Les Niçois vont pouvoir s'envoler pour Montréal à bord d'un B 737-300 de la nouvelle compagnie Air Canada Rouge. DR
Développer une filiale à bas coûts pour opérer ses vols loisirs et saisonniers. Tel est le modèle d'Air Canada Rouge, la nouvelle filiale d'Air Canada, lancée en juillet 2013.
Sur le modèle de Transavia pour Air France ou de Germanwings pour Lufthansa, la jeune compagnie a réduit ses coûts d'exploitation et densifié ses avions afin de proposer des prix d'appels alléchants.
Le vol Nice-Montréal, mis en place à partir du 23 mai 2014, est ainsi vendu à partir de 524,48 € TTC. La compagnie espère ainsi contrer Air Transat, déjà présente sur la desserte.
Pour offrir de tels tarifs, "Rouge" a fortement densifié son B 767-300 qui va opérer la ligne. L'appareil compte ainsi 270 sièges contre 211 dans un B-767 classique d'Air Canada.
A bord, pas vidéo à la demande, mais un service de location d'Ipad et de contenu payant, téléchargeable sur son propre terminal mobile. En revanche, des plateaux repas seront gratuitement proposés aux passagers.
La compagnie va s'appuyer sur l'aéroport de Nice pour promouvoir ce nouveau vol. Elle compte également organiser un roadshow auprès des agences de voyages, un canal de distribution qui représente 85% de ses ventes (OTA incluses).
Au total, "Rouge" possède actuellement huit appareils en service, principalement sur les Caraïbes et l'Europe. Une cinquantaine d'autres avions devraient rejoindre la flotte d'ici 2015.
De quoi largement étoffer son réseau loisir. "Nous étudions aujourd'hui toutes les opportunités en vue d'ouvrir de nouvelles lignes. Et nous avons remarqué que les Canadiens appréciaient beaucoup la côte Atlantique, notamment la région nantaise", avoue David Gégot, le directeur France.
Sur le modèle de Transavia pour Air France ou de Germanwings pour Lufthansa, la jeune compagnie a réduit ses coûts d'exploitation et densifié ses avions afin de proposer des prix d'appels alléchants.
Le vol Nice-Montréal, mis en place à partir du 23 mai 2014, est ainsi vendu à partir de 524,48 € TTC. La compagnie espère ainsi contrer Air Transat, déjà présente sur la desserte.
Pour offrir de tels tarifs, "Rouge" a fortement densifié son B 767-300 qui va opérer la ligne. L'appareil compte ainsi 270 sièges contre 211 dans un B-767 classique d'Air Canada.
A bord, pas vidéo à la demande, mais un service de location d'Ipad et de contenu payant, téléchargeable sur son propre terminal mobile. En revanche, des plateaux repas seront gratuitement proposés aux passagers.
La compagnie va s'appuyer sur l'aéroport de Nice pour promouvoir ce nouveau vol. Elle compte également organiser un roadshow auprès des agences de voyages, un canal de distribution qui représente 85% de ses ventes (OTA incluses).
Au total, "Rouge" possède actuellement huit appareils en service, principalement sur les Caraïbes et l'Europe. Une cinquantaine d'autres avions devraient rejoindre la flotte d'ici 2015.
De quoi largement étoffer son réseau loisir. "Nous étudions aujourd'hui toutes les opportunités en vue d'ouvrir de nouvelles lignes. Et nous avons remarqué que les Canadiens appréciaient beaucoup la côte Atlantique, notamment la région nantaise", avoue David Gégot, le directeur France.
Une offre de siège en croissance en France comme en Europe
Autre nouveauté pour Air Canada, l'augmentation de capacité sur la ligne Paris-Montréal (+18%) grâce à la mise en place d'un nouveau B 777- 300 entièrement reconfiguré.
En réduisant de 42 à 36 le nombre de sièges affaires, la compagnie a gagné de l'espace pour introduire une nouvelle classe intermédiaire de 24 places baptisée "économique privilège".
En revanche, la classe éco classique a été densifiée, passant de 307 à 398 places, à la faveur de la suppression d'un galley et d'une réduction de la largeur des fauteuils, qui perdent 3 à 4 centimètres. Si le pitch n'a pas changé, la configuration frontale passe de 9 a 10 sièges répartis en 3-4-3.
Quant au vol Paris-Toronto, il sera effectué à bord 777-300 l'été prochain, dont l'aménagement n'a pas été modifié (24 sièges affaires et 187 en éco).
"Nous avons étoffé notre offre sur le marché français pour répondre à une forte demande", assure David Gégot.
Paris est en effet la quatrième destination d'Air Canada à l'international. Le taux d'occupation annuel sur la ligne de Montréal s'établit à 85% et dépasse même les 100% pendant l'été. Toronto, plus soumise à la saisonnalité, culmine tout de même à 80%.
Pour satisfaire la demande des voyageurs frontaliers, Air Canada va également augmenter ses capacités à Genève et Bruxelles en volant sur des A-330 contre des B-767 l'an passé.
Au final, l'Europe comptera 14% de capacité additionnelle en 2014. Soit la plus grande croissance à l'international d'Air Canada depuis sa création il y a 76 ans.
En réduisant de 42 à 36 le nombre de sièges affaires, la compagnie a gagné de l'espace pour introduire une nouvelle classe intermédiaire de 24 places baptisée "économique privilège".
En revanche, la classe éco classique a été densifiée, passant de 307 à 398 places, à la faveur de la suppression d'un galley et d'une réduction de la largeur des fauteuils, qui perdent 3 à 4 centimètres. Si le pitch n'a pas changé, la configuration frontale passe de 9 a 10 sièges répartis en 3-4-3.
Quant au vol Paris-Toronto, il sera effectué à bord 777-300 l'été prochain, dont l'aménagement n'a pas été modifié (24 sièges affaires et 187 en éco).
"Nous avons étoffé notre offre sur le marché français pour répondre à une forte demande", assure David Gégot.
Paris est en effet la quatrième destination d'Air Canada à l'international. Le taux d'occupation annuel sur la ligne de Montréal s'établit à 85% et dépasse même les 100% pendant l'été. Toronto, plus soumise à la saisonnalité, culmine tout de même à 80%.
Pour satisfaire la demande des voyageurs frontaliers, Air Canada va également augmenter ses capacités à Genève et Bruxelles en volant sur des A-330 contre des B-767 l'an passé.
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