En 2012, les établissements parisiens ont enregistré 15,7 millions d'arrivées hôtelières, soit une hausse de 0,2 % par rapport à 2011. Une croissance très légère mais qui permet de battre le record de fréquentation enregistré l'année précédente.
Les arrivées internationales progressent de 2,6 % alors que la clientèle française recule, elle, de 2,7 % sur la même période, selon la dernière édition de l'Observatoire Economique du Tourisme Parisien.
Parmi les marchés en forme en 2012 pour la capitale, on trouve les Américains (+11,2 %), les Britanniques (+7,2 %) et les Japonnais (+7,6 %). Mais l'augmentation la plus franche est réalisée part les Suisses, 17,9 % plus nombreux en 2012 qu'en 2011.
Les voisins helvètes parviennent même à faire mieux que les Chinois (+14,8 %). Les voyageurs en provenance du Proche et du Moyen-Orient sont également venus plus nombreux (+6,3 %) au même titre que les Asiatiques (+9 %).
A l'opposé, l'Espagne enchaîne sur sa 6e année de baisse consécutive dans une proportion encore jamais vue (-21,9 %). Même dynamique pour l'Italie (-4,8 %) et pour la Belgique (-2,6 %).
Les arrivées internationales progressent de 2,6 % alors que la clientèle française recule, elle, de 2,7 % sur la même période, selon la dernière édition de l'Observatoire Economique du Tourisme Parisien.
Parmi les marchés en forme en 2012 pour la capitale, on trouve les Américains (+11,2 %), les Britanniques (+7,2 %) et les Japonnais (+7,6 %). Mais l'augmentation la plus franche est réalisée part les Suisses, 17,9 % plus nombreux en 2012 qu'en 2011.
Les voisins helvètes parviennent même à faire mieux que les Chinois (+14,8 %). Les voyageurs en provenance du Proche et du Moyen-Orient sont également venus plus nombreux (+6,3 %) au même titre que les Asiatiques (+9 %).
A l'opposé, l'Espagne enchaîne sur sa 6e année de baisse consécutive dans une proportion encore jamais vue (-21,9 %). Même dynamique pour l'Italie (-4,8 %) et pour la Belgique (-2,6 %).
Le marché français a souffert en mai 2012
Le marché français représente lui 7 millions d'arrivées. Sa diminution a surtout été causée par un mois de mai 2012 difficile (-10,9 %) en raison des élections présidentielles et législatives dans le pays.
Sur l'ensemble de l'année, les résidences de tourisme parisiennes font état d'un taux d'occupation moyen de 76,7 %, stable par rapport à 2011. Pour les seuls hôtels il se fixe à 79,6 % (+0,1 point).
Par ailleurs, selon MKG Hospitality, le prix moyen (164,3 €) et le revenu par chambre disponibles (134,8 €) ont augmenté tous deux de 6,6 %.
Le cabinet annonce également un taux d'occupation de 69,1 % en janvier 2013 pour les adresses de la capitale. Le prix moyen a progressé de 1,5 % pour atteindre 183,9 € permettant au RevPAR de grimper de 1,3 % à 127,1 €.
Sur l'ensemble de l'année, les résidences de tourisme parisiennes font état d'un taux d'occupation moyen de 76,7 %, stable par rapport à 2011. Pour les seuls hôtels il se fixe à 79,6 % (+0,1 point).
Par ailleurs, selon MKG Hospitality, le prix moyen (164,3 €) et le revenu par chambre disponibles (134,8 €) ont augmenté tous deux de 6,6 %.
Le cabinet annonce également un taux d'occupation de 69,1 % en janvier 2013 pour les adresses de la capitale. Le prix moyen a progressé de 1,5 % pour atteindre 183,9 € permettant au RevPAR de grimper de 1,3 % à 127,1 €.