Le terrorisme a de lourdes conséquences sur le tourisme en Île-de-France en novembre 2015 - Photo : VisitParisRegion
Les conséquences des attentats de Paris et Saint-Denis sur le tourisme en Île-de-France sont désormais chiffrées.
Selon le Baromètre mensuel du Comité régional du tourisme (CRT), l'activité des professionnels du tourisme de la région a baissé de 24 % en novembre 2015. Dans un même temps, la fréquentation des établissements s'est repliée de 27 %.
Parmi les professionnels interrogés dans le cadre de cette étude, 74 % des Franciliens et 81 % des Parisiens estiment que leur activité a reculé par rapport à novembre 2014.
Le Baromètre fait état d'une baisse sensible des clientèles françaises comme internationales. Particulièrement pour les marchés italien, japonais et brésilien.
L'activité enregistre toutefois un léger rebond dans le Val-d'Oise et surtout en Seine-Saint-Denis "du fait de l'ouverture de la COP 21" qui se déroule actuellement au bourget.
Les perspectives sont pessimistes pour décembre 2015 et notamment pour les fêtes de fin d'année. L'état des réservations est qualifié de « moyen » par 45 % des professionnels et « mauvais voire très mauvais » par 35 % d'entre eux.
Selon le Baromètre mensuel du Comité régional du tourisme (CRT), l'activité des professionnels du tourisme de la région a baissé de 24 % en novembre 2015. Dans un même temps, la fréquentation des établissements s'est repliée de 27 %.
Parmi les professionnels interrogés dans le cadre de cette étude, 74 % des Franciliens et 81 % des Parisiens estiment que leur activité a reculé par rapport à novembre 2014.
Le Baromètre fait état d'une baisse sensible des clientèles françaises comme internationales. Particulièrement pour les marchés italien, japonais et brésilien.
L'activité enregistre toutefois un léger rebond dans le Val-d'Oise et surtout en Seine-Saint-Denis "du fait de l'ouverture de la COP 21" qui se déroule actuellement au bourget.
Les perspectives sont pessimistes pour décembre 2015 et notamment pour les fêtes de fin d'année. L'état des réservations est qualifié de « moyen » par 45 % des professionnels et « mauvais voire très mauvais » par 35 % d'entre eux.