De g. à dr : Chef cuisinier Navajo Freddie Bitsoie - Mary Rittmann, directrice de l’Arizona Office of Tourism - Marina Dupuy-Wedd, directrice générale Express Conseil représentant l’Arizona en France - Freda Rahnenfuehrer, directrice commerciale du Best Western Premier Grand Canyon Squire Inn - Robert Carlson, directeur de l’Arizona Wine Association - DR
Grâce à la centaine de TO qui le programment, l’Arizona fait un bon score dans le cœur des Français dont ils représentent le 3ème marché émetteur après la Grande Bretagne et l’Allemagne.
En 2011, nos compatriotes ont été 1,5 M à partir au USA, en hausse de 12,1 % par rapport à 2010, et 950 000 d’entre eux ont fait le détour jusque dans le célèbre état américain.
Certes, ils ne représentent que 2,5 % des 36,5 M de visiteurs enregistrés par la destination, mais ils totalisent à eux seuls presque 1/6ème des arrivées internationales avec un séjour moyen de 4,8 nuitées.
Le problème, c’est que le Français semblent obnubilés par le Grand Canyon, un site classé patrimoine mondial depuis 1974. Or L’Arizona, c’est grand, et c’est bien plus que le seul « Grand Canyon ».
C’est aussi beaucoup plus varié qu’on ne le croit, quelque soit la direction que l’on choisit de prendre, au Nord ou au Sud, à l’Est ou à l’Ouest, pour partir à la découverte de cet état américain.
En 2011, nos compatriotes ont été 1,5 M à partir au USA, en hausse de 12,1 % par rapport à 2010, et 950 000 d’entre eux ont fait le détour jusque dans le célèbre état américain.
Certes, ils ne représentent que 2,5 % des 36,5 M de visiteurs enregistrés par la destination, mais ils totalisent à eux seuls presque 1/6ème des arrivées internationales avec un séjour moyen de 4,8 nuitées.
Le problème, c’est que le Français semblent obnubilés par le Grand Canyon, un site classé patrimoine mondial depuis 1974. Or L’Arizona, c’est grand, et c’est bien plus que le seul « Grand Canyon ».
C’est aussi beaucoup plus varié qu’on ne le croit, quelque soit la direction que l’on choisit de prendre, au Nord ou au Sud, à l’Est ou à l’Ouest, pour partir à la découverte de cet état américain.
Les Français scotchés au Grand Canyon
Tombstone, Yuma, Nogales, Tucson, le désert de Sonora, pour ne parler que du sud de l’état, sont autant de noms qui résonnent dans le cœur d’un français amateur de cinéma ; tout comme San Carlos, à l’est de Phoenix, doit rappeler bien des choses aux fans de Blueberry…
Au nord-est, c’est encore plus fort si l’on apprécie les romans de Tony Hillerman et les enquêtes mystico-policières de Jim Chee qui se déroulent toutes dans la réserve des Navajos, entre Tuba city et Black Mesa, à la frontière du Nouveau Mexique.
C’est pour faire connaître toutes ses richesses culturelles que Mary Rittman, la directrice de l’Office du Tourisme était de passage à Paris, mercredi dernier, avec plusieurs représentants de cet Arizona pittoresque et méconnu.
Autre objectif évidemment, inciter les français à séjourner plus longtemps dans l’un des états les plus « far west » des USA.
Au nord-est, c’est encore plus fort si l’on apprécie les romans de Tony Hillerman et les enquêtes mystico-policières de Jim Chee qui se déroulent toutes dans la réserve des Navajos, entre Tuba city et Black Mesa, à la frontière du Nouveau Mexique.
C’est pour faire connaître toutes ses richesses culturelles que Mary Rittman, la directrice de l’Office du Tourisme était de passage à Paris, mercredi dernier, avec plusieurs représentants de cet Arizona pittoresque et méconnu.
Autre objectif évidemment, inciter les français à séjourner plus longtemps dans l’un des états les plus « far west » des USA.
Devenir une destination à part entière
D’où la présentation des séjours au ranch, où l’on peut aussi apprendre à pécher si le cheval n’est pas une passion, et de l’offre golf, avec 300 parcours à travers un territoire où l’on peut jouer toute l’année en profitant d’une température agréable, avec une moyenne rassurante de 320 jours de soleil.
Dernier élément, et sans doute le plus méconnu des français : l’Arizona est l’état américain du bien-être et de la détente !
C’est sans doute un reliquat de culture indienne, ce qui donne d’ailleurs une couleur toute particulière aux spas locaux.
De fait, on en trouve un peu partout, aussi bien dans des hôtels, comme au Biltmore Resort & Spa de Phoenix ou au Hyatt regency de Scottsdale, que dans des instituts spécialisés, comme le Sanctuary Spa à Paradise Valley, ou même dans des ranchs, comme au Canyon Ranch Healt Resort, pour les cow-boys trop tendres…
Le seul problème, pas simple à régler, c’est qu’au départ de France, les accès aériens sont rarement directs… Et ça, c’est pénalisant.
Dernier élément, et sans doute le plus méconnu des français : l’Arizona est l’état américain du bien-être et de la détente !
C’est sans doute un reliquat de culture indienne, ce qui donne d’ailleurs une couleur toute particulière aux spas locaux.
De fait, on en trouve un peu partout, aussi bien dans des hôtels, comme au Biltmore Resort & Spa de Phoenix ou au Hyatt regency de Scottsdale, que dans des instituts spécialisés, comme le Sanctuary Spa à Paradise Valley, ou même dans des ranchs, comme au Canyon Ranch Healt Resort, pour les cow-boys trop tendres…
Le seul problème, pas simple à régler, c’est qu’au départ de France, les accès aériens sont rarement directs… Et ça, c’est pénalisant.