils abordent les choses avec pragmatisme.
A croire que les professionnels du tourisme sont devenus des spécialistes de la gestion de crise, » poursuit-il en souriant.
« On sent une gros besoin d’informations, » soulignent Bernard Delaval et Bruno Dumoulin, « À la fois pour mieux convaincre le client et pour se démarquer de leurs concurrents locaux. »
Fort de ce consensus plutôt flatteur pour son salon, Vincent Lhoste compte bien renforcer encore le professionnalisme de la manifestation.
V. Lhoste : « Je garde le contrôle de la partie tourisme »
Même s’il doit bientôt prendre de nouvelles responsabilités au sein de Reed Expositions, il a de nombreux projets pour 2012.
D’abord, mettre le voyage d’affaires au cœur de l’IFTM, en invitant les TMC à exposer, ou en organisant une journée européenne du voyage d’affaires.
Ensuite, développer la présence de l’événementiel en proposant un stand à l’ANAÉ, par exemple…
Enfin en travaillant plus au corps la presse économique, dont la présence serait un excellent moyen d’augmenter la crédibilité du tourisme.
Pas question pour lui, en tout cas, de lâcher le taureau tout de suite : « Je garde le contrôle du pôle tourisme de Reed, » conclut-il, avec un sourire tranquille, en partant voir comment se débrouillent les étudiants qui envahissent les allées du salon.
D’abord, mettre le voyage d’affaires au cœur de l’IFTM, en invitant les TMC à exposer, ou en organisant une journée européenne du voyage d’affaires.
Ensuite, développer la présence de l’événementiel en proposant un stand à l’ANAÉ, par exemple…
Enfin en travaillant plus au corps la presse économique, dont la présence serait un excellent moyen d’augmenter la crédibilité du tourisme.
Pas question pour lui, en tout cas, de lâcher le taureau tout de suite : « Je garde le contrôle du pôle tourisme de Reed, » conclut-il, avec un sourire tranquille, en partant voir comment se débrouillent les étudiants qui envahissent les allées du salon.