La niche de location de bateaux, de croisières à la cabine et de flottilles souffre de la crise - DR
Le Vendée Globe aux Sables d’Olonne, l’étape de la Volvo Ocean Race à Lorient, le festival des Tonnerres de Brest : l'engouement pour les différentes manifestations nautiques traduit l'intérêt des Français pour les séjours en mer.
"Nous profitons forcément de l'enthousiasme pour la croisière en général" explique Daniel Locci de Dream Yacht Charter.
Et pourtant, la niche de location de bateaux, de croisières à la cabine et de flottilles souffre de la crise. "Les marges sont beaucoup moins importantes qu'avant", indique Florent Bugeat, le responsable commercial du salon.
D'autant plus que les produits ne sont pas épargnés par la guerre des prix.
"Les voyageurs sont inondés de promotions, ils font jouer la concurrence ce qui fait chuter le panier moyen" déplore Eric Ahuir, le directeur commercial de Sailndream et Sedna.
Et la clientèle traditionnelle, plutôt aisée, n'est pas épargné par la crise. "Celui qui dépensait 10 000 euros l'année dernière veut être plus raisonnable aujourd'hui. Même s'il en a encore les moyens, les temps sont incertains" déplore Emmanuel Allot le directeur générale des ventes chez Tui Marine.
Afin de poursuivre sa croissance, la filière doit donc s'ouvrir et ne plus s'adresser seulement aux passionnés qui savent déjà naviguer.
Ainsi, les marques de Tui Marine prévoient de concevoir des séjours moins techniques et plus accessibles qui séduiront une nouvelle génération.
"Nous profitons forcément de l'enthousiasme pour la croisière en général" explique Daniel Locci de Dream Yacht Charter.
Et pourtant, la niche de location de bateaux, de croisières à la cabine et de flottilles souffre de la crise. "Les marges sont beaucoup moins importantes qu'avant", indique Florent Bugeat, le responsable commercial du salon.
D'autant plus que les produits ne sont pas épargnés par la guerre des prix.
"Les voyageurs sont inondés de promotions, ils font jouer la concurrence ce qui fait chuter le panier moyen" déplore Eric Ahuir, le directeur commercial de Sailndream et Sedna.
Et la clientèle traditionnelle, plutôt aisée, n'est pas épargné par la crise. "Celui qui dépensait 10 000 euros l'année dernière veut être plus raisonnable aujourd'hui. Même s'il en a encore les moyens, les temps sont incertains" déplore Emmanuel Allot le directeur générale des ventes chez Tui Marine.
Afin de poursuivre sa croissance, la filière doit donc s'ouvrir et ne plus s'adresser seulement aux passionnés qui savent déjà naviguer.
Ainsi, les marques de Tui Marine prévoient de concevoir des séjours moins techniques et plus accessibles qui séduiront une nouvelle génération.