L’association des compagnies aériennes opérant en France a tenu son assemblée générale hier à l’issue de laquelle le bureau a été renouvelé partiellement.
Trois vice-présidents ont ainsi été désignés : Lorenzo Donato, directreur d’Alitalia en France pour la zone Europe, Béatrice de Rotalier, directrice de Delta en France pour la zone Amériques et Jean-Marc Hastings, directeur d’Air Tahiti Nui en France pour la zone Asie/Pacifique.
Le président du BAR, Jean-Pierre Sauvage, qui a quitté récemment ses fonctions chez Iberia, est plus que jamais déterminé à œuvrer pour l’association et à faire entendre la voix du BAR qui regroupe 84 compagnies et représente l’emploi de 5 000 salariés en France.
Au programme de cette année, la défense des compagnies aériennes qui ne sont pas entièrement responsables de tous les maux qui contrarient les passagers.
Et Jean-Pierre Sauvage de désigner « le principe de précaution que les autorités de tutelle poussent à l’absolu » et qui incite le gouvernement français à fermer l’espace aérien comme ce fut le cas lors de l’épisode du volcan islandais.
Trois vice-présidents ont ainsi été désignés : Lorenzo Donato, directreur d’Alitalia en France pour la zone Europe, Béatrice de Rotalier, directrice de Delta en France pour la zone Amériques et Jean-Marc Hastings, directeur d’Air Tahiti Nui en France pour la zone Asie/Pacifique.
Le président du BAR, Jean-Pierre Sauvage, qui a quitté récemment ses fonctions chez Iberia, est plus que jamais déterminé à œuvrer pour l’association et à faire entendre la voix du BAR qui regroupe 84 compagnies et représente l’emploi de 5 000 salariés en France.
Au programme de cette année, la défense des compagnies aériennes qui ne sont pas entièrement responsables de tous les maux qui contrarient les passagers.
Et Jean-Pierre Sauvage de désigner « le principe de précaution que les autorités de tutelle poussent à l’absolu » et qui incite le gouvernement français à fermer l’espace aérien comme ce fut le cas lors de l’épisode du volcan islandais.
Autre combat : la réglementation sur les indemnisations des passagers
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Le président de l’association appelle de ses vœux la création d’un organisme indépendant qui permettrait de définir une politique opérationnelle qualitative en anticipant voire en minorant les événements exceptionnels.
Autre combat de l’association, la réglementation 261-2004 définissant les indemnisations aux passagers que les associations de consommateurs « jettent au nez » des compagnies aériennes. Le péril vient également des jugements des tribunaux de proximité qui peuvent faire jurisprudence…
Enfin, le BAR est prêt-à-porter devant le Conseil d’état son souhait d’être reconnu comme un interlocuteur par le Ministère du Travail dans l’élaboration de la convention collective du transport aérien. A l’heure actuelle, cette convention est négociée, côté patronal, par les représentants de huit compagnies aériennes françaises.
Un déséquilibre des forces qui pointe une injustice si l’on considère que 52% du transport aérien en France est réalisé par des compagnies étrangères…
Autre combat de l’association, la réglementation 261-2004 définissant les indemnisations aux passagers que les associations de consommateurs « jettent au nez » des compagnies aériennes. Le péril vient également des jugements des tribunaux de proximité qui peuvent faire jurisprudence…
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