"(Le niveau de) 60 dollars a agi comme un aimant", a déclaré Bill O'Grady, analyste chez AG Edwards. "Le marché avait décidé de tester les 60 dollars", a-t-il observé. Mike Fitzpatrick, analyste de Fimat, a estimé que la progression était alimentée par les spéculateurs.
Pour Phil Flynn, courtier chez Alaron Trading, les déclarations du président de la Réserve fédérale (Fed) Alan Greenspan sur la Chine ont contribué à la montée des prix du pétrole.
Fidèle à son credo du libre-échange, M. Greenspan a mis en garde contre toute velléité de protectionisme vis-à-vis de la Chine.
Consommation chinoise toujours plus grande
Selon le patron de la Fed, qui s'exprimait devant une commission du Sénat, des barrières douanières, si elles étaient assez puissantes pour faire baisser les importations, risqueraient aussi de "réduire matériellement le niveau de vie" des Américains.
Ces déclarations "ont conduit beaucoup de courtiers à penser que la demande chinoise de pétrole va continuer à croître", a expliqué M. Flynn.
"Et si nous évitons une guerre commerciale, il est plus que probable que leur demande de pétrole va rester forte" car leur économie va poursuivre son fort taux de croissance, a continué M. Flynn.
Selon lui, les commentaires de M. Greenspan sont "très haussiers" car la demande chinoise a été un des principaux moteurs de la hausse des prix depuis plusieurs mois.
Pour Phil Flynn, courtier chez Alaron Trading, les déclarations du président de la Réserve fédérale (Fed) Alan Greenspan sur la Chine ont contribué à la montée des prix du pétrole.
Fidèle à son credo du libre-échange, M. Greenspan a mis en garde contre toute velléité de protectionisme vis-à-vis de la Chine.
Consommation chinoise toujours plus grande
Selon le patron de la Fed, qui s'exprimait devant une commission du Sénat, des barrières douanières, si elles étaient assez puissantes pour faire baisser les importations, risqueraient aussi de "réduire matériellement le niveau de vie" des Américains.
Ces déclarations "ont conduit beaucoup de courtiers à penser que la demande chinoise de pétrole va continuer à croître", a expliqué M. Flynn.
"Et si nous évitons une guerre commerciale, il est plus que probable que leur demande de pétrole va rester forte" car leur économie va poursuivre son fort taux de croissance, a continué M. Flynn.
Selon lui, les commentaires de M. Greenspan sont "très haussiers" car la demande chinoise a été un des principaux moteurs de la hausse des prix depuis plusieurs mois.