Il est clair que la décision des Pouvoirs publics a été largement appuyée, pour ne pas dire suggérée par ce petit bonhomme patelin… mais obstiné et conscient que c'était son rôle de protéger à la fois l'institution qu'il préside et les adhérents qui lui font confiance - DR : A.Nestora
C'est une exclusivité que nous vous révélons aujourd'hui, avec la décision des pouvoirs publics de modifier le montant minimal de la garantie financière des professionnels du Tourisme (lire).
Une décision inéluctable, mais qui sera due essentiellement à l'obstination de ce petit homme, au regard pétillant et au sourire tellement malicieux que l'on se demande, à chaque entretien, si c'est du lard ou du cochon…
Et, très objectivement (oui, pour une fois), je pense que son arrivée à la tête de l'APST est une vraie bonne chose.
Même si les derniers évènements et les décisions qui viennent d'être prises, risquent de provoquer l'ire et la révolte chez beaucoup de ses détracteurs.
Et aussi de beaucoup d'adhérents.
Il est aussi vrai que l'Association Professionnelle de Solidarité du Tourisme était en danger.
Un danger latent certes, mais prévisible.
Faut dire aussi que, depuis quelques années, la conjoncture a évolué. Et pas nécessairement dans le bon sens.
Car les voyous et autres malfaisants, ceux qui pensent que solidarité bien ordonnée commence par soi-même au mépris de leurs clients, de leurs fournisseurs et qui finissent toujours par rebondir les poches pleines, ont proliféré aussi ces dernières années.
Une décision inéluctable, mais qui sera due essentiellement à l'obstination de ce petit homme, au regard pétillant et au sourire tellement malicieux que l'on se demande, à chaque entretien, si c'est du lard ou du cochon…
Et, très objectivement (oui, pour une fois), je pense que son arrivée à la tête de l'APST est une vraie bonne chose.
Même si les derniers évènements et les décisions qui viennent d'être prises, risquent de provoquer l'ire et la révolte chez beaucoup de ses détracteurs.
Et aussi de beaucoup d'adhérents.
Il est aussi vrai que l'Association Professionnelle de Solidarité du Tourisme était en danger.
Un danger latent certes, mais prévisible.
Faut dire aussi que, depuis quelques années, la conjoncture a évolué. Et pas nécessairement dans le bon sens.
Car les voyous et autres malfaisants, ceux qui pensent que solidarité bien ordonnée commence par soi-même au mépris de leurs clients, de leurs fournisseurs et qui finissent toujours par rebondir les poches pleines, ont proliféré aussi ces dernières années.
Tout le monde connait les noms de ces escrocs (faut appeler un chat un chat) sans scrupules qui n'hésitent pas une seconde à donner des leçons à ceux qui, finalement, les ont nourris.
Remarquez, il suffit d'être patient : la justice finit toujours par triompher.
En attendant, la remise en cause de cette garantie financière, ou plus exactement, la "rénovation" de son montant minimal est une opération absolument indispensable et nécessaire.
Bien sûr, la pilule est un peu difficile à avaler. Bien sûr, passer d'une cotisation de 700 à 2100€ est embêtant, parfois très difficile à assumer.
En même temps, il est clair que tout a augmenté depuis ces dernières années et qu'une institution telle que l'APST est non seulement une opportunité fabuleuse, mais également une nécessité.
N'oublions pas que l'Europe, quoi qu'on en dise, se construit… Avec difficulté, je vous l'accorde.
Et que, pour parler uniquement tourisme, les directives à l'égard des professionnels du voyage sont claires et irrémédiables : le client doit être protégé, de plus en plus.
C'est d'ailleurs tout à l'honneur des professionnels que ces clients soient protégés et puissent avoir confiance en leurs prestataires.
Remarquez, il suffit d'être patient : la justice finit toujours par triompher.
En attendant, la remise en cause de cette garantie financière, ou plus exactement, la "rénovation" de son montant minimal est une opération absolument indispensable et nécessaire.
Bien sûr, la pilule est un peu difficile à avaler. Bien sûr, passer d'une cotisation de 700 à 2100€ est embêtant, parfois très difficile à assumer.
En même temps, il est clair que tout a augmenté depuis ces dernières années et qu'une institution telle que l'APST est non seulement une opportunité fabuleuse, mais également une nécessité.
N'oublions pas que l'Europe, quoi qu'on en dise, se construit… Avec difficulté, je vous l'accorde.
Et que, pour parler uniquement tourisme, les directives à l'égard des professionnels du voyage sont claires et irrémédiables : le client doit être protégé, de plus en plus.
C'est d'ailleurs tout à l'honneur des professionnels que ces clients soient protégés et puissent avoir confiance en leurs prestataires.
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Nabet a fait le bon choix.
Il est clair que la décision des Pouvoirs publics a été largement appuyée, pour ne pas dire suggérée par ce petit bonhomme patelin… mais obstiné et conscient que c'était son rôle de protéger à la fois l'institution qu'il préside et les adhérents qui lui font confiance.
Une manière aussi de mettre au pied du mur les organismes qui se veulent concurrents, ces banques qui rechignent de plus en plus à accorder le moindre crédit, mais qui gagnent quand même un peu d'argent en apportant une garantie financière souvent inefficace à ceux qui trouvent que l'APST est trop chère.
Une manière aussi de faire un petit pied de nez à ces adhérents qui ont cru que le soleil brillait davantage sous d'autres cieux…
Un pari risqué ? Pas tant que ça. Les adhérents quitteront-ils leur Association face à la montée des cotisations ?
Peut-être certains…
A condition que les banques et les autres organismes, qui ne sont que des concurrents style "Tigre en Papier", puissent avoir la volonté de suivre.
Ce que je ne crois pas.
En revanche, un retour de certaines brebis égarées ne me parait pas impossible. Loin de là...
Il est clair que la décision des Pouvoirs publics a été largement appuyée, pour ne pas dire suggérée par ce petit bonhomme patelin… mais obstiné et conscient que c'était son rôle de protéger à la fois l'institution qu'il préside et les adhérents qui lui font confiance.
Une manière aussi de mettre au pied du mur les organismes qui se veulent concurrents, ces banques qui rechignent de plus en plus à accorder le moindre crédit, mais qui gagnent quand même un peu d'argent en apportant une garantie financière souvent inefficace à ceux qui trouvent que l'APST est trop chère.
Une manière aussi de faire un petit pied de nez à ces adhérents qui ont cru que le soleil brillait davantage sous d'autres cieux…
Un pari risqué ? Pas tant que ça. Les adhérents quitteront-ils leur Association face à la montée des cotisations ?
Peut-être certains…
A condition que les banques et les autres organismes, qui ne sont que des concurrents style "Tigre en Papier", puissent avoir la volonté de suivre.
Ce que je ne crois pas.
En revanche, un retour de certaines brebis égarées ne me parait pas impossible. Loin de là...