"Ce genre de pratique est courante dans le secteur de l’aviation, en cas d’immobilisation prolongée de l’appareil initialement prévu, et ceux en vue de respecter au mieux le plan de vol de la compagnie avec ses clients.
Dans ce genre de cas, la compagnie aérienne se doit à 2 obligations :
1/trouver une solution au moins équivalente en terme de sécurité et de capacité d’appareil
2/informer ses clients ou le voyagiste affréteur de la situation, et de la nature de la solution proposée pour validation
Aucunes de ces deux obligations n’a été respectée par Koral Blue qui dispose d’une flotte de 4 airbus (3xA320 et 1xA319), pour effectuer les rotations affrétées par Marmara.
Dimanche soir, dès qu’ils ont eu connaissance de l’identité de la compagnie et de la nature de l’appareil opérant effectivement le vol Deauville-Bordeaux-Taba, la direction de Marmara a pris la responsabilité de ne pas faire redécoller cet appareil avec ses clients à bord et a décidé de ré-affréter un nouvel appareil.
La période de vacances scolaire de Pâques actuelle étant traditionnellement très chargée en terme de trafic aérien, une solution définitive n’a pu être trouvé par le voyagiste que lundi aux alentours de 15H00.
Tous les passagers ont donc décollé Lundi 12 avril à 20H59 à bord d’un avion McDonnell Douglas 83 de la compagnie française Blue Line. Ils seront tous indemnisés de la totalité des prestations de leur séjour dont ils n’ont pas pu bénéficier.
Seuls 8 clients ont décidés de ne pas partir lundi soir et seront intégralement remboursés de leur séjour."
Dans ce genre de cas, la compagnie aérienne se doit à 2 obligations :
1/trouver une solution au moins équivalente en terme de sécurité et de capacité d’appareil
2/informer ses clients ou le voyagiste affréteur de la situation, et de la nature de la solution proposée pour validation
Aucunes de ces deux obligations n’a été respectée par Koral Blue qui dispose d’une flotte de 4 airbus (3xA320 et 1xA319), pour effectuer les rotations affrétées par Marmara.
Dimanche soir, dès qu’ils ont eu connaissance de l’identité de la compagnie et de la nature de l’appareil opérant effectivement le vol Deauville-Bordeaux-Taba, la direction de Marmara a pris la responsabilité de ne pas faire redécoller cet appareil avec ses clients à bord et a décidé de ré-affréter un nouvel appareil.
La période de vacances scolaire de Pâques actuelle étant traditionnellement très chargée en terme de trafic aérien, une solution définitive n’a pu être trouvé par le voyagiste que lundi aux alentours de 15H00.
Tous les passagers ont donc décollé Lundi 12 avril à 20H59 à bord d’un avion McDonnell Douglas 83 de la compagnie française Blue Line. Ils seront tous indemnisés de la totalité des prestations de leur séjour dont ils n’ont pas pu bénéficier.
Seuls 8 clients ont décidés de ne pas partir lundi soir et seront intégralement remboursés de leur séjour."