Un vol spécial affrété à Nouvelair, a quitté l'aéroport lyonnais pour embarquer les passagers en souffrance (photo archives)
Plus d’une centaine de passagers ont été « oubliés » par Marmara, dimanche dernier, à l'aéroport de Lyon Saint-Exupéry, rapporte le « Dauphiné Libéré ».
Des familles entières, avec des enfants en bas âge, attendaient le vol n°BJ3151 qui devait décoller à 23 h 30. Ils apprennent alors successivement que le vol en question n'existe pas et que près de 80 passagers, dûment prévenus par leur AGV, ont pu partir plus tôt dans l'après-midi sur un autre vol charter.
Selon les déclarations au « Dauphiné Libéré », ces passagers "Auraient été prévenus par leurs agences de voyage. Ce qui n'est pas notre cas", indique encore une mère de famille.
Du coup, près de 140 clients, sont plantés sur le tarmac et poireautent ainsi jusqu’à minuit. On leur promet un départ sur un vol. Mais finalement l’avion, en provenance de Genève, ne viendra pas. On évoque un problème technique.
Des familles entières, avec des enfants en bas âge, attendaient le vol n°BJ3151 qui devait décoller à 23 h 30. Ils apprennent alors successivement que le vol en question n'existe pas et que près de 80 passagers, dûment prévenus par leur AGV, ont pu partir plus tôt dans l'après-midi sur un autre vol charter.
Selon les déclarations au « Dauphiné Libéré », ces passagers "Auraient été prévenus par leurs agences de voyage. Ce qui n'est pas notre cas", indique encore une mère de famille.
Du coup, près de 140 clients, sont plantés sur le tarmac et poireautent ainsi jusqu’à minuit. On leur promet un départ sur un vol. Mais finalement l’avion, en provenance de Genève, ne viendra pas. On évoque un problème technique.
Les passagers s’énervent, les forces de l'ordre à la rescousse
Les passagers s’énervent, la colère monte et les employés du guichet de Marmara « complètement dépassés » appellent même les forces de l'ordre à la rescousse.
Vers minuit, le verdict tombe. Le vol n’aura lieu que le lendemain, lundi, et ils devront passer la nuit sur place, dans un hôtel proche de l'aéroport. Un car est affrété mais certains ont décidé de rentrer chez eux.
Ce lundi, un vol spécial affrété à Nouvelair, dont l’appareil était positionné à Charles-de-Gaulle, a quitté l'aéroport lyonnais pour embarquer les passagers en souffrance.
Notre confrère qui a joint l'attachée de presse de Marmara, s’est fait préciser qu’il s’agissait d'une "erreur de convocation, pas d'exploitation. Cela reste rare". Le TO promet une indemnisation pour la journée perdue mais les passagers, remontés, n'excluent pas pour certains d'engager des poursuites.
Si nous avons bien compris, les passagers qui avaient acheté leur billet dans une agence de voyages, ont été dûment prévenus. Les autres avaient probablement acquis leur forfait en ligne.
Si certains en doutaient encore, cela fait plaisir de voir que les agences de voyages traditionnelles font leur boulot et... que ça marche !
Vers minuit, le verdict tombe. Le vol n’aura lieu que le lendemain, lundi, et ils devront passer la nuit sur place, dans un hôtel proche de l'aéroport. Un car est affrété mais certains ont décidé de rentrer chez eux.
Ce lundi, un vol spécial affrété à Nouvelair, dont l’appareil était positionné à Charles-de-Gaulle, a quitté l'aéroport lyonnais pour embarquer les passagers en souffrance.
Notre confrère qui a joint l'attachée de presse de Marmara, s’est fait préciser qu’il s’agissait d'une "erreur de convocation, pas d'exploitation. Cela reste rare". Le TO promet une indemnisation pour la journée perdue mais les passagers, remontés, n'excluent pas pour certains d'engager des poursuites.
Si nous avons bien compris, les passagers qui avaient acheté leur billet dans une agence de voyages, ont été dûment prévenus. Les autres avaient probablement acquis leur forfait en ligne.
Si certains en doutaient encore, cela fait plaisir de voir que les agences de voyages traditionnelles font leur boulot et... que ça marche !