Alors que le tour-opérateur est sur un nouveau départ, un hoax annonce sa fermeture
Le timing était parfait : pile entre Noël et le jour de l'an, à des dates où la réactivité serait fatalement moins forte qu'en temps normal.
Le 29 décembre 2017, un mail envoyé d'une adresse @pleinvent.com annonce : « la fin d’une époque et la fermeture de notre petite entreprise », ajoutant « Plein Vent ferme donc ses portes ce jour. Avec son lot de tristesse et de larmes ».
Fausse info : Plein Vent ne disparaît pas, loin s'en faut.
Comme l'indiquait la direction du tour-opérateur dans nos colonnes le 6 décembre 2017 : « il n’a jamais été question de faire disparaître Plein Vent mais de le développer avec de nouveaux moyens ».
Tourné à la manière d'un message syndical, le message ne vient pourtant pas des équipes de Plein Vent.
« Nous avons découvert ce message ce matin ! On ne sait pas qui l'a envoyé, si ça vient d'une initiative personnelle ou autre, mais nous sommes très surpris nous aussi » expliquent des déléguées du personnel.
Un mail anonyme, donc, sorti de nulle part pendant les vacances, qui pourrait être le fait d'un piratage externe ou émaner des services de Plein Vent.
Ce pourrait être une personne « qui maîtrise le système de mailing (...) donc tout monde sauf les commerciaux » hasarde une source anonyme.
Une possibilité balayée par Michel Quenot, Directeur Général de FRAM. « N'importe qui peut usurper une adresse ! Nous cherchons l'origine et serons d'autant plus attentifs à la cyberprotection, qui est justement un sujets très actuel ».
Pour autant, le Groupe cherche tout de même en son sein. Un mail interne signé Joost Bourlon, Directeur Général de Plein Vent dénonce aujourd'hui 2 janvier 2018 « la diffusion d'un message inacceptable via les outils de communications de l'entreprise » et annonce des « mesures de protection » et la recherche de la source de l'emailing, via les réseaux informatiques internes.
Le 29 décembre 2017, un mail envoyé d'une adresse @pleinvent.com annonce : « la fin d’une époque et la fermeture de notre petite entreprise », ajoutant « Plein Vent ferme donc ses portes ce jour. Avec son lot de tristesse et de larmes ».
Fausse info : Plein Vent ne disparaît pas, loin s'en faut.
Comme l'indiquait la direction du tour-opérateur dans nos colonnes le 6 décembre 2017 : « il n’a jamais été question de faire disparaître Plein Vent mais de le développer avec de nouveaux moyens ».
Tourné à la manière d'un message syndical, le message ne vient pourtant pas des équipes de Plein Vent.
« Nous avons découvert ce message ce matin ! On ne sait pas qui l'a envoyé, si ça vient d'une initiative personnelle ou autre, mais nous sommes très surpris nous aussi » expliquent des déléguées du personnel.
Un mail anonyme, donc, sorti de nulle part pendant les vacances, qui pourrait être le fait d'un piratage externe ou émaner des services de Plein Vent.
Ce pourrait être une personne « qui maîtrise le système de mailing (...) donc tout monde sauf les commerciaux » hasarde une source anonyme.
Une possibilité balayée par Michel Quenot, Directeur Général de FRAM. « N'importe qui peut usurper une adresse ! Nous cherchons l'origine et serons d'autant plus attentifs à la cyberprotection, qui est justement un sujets très actuel ».
Pour autant, le Groupe cherche tout de même en son sein. Un mail interne signé Joost Bourlon, Directeur Général de Plein Vent dénonce aujourd'hui 2 janvier 2018 « la diffusion d'un message inacceptable via les outils de communications de l'entreprise » et annonce des « mesures de protection » et la recherche de la source de l'emailing, via les réseaux informatiques internes.
rassurer rapidement
D'où qu'il provienne, le message a suscité le doute chez certains distributeurs, que le tour-opérateur essaie de canaliser.
« Nous avons reçu des coups de téléphones, agences ou individuels, qui se demandaient où en étaient les dossiers indiquent des membres de l'équipe,
Nous avons essayé de rassurer tout le monde, leur expliquer que Plein Vent ne fermait pas mais déménageait simplement à Toulouse avec une nouvelle équipe ».
