Mais combien sont-ils exactement ? 250, comme annoncé par la RTL-TVI, la principale chaîne TV en Belgique francophone, non ! le double ? vous n’y êtes pas ! En réalité ce sont près de 750 passagers qui sont actuellement bloqués à Zaventem, en République Dominicaine, au Mexique et à Cuba.
Comme l’explique RTL-TVI : « Les passagers d'un vol qui devait décoller hier matin pour le Mexique et Cuba. Ils sont toujours à Brussels Airport. Leur avion est bloqué en République Dominicaine suite à un problème de moteur, endommagé par un animal » .
Puis de poursuivre en expliquant que depuis mardi « Le tour-opérateur tente de trouver un avion de remplacement. Après plusieurs faux espoirs, un appareil devrait être disponible demain soir (NDLR soit jeudi soir).
Petits compléments d’information
En attendant, les passagers logent à l'hôtel, les frais étant pris en charge par le tour-opérateur. Les vacanciers qui souhaitent annuler leurs vacances peuvent également être remboursés. Selon le tour-opérateur, « Il est plus difficile de trouver un avion de remplacement durant une période de vacances ».
Quoi que la chaîne commerciale ait soigneusement évité de donner le nom du TO, il ne nous a pas été difficile de découvrir qu’il s’agissait de la filiale belge du groupe TUI et l'un des deux plus grands opérateurs en Belgique : Jetair.
Deuxième erreur, due sans doute à la méconnaissance du secteur : un nombre de passagers largement sous estimé. En effet, l’information passe par pertes et profits le fait que les avions effectuent des rotations et que par conséquent la chaîne des vols est interrompue.
Ainsi, selon nos sources à Brussels Airport, il s’agit en effet de 250 touristes en attente de partance. Mais l’appareil attendu et en panne, devait rapatrier 250 touristes de République Dominicaine. Après avoir déposé les nouveaux vacanciers provenant de Belgique, l’appareil devait, pour le vol de retour, prendre à son bord 250 autres au Mexique et à Cuba.
Comme l’explique RTL-TVI : « Les passagers d'un vol qui devait décoller hier matin pour le Mexique et Cuba. Ils sont toujours à Brussels Airport. Leur avion est bloqué en République Dominicaine suite à un problème de moteur, endommagé par un animal » .
Puis de poursuivre en expliquant que depuis mardi « Le tour-opérateur tente de trouver un avion de remplacement. Après plusieurs faux espoirs, un appareil devrait être disponible demain soir (NDLR soit jeudi soir).
Petits compléments d’information
En attendant, les passagers logent à l'hôtel, les frais étant pris en charge par le tour-opérateur. Les vacanciers qui souhaitent annuler leurs vacances peuvent également être remboursés. Selon le tour-opérateur, « Il est plus difficile de trouver un avion de remplacement durant une période de vacances ».
Quoi que la chaîne commerciale ait soigneusement évité de donner le nom du TO, il ne nous a pas été difficile de découvrir qu’il s’agissait de la filiale belge du groupe TUI et l'un des deux plus grands opérateurs en Belgique : Jetair.
Deuxième erreur, due sans doute à la méconnaissance du secteur : un nombre de passagers largement sous estimé. En effet, l’information passe par pertes et profits le fait que les avions effectuent des rotations et que par conséquent la chaîne des vols est interrompue.
Ainsi, selon nos sources à Brussels Airport, il s’agit en effet de 250 touristes en attente de partance. Mais l’appareil attendu et en panne, devait rapatrier 250 touristes de République Dominicaine. Après avoir déposé les nouveaux vacanciers provenant de Belgique, l’appareil devait, pour le vol de retour, prendre à son bord 250 autres au Mexique et à Cuba.
En ce qui concerne l’avion de remplacement, s’il est exact qu’actuellement il est assez délicat d’en trouver de disponible, par contre, le problème est beaucoup plus complexe au niveau des équipages. Selon l’un de nos informateurs, il s’agirait au minimum de deux crew en tenant compte qu’une fois arrivé sur place celui de remplacement venant par le vol serait obligé de disposer d’un temps libre avant de prendre les commandes pour le vol retour.
La réaction de Jetair
Autant le dire, Jetair n’a pas mégoté. Tout d’abord, pour les passagers en attente de rapatriement, le TO offre naturellement les nuitées forcées complémentaires en all inclusive.
Pour les touristes au départ de Bruxelles, le voyagiste propose aux vacanciers d’une semaine soit l’annulation avec remboursement total de ce qui a été payé, soit pour ceux qui maintiennent le voyage, un remboursement équivalant à 50 % de ce qui a été payé.
Pour les vacanciers devant partir deux semaines et plus, il est proposé soit l’annulation totale sans frais, soit un remboursement de 30 % du total déboursé.
Enfin, dernière proposition, tous les touristes devant partir, peuvent opter pour une autre destination opérée par le voyagiste (pour la même valeur de ce qu’ils ont payé) tout en bénéficiant d’un bon remboursable de 120 euros par pax.
Quant aux clients qui utiliseraient les normes législatives en vigueur (règlement européen pour retard d’avion, indemnité pouvant être due), selon nos informations, il y a de grandes chances que ces demandes seront négociées cas par cas ou via la Commission des Litiges.
Sans oublier que certains vacanciers risquent de réclamer des indemnités complémentaires si ces retards ont pour eux des conséquences graves. En tout état de cause, les interventions du TO en faveur de ses clients vont se chiffrer en dizaines de milliers d’euros…
La réaction de Jetair
Autant le dire, Jetair n’a pas mégoté. Tout d’abord, pour les passagers en attente de rapatriement, le TO offre naturellement les nuitées forcées complémentaires en all inclusive.
Pour les touristes au départ de Bruxelles, le voyagiste propose aux vacanciers d’une semaine soit l’annulation avec remboursement total de ce qui a été payé, soit pour ceux qui maintiennent le voyage, un remboursement équivalant à 50 % de ce qui a été payé.
Pour les vacanciers devant partir deux semaines et plus, il est proposé soit l’annulation totale sans frais, soit un remboursement de 30 % du total déboursé.
Enfin, dernière proposition, tous les touristes devant partir, peuvent opter pour une autre destination opérée par le voyagiste (pour la même valeur de ce qu’ils ont payé) tout en bénéficiant d’un bon remboursable de 120 euros par pax.
Quant aux clients qui utiliseraient les normes législatives en vigueur (règlement européen pour retard d’avion, indemnité pouvant être due), selon nos informations, il y a de grandes chances que ces demandes seront négociées cas par cas ou via la Commission des Litiges.
Sans oublier que certains vacanciers risquent de réclamer des indemnités complémentaires si ces retards ont pour eux des conséquences graves. En tout état de cause, les interventions du TO en faveur de ses clients vont se chiffrer en dizaines de milliers d’euros…