L'Egypte a annoncé mercredi avoir demandé à l'Unesco d'intervenir en son nom pour demander le retour au pays de plusieurs trésors archéologiques, dont la pierre de Rosette, conservée au British Museum de Londres, ou le buste de Néfertiti exposé à
Les sculptures, vieilles de 4.400 ans, se trouvent au musée Fitzwilliam en Grande-Bretagne, et à l'Université Catholique de Bruxelles, et une demande a été adressée aux deux institutions pour leur retour, a déclaré le ministre égyptien de la Culture Farouq Hosni, qui accuse les deux pays d'avoir volé ces trésors archéologiques il y a trente ans.
Zahi Haouass, directeur des services d'archéologie égyptiens, a annoncé qu'il interdirait la poursuite d'une mission d'excavation menée par l'Université Catholique à Deir al-Barsha, et romprait toute «collaboration scientifique» avec le musée Fitzwilliam, si les deux sculptures, issues d'une nécropole proche de la Pyramide à degrés de Saqqara, ne sont pas restituées à leur pays d'origine.
L'Egypte a annoncé mercredi avoir demandé à l'Unesco d'intervenir en son nom pour demander le retour au pays de plusieurs trésors archéologiques, dont la pierre de Rosette, conservée au British Museum de Londres, ou le buste de Néfertiti exposé à Berlin.
L'Egypte, ainsi que d'autres pays, comme la Grèce, considèrent que certaines pièces archéologiques de valeur ont été pillées par les musées occidentaux, principalement durant l'ère coloniale.
Zahi Haouass, directeur des services d'archéologie égyptiens, a annoncé qu'il interdirait la poursuite d'une mission d'excavation menée par l'Université Catholique à Deir al-Barsha, et romprait toute «collaboration scientifique» avec le musée Fitzwilliam, si les deux sculptures, issues d'une nécropole proche de la Pyramide à degrés de Saqqara, ne sont pas restituées à leur pays d'origine.
L'Egypte a annoncé mercredi avoir demandé à l'Unesco d'intervenir en son nom pour demander le retour au pays de plusieurs trésors archéologiques, dont la pierre de Rosette, conservée au British Museum de Londres, ou le buste de Néfertiti exposé à Berlin.
L'Egypte, ainsi que d'autres pays, comme la Grèce, considèrent que certaines pièces archéologiques de valeur ont été pillées par les musées occidentaux, principalement durant l'ère coloniale.