Un message de sérénité et d'apaisement qu'on retrouve chez la direction : « Les partenaires, nous les appelons, nous leur parlons, mais je ne pense pas qu'ils croient à des communiqués fallacieux, on voit bien qu'il n'a rien d'officiel ».
Pour autant, certains attendent de voir et restent dans l'expectative.
« Le message était faux, certes, mais ça n'est pas de bonne augure pour FRAM, qui récupère des dossiers qu'elle ne connaît pas, ça risque de pédaler dans la semoule » s'inquiète l'un d'eux, avouant préférer « arrêter de proposer du Plein Vent en 2018 ».
Hervé Renoux, directeur commercial de Richou Voyages affirme lui aussi son inquiétude.
Bien qu'il ait été rassuré par l'appel de Plein Vent ce matin sur la continuité de l'activité du TO, l'avenir reste selon lui incertain : « FRAM va s'occuper de plusieurs centaines de dossiers groupes, il risque d'y avoir un problème de suivi ».
Si Plein Vent informe ses partenaires et distributeurs, via « une procédure d'information très classique, la meilleure possible », il semble que pour certains, les choses restent encore floues. Ainsi, Hervé Renoux affirme n'avoir pas été informé « que les dossiers groupes étaient rapatriés à Toulouse ».
Une « Fake news » qui n'arrive donc vraiment pas au bon moment.
D'où la volonté du groupe de rassurer un maximum ses partenaires. « Nos équipes travaillent à la bascule depuis des semaines, la production continue normalement, on est prêt, les nouvelles équipes sont déjà là, le catalogue aussi, il est bien évident que Plein Vent ne s'arrête pas ! » martèle Michel Quenot, ajoutant que la procédure de déménagement de l'activité de Plein Vent de St Laurent du Var vers Toulouse, et le passage à un FlexiPleinVent annoncé fin décembre continuaient normalement pour une réouverture le 8 janvier 2018.
« Nous avons reçu des coups de téléphones, agences ou individuels, qui se demandaient où en étaient les dossiers indiquent des membres de l'équipe,
Nous avons essayé de rassurer tout le monde, leur expliquer que Plein Vent ne fermait pas mais déménageait simplement à Toulouse avec une nouvelle équipe ».
Un message de sérénité et d'apaisement qu'on retrouve chez la direction : « Les partenaires, nous les appelons, nous leur parlons, mais je ne pense pas qu'ils croient à des communiqués fallacieux, on voit bien qu'il n'a rien d'officiel ».
Pour autant, certains attendent de voir et restent dans l'expectative.
« Le message était faux, certes, mais ça n'est pas de bonne augure pour FRAM, qui récupère des dossiers qu'elle ne connaît pas, ça risque de pédaler dans la semoule » s'inquiète l'un d'eux, avouant préférer « arrêter de proposer du Plein Vent en 2018 ».
Hervé Renoux, directeur commercial de Richou Voyages affirme lui aussi son inquiétude.
Bien qu'il ait été rassuré par l'appel de Plein Vent ce matin sur la continuité de l'activité du TO, l'avenir reste selon lui incertain : « FRAM va s'occuper de plusieurs centaines de dossiers groupes, il risque d'y avoir un problème de suivi ».
Si Plein Vent informe ses partenaires et distributeurs, via « une procédure d'information très classique, la meilleure possible », il semble que pour certains, les choses restent encore floues. Ainsi, Hervé Renoux affirme n'avoir pas été informé « que les dossiers groupes étaient rapatriés à Toulouse ».
Une « Fake news » qui n'arrive donc vraiment pas au bon moment.
D'où la volonté du groupe de rassurer un maximum ses partenaires. « Nos équipes travaillent à la bascule depuis des semaines, la production continue normalement, on est prêt, les nouvelles équipes sont déjà là, le catalogue aussi, il est bien évident que Plein Vent ne s'arrête pas ! » martèle Michel Quenot, ajoutant que la procédure de déménagement de l'activité de Plein Vent de St Laurent du Var vers Toulouse, et le passage à un FlexiPleinVent annoncé fin décembre continuaient normalement pour une réouverture le 8 janvier 2018.