Léon Bertrand et son épouse lors des vœux dans l’historique salon Opéra du Grand Hôtel Intercontinental de Paris.
Le ministre délégué au tourisme a décliné les trois axes majeurs qui l’ont guidé depuis 2002. Il s’est efforcé à donner plus de cohérence au tourisme à l’intérieur des institutions. Il a développé la visibilité de la destination France afin de conforter son leadership à travers le monde. Il a réorienté sa stratégie autour d’une certitude : ne pas toujours viser plus de touristes mais toujours plus de recettes en accroissant la rentabilité moyenne de chaque touriste capté.
Le ministre a reconnu que certains chantiers restaient ouverts : le classement hôtelier, la taxe de séjour, le difficile dossier de la TVA, la réforme de la loi de 1992 et la question de la responsabilité qui ne se réglera qu’au niveau européen.
« Pour qu’un ministre soit « utile » il doit pouvoir s’appuyer sur des troupes réactives » a dit le ministre en ajoutant, en forme de conclusion : « J’ai le sentiment d’avoir beaucoup accompli pendant ces cinq ans et laisser une Maison en ordre de marche et des équipes performantes ».
Le ministre a reconnu que certains chantiers restaient ouverts : le classement hôtelier, la taxe de séjour, le difficile dossier de la TVA, la réforme de la loi de 1992 et la question de la responsabilité qui ne se réglera qu’au niveau européen.
« Pour qu’un ministre soit « utile » il doit pouvoir s’appuyer sur des troupes réactives » a dit le ministre en ajoutant, en forme de conclusion : « J’ai le sentiment d’avoir beaucoup accompli pendant ces cinq ans et laisser une Maison en ordre de marche et des équipes performantes ».