Et c’est bien une nouvelle culture d’entreprise que Yan Monplaisir souhaite apporter au village des Boucaniers qui emploie près de 250 personnes. Pour lui, le dialogue social doit s’instaurer sur des bases nouvelles.
« Je crois beaucoup au partenariat que le Club Med a instauré avec les insulaires que nous sommes. Jusqu’à présent l’hôtel était dirigé par des « Chefs de Villages », des directeurs qui venaient une ou deux saisons.
Ils géraient le court terme et repartaient avec le souci d’éviter tout conflit social. C’est d’ailleurs le cas dans la plupart des hôtels de la Martinique gérés par des chaînes qui ont leur siège en Métropole.
Mais aujourd’hui, aux Boucaniers, nous agissons sur le long terme et chacun doit comprendre la nécessité de changer de pratique à l’intérieur de l’entreprise. Nous sommes astreints à faire en sorte que cette structure soit rentable.
Nous ne pouvons entrer dans un système de consolidation. Notre fonction est et reste celle d’une PME. A chacun de comprendre la problématique qui nous permettra de faire avancer les choses sur le plan de l’efficacité et de la productivité. »
Un prix US pour la qualité de l’accueil
Aux Boucaniers les uns et les autres semblent avoir pris leurs repères. Après 48 heures de mise en ordre et en place les Boucaniers rouvriront leurs portes dès samedi avec, dans un premier temps, la clientèle locale. Le Club Med assurera au fur et à mesure le retour des « GM ».
Depuis sa réouverture après 18 mois de travaux le Club de Martinique avait retrouvé le taux de remplissage qu’il mérite. Yan Monplaisir espère retrouver rapidement la voie du succès. « Nous sommes vraiment en train de regagner la confiance de nos clients.
our sa première année les Boucaniers ont fait le plein et nous avions d’excellents résultats avec la clientèle nord américaine. Une association de TO américains nous a d’ailleurs remis un prix pour la qualité de l’accueil de ce village ».
« Je crois beaucoup au partenariat que le Club Med a instauré avec les insulaires que nous sommes. Jusqu’à présent l’hôtel était dirigé par des « Chefs de Villages », des directeurs qui venaient une ou deux saisons.
Ils géraient le court terme et repartaient avec le souci d’éviter tout conflit social. C’est d’ailleurs le cas dans la plupart des hôtels de la Martinique gérés par des chaînes qui ont leur siège en Métropole.
Mais aujourd’hui, aux Boucaniers, nous agissons sur le long terme et chacun doit comprendre la nécessité de changer de pratique à l’intérieur de l’entreprise. Nous sommes astreints à faire en sorte que cette structure soit rentable.
Nous ne pouvons entrer dans un système de consolidation. Notre fonction est et reste celle d’une PME. A chacun de comprendre la problématique qui nous permettra de faire avancer les choses sur le plan de l’efficacité et de la productivité. »
Un prix US pour la qualité de l’accueil
Aux Boucaniers les uns et les autres semblent avoir pris leurs repères. Après 48 heures de mise en ordre et en place les Boucaniers rouvriront leurs portes dès samedi avec, dans un premier temps, la clientèle locale. Le Club Med assurera au fur et à mesure le retour des « GM ».
Depuis sa réouverture après 18 mois de travaux le Club de Martinique avait retrouvé le taux de remplissage qu’il mérite. Yan Monplaisir espère retrouver rapidement la voie du succès. « Nous sommes vraiment en train de regagner la confiance de nos clients.
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Les termes d’un accord
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- Désignation d’experts habilités à mener un audit afin d’analyser la situation économique et financière de la structure, le tout à la charge de l’employeur.
- Revalorisation salariale de 2 % rétroactive au mois de septembre 2006.
- A propos de l’organisation du temps de travail qui était à la source du conflit, la direction propose de reporter la nouvelle répartition à janvier 2008 sous réserve des conclusions de l’audit et des consultations avec les représentants du personnel.
